Linz est une belle ville située au nord de l’Autriche. Troisième ville du pays, elle devrait bientôt franchir le cap des 210 000 habitants. Mais la crise des migrants a de graves effets sur la ville, rapporte l’hebdomadaire Wochenblick.
Peter Stumptner, conseiller munimcipal membre du Parti de la liberté (FPÖ), affirme que l’afflux massif de migrants place la ville en face de grands défis, par exemple dans les domaines de l’infrastructure, de la garde des enfants et de l’intégration.
Il parle de ghettoïsation de rues entières, où les Autrichiens sont de plus en plus minoritaires, car les nouveaux arrivants dans la ville, responsables de la croissance démographique, sont en majorité des non-Autrichiens.
Entre 2007 et 2017, le nombre des Autrichiens à Linz a passé de 164 103 à 159 253, tandis que celui des étrangers a bondi de 25 240 à 44 704, soit une augmentation de 77 % en dix ans.
Le maire de Linz, Klaus Luger, du Parti social-démocrate (SPÖ), se félicite au contraire de cette évolution.
« L’augmentation de la population de Linz de près de 20% d’ici 2027 confirme que nous sommes sur le bon chemin en tant que ville industrielle et culturelle attractive avec des logements de haute qualité et des infrastructures bien développées. L’augmentation du nombre d’enfants et d’adolescents ainsi que le maintien d’une natalité positive sont particulièrement réjouissants », a-t-il déclaré en 2017.
Résumé Cenator pour LesObservateurs.ch
Source : Wochenblick via Voice of Europe
Rappels:
https://lesobservateurs.ch/2017/07/02/autriche-linz-un-tunisien-massacre-un-couple-par-haine-du-fpo/
https://lesobservateurs.ch/2016/02/25/la-gare-de-linz-est-devenue-la-gare-de-la-peur/ , https://lesobservateurs.ch/2016/02/24/linz-nordafrikaner-machen-bahnhof-zur-holle-fur-frauen/
https://lesobservateurs.ch/2015/06/02/emeute-de-requerants-a-linz-autriche/
“Nous sommes sur le bon chemin”
Quel aveuglement, c’est grave !
Il faudra que ça se paie ? Commencez par élire des gens qui regardent autre chose que leur intérêt personnel à court terme!
Les migrants ne peuvent apporter avec eux que ce qu’ils connaissent, les codes de leur culture. Comme, en plus, un nombre grandissant de ces ressortissants rejette l’idée de toute assimilation, ressentie comme humiliante, c’est l’environnement et l’incurie qui règne dans leur pays qui va se répandre sur notre continent, et, puisqu’ il y a un grand nombre de cultures, les différents et les conflits qui existent entre elles.
En Europe, il a fallu beaucoup de temps pour accéder à une certaine concorde entre pays européens dont, pour chacun, la population s’est unifiée: avec les migrations, la destructuration est en cours.
Mettez du bleu, du jaune et du vert dans du rouge,vous n’obtiendrez jamais du rouge.
Et moi je reviens de la vallée d’Illiez : Champéry, Val-d’Illiez, Troistorrents, et plus bas c’est encore pire : entre Monthey et Aigle, toutes les gares pullulent de non-suisses qui promènent des poussettes pleines de futurs Suisses-très-noircis. Je me demande de quelle couleur seraient aujourd’hui les beaux Suisses de Ferdinand Hodler s’il devait revenir les peindre.
@UnOurs : “Il faudra que ça se paie…”
En effet ! Heidi (ci-dessous) vous dit qui payera…
Je vous lis avec plaisir depuis des années. Je vois votre désespoir, que je partage, pour les mêmes raisons. Car c’est foutu de chez foutu comme l’atteste ce terrifiant graphique :
https://lesobservateurs.ch/2018/05/20/royaume-uni-selon-locde-29-des-jeunes-de-15-ans-sont-issus-de-limmigration/
Alors même que le “peuple suisse” a eu à maintes fois l’occasion de voter juste sur ce sujet, il a choisi le suicide. Cela a commencé par la très raisonnable initiative Schwarzenbach pour se terminer avec l’effarante acceptation de la libre-circulation (Mais comment peut-on être aussi cons ?).
Exactement , la collaboration de ces degeneres doit se payer au prix tres fort !
Le maire habite une autre planète, ça c’est clair. Mais ses enfants et petits-enfants payeront le prix ‘de cette évolution’.
PS: par contre, pour les bobos bien friqués du sommet du Grand-Pont, tout va bien; ça porte des t-shirts Che Guevara, mais ça circule quand même en cabrio Abarth vintage.
Idem en Valais. J’étais de passage à Sion, hier.
Quartier de Tourbillon: des africains, des asiates, toute une faune interlope et rien qui ne ressemble à un “vrai valaisan”.
En moins de 15 ans de libre-circulation et de laisser-faire aux frontières,
être devenu étranger chez soi.
Il faudra que ça se paie…