DOCUMENT BFMTV - L’un des agents des forces de l’ordre qui ont poursuivi les malfaiteurs de la cité de la Busserine raconte son expérience. Il évoque la peur et le caractère inhabituel de cette intervention.
Il fait partie des policiers qui sont intervenus lundi à Marseille lorsqu’en fin de journée, un commando a tiré en l’air à l’arme à feu dans la cité de la Busserine. À bord de deux Mégane RS, ils ont ensuite pris la fuite. Les forces de l’ordre, après les avoir poursuivis, les ont perdus sur l’autoroute.
Il raconte qu'"un collègue du groupe civil a tiré trois ou quatre fois sur un véhicule du commando". Mais "au moment des tirs, le véhicule était tellement puissant que c'est passé à côté". Un collègue a été "mis en joue" par "une kalachnikov". Dans le véhicule de police où notre témoin se trouvait comme chef de bord, le chauffeur a décidé de ne pas faire barrage aux malfaiteurs. La décision de ne pas s’interposer été prise "en quelques secondes":
"Si on s’était permis de les coincer ou les bloquer il y aurait eu de gros dégâts. Il faut penser qu’on avait des civils autour, beaucoup de civils et surtout il y avait des enfants (…) Il y aurait eu des innocents qui seraient morts".
"Ils savaient ce qu'ils faisaient"
Il relève le caractère inhabituel de cette intervention: "En général, quand ces individus font des règlements de comptes, ou vont dans une cité pour trouver un individu, ils ne restent pas très longtemps. Là, pour la première fois, ils sont restés très longtemps. Ils ont pris un gros risque… mais ils le savaient et n’ont pas eu peur de nous…" Pour lui, ils "savaient ce qu'ils faisaient".
Il s’inquiète de voir que les malfaiteurs "ne craignent ni la police ni la justice". De quoi augmenter le climat de terreur parmi ses collègues: "Bien sûr que j’ai eu peur. Je suis policier, c’est mon métier… mais je suis un être humain, un père de famille. Je me suis demandé si on allait revenir ce soir pour voir nos enfants."
À armes inégales
"On n’avait aucune chance" de rattraper une Mégane RS, explique l’agent, pointant du doigt la faible capacité des voitures de police:
"Les véhicules qu’on a ne sont pas adaptés, ils sont trop lourds, avec le matériel qu’on nous a donné, on ne peut pas coller un véhicule comme ça", assure-t-il.
"On a pu rouler vers les 100 km/h", explique-t-il, mais "ils ont pris de la distance parce qu’ils avaient un véhicule très puissant". Il ajoute que pour certains, leurs véhicules ont "plus de 100.000 km" au compteur. "Notre hiérarchie le sait, l’État le sait", poursuit-t-il.
Il pointe également du doigt la différence d’armement entre policiers et bandits: "J’avais un fusil d’assaut (…) je n’en avais qu’un seul. Eux, ils avaient plus qu’une kalachnikov sur eux. Mon sentiment, c’est qu’on y serait passés."
Le procureur évoque du "narco-banditisme"
Les événements survenus lundi ont fait un blessé à la tête par des coups de crosse. Selon un témoin, une personne a été forcée de monter dans l'une des Méganes. Le procureur de la République de Marseille, qui évoque du "narco-banditisme", a déclaré ce mardi que "tous les moyens sont déployés (...) pour retrouver l'individu qui aurait été enlevé sur les lieux et mettre la main sur l'ensemble des auteurs de ces faits."
Ce sont des gars de retour de théatre de guerre chargés au captagon. Il sont les nouveaux seigneurs du banditisme.
“Ouais… Et quels liens existent entre les « narcos » des territoires perdus et le djihadisme ? ” demande Vautrin. Des “frères amis ” interchangeables et à double service selon besoin. Des êtres impitoyables ne se couchent que devant une impitoyabilité supérieure. Les “droits de l’homme ” et la justice civilisée les font rire car ils leur permettent de se développer quasi-librement , Richement aussi et de s’étendre voire un jour avec complices “endimanchés”incrustés prendre le pouvoir par la peur et la terreur. La faiblesse et l’actuelle tendance pseudo-compassionnelle au salaud pré-assassin ou déjà à terme criminelle pour tous est l’étai du voyou et même de la dictature.
2 ou 3 soldats suisses armés et entraînés sur les balcons voisins avec formation ad-hoc…la police n’aurait plus eu qu’à les amener à la morgue…
Bilan: des flics qui se s’auto-congratulent de n’avoir rien fait, avec l’alibi des vhc pourris…donc message à la pègre: vous avez carte blanche!
…et ils se font appeler les “forces de l’ordre”, on est au raz des pâquerettes…des pervenches plutôt!
Il n’y a rien d’autre à penser que le fait de virer manu militari les non donneurs d’ordre infoutus de faire respecter l’état de droit. Puisque les forces de sécurité constatent leur impuissance elles mêmes, qu’elles en tirent les conclusions qui s’imposent et fassent ce qu’il leur reste à faire: ce se serait pas la première fois qu’une “démocrassie” doive laisser place à une dictature militaire.
Quoi ?
Ce n’est pas une question de véhicule, ni d’armement.
C’est simplement une question de savoir faire et de motivation ; la police est complètement débordée par ce grand banditisme qui utilise des méthodes militaires, c’est tout.
ZMSPCP, PATRACDR et autres sont aux abonnés absents.
Quand on ne sait pas on ne fait pas et leur décision a été la bonne car au delà des supposés civils morts, ce seraient les fonctionnaires de police qui y seraient passés.
In God we trust.
Les Français s’en foutent, et Macron fait de beaux voyages. Les juges ne font rien sauf contre les identitaires.
On y arrive…
https://youtu.be/vSMgIDzbLW4
… et quand le moment sera venu, il faudra remplacer les “farces de l’ordre”, les “robocops” en carton et les tenanciers de radars routiers par des vrais, de vrais durs.
C’est sûre qu’éviter la confrontation donne de l’assurance aux criminels ; d’autant plus que la peine de mort a été supprimée.
Ouais… Et quels liens existent entre les “narcos” des territoires perdus et le djihadisme ? Hypothèse à envisager. En attendant, l’hyper-caste politico-mondialiste désarme les citoyens tandis que les malfaiteurs ont des fusils d’assaut. Pas joli, joli, tout ça !
Bientôt chez nous en Suisse..?
”Eux, ils avaient plus qu’une kalachnikov sur eux”.
Et c’est avec des lois inapplicables contre les armes en possessions d’honnêtes citoyens qu’on va essayer de désarmer le grand banditisme … je rêve !
Quand ils nous monteront dessus, parce que ça arrivera, que feront les flics du 36, des SDPJ, BRI et BRB avec leur manque de moyens matériels et d’appuis politiques ?
Que ferons-nous avec nos fleurs, nos bougies et nos padamalgam ?
Il faut arrêter ce catéchisme de gauche à la mords-moi-la. Ce n’est pas en tendant l’autre joue ou en baissant notre froc qu’on y parviendra mais en cognant plus fort qu’eux et en les neutralisant définitivement.
Ce sont des guerriers, entrainés et qui nous ont déjà déclaré la guerre. On ne va tout de même pas refaire mai 1940.