Ce chiffre est supérieur à la moyenne de l’UE (21 %), mais similaire à celui de la France et de l’Allemagne. Les résultats s’inscrivent dans le cadre d’une nouvelle initiative gouvernementale visant à intégrer différentes communautés. Près de 29 pour cent des jeunes de 15 ans en Grande-Bretagne sont maintenant issus de l’immigration, révèlent aujourd’hui de nouvelles données du groupe de réflexion international.
Ce chiffre est supérieur à la moyenne de l’UE (21 %), mais similaire à celui de la France (26 %) et de l’Allemagne (28 %). Ce chiffre est plus élevé en Irlande et en Belgique. Il comprend les immigrants de deuxième génération, les autochtones d’héritage mixte, les immigrants de première génération et les personnes qui reviennent après être nés à l’étranger.
L’étude de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) montre également que les enfants immigrés qui arrivent au Royaume-Uni à l’âge de 12 ans ou plus sont moins susceptibles de réussir à l’école et de se sentir à leur place. Les résultats s’inscrivent dans le cadre d’une nouvelle initiative du gouvernement visant à encourager l’intégration sociale dans les écoles et les communautés anglaises.
Près de 29 pour cent des jeunes de 15 ans en Grande-Bretagne sont maintenant issus de l’immigration, révèlent aujourd’hui de nouvelles données (illustrées) provenant d’un groupe de réflexion international. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de l’UE (21 %), mais similaire à celui de la France (26 %) et de l’Allemagne (28 % + 3 %). (…)
Les résultats montrent qu’en 2015, 73 % des élèves nés au Royaume-Uni dont les parents sont nés au Royaume-Uni ont atteint un « niveau de référence » dans les tests PISA 2015, qui couvrent la lecture, les mathématiques et les sciences, contre 67 % de l’ensemble des enfants immigrés.
Extrait du Daily Mail Via Suavelõs
Nos remerciements à
croyez-vous vraiment que ces jeunes migrants, on migré des milliers de Kilometre pour allez s asseoir sur un banc d école ?
C’est un peu comme cette étude allemande qui montre que les grandes agglomérations de pays développés et donc plutôt riches, dont le Grand Londres, ont un taux de fécondité plus élevé que les villes plus pauvres. Super, magnifique! Elle omet juste de dire que cela est essentiellement dû à la forte natalité des immigrés extra-européens pululant dans les grands villes très généreuses avec eux:
http://www.atlantico.fr/decryptage/demographie-et-niveaux-revenus-ces-cartes-fecondite-en-europe-qui-ne-signifient-pas-tout-que-auteurs-veulent-faire-dire-laurent-3398752.html