La fondation du milliardaire américano-hongrois George Soros, qui finance de nombreuses ONG, a annoncé ce 15 mai qu'elle quittait la Hongrie. Ses activités déménagent à Berlin en réaction aux politiques «répressives» du gouvernement de Viktor Orban.
Le journal autrichien Die Pressel'avait annoncé le 19 avril. La Fondation Open Society (OSF) a fait savoir ce 15 mai par voie de communiqué qu'elle déplaçait ses opérations internationales et son personnel de Budapest vers Berlin. Créée par l'homme d'affaires americano-hongrois George Soros en 1979, l'OSF s'estime confrontée à un «environnement politique et juridique de plus en plus répressif» en Hongrie.
L'OSF, présente depuis plusieurs décennies dans le pays, a en effet été la cible de nombreuses critiques de la part du Premier ministre hongrois Viktor Orban. Il a accusé à plusieurs reprises le milliardaire et sa fondation de s'immiscer dans les affaires intérieures et de financer des groupes d'opposition.
Patrick Gaspard, le président de l'OSF, a fustigé les autorités hongroises ce 15 mai, en expliquant qu'elles avaient «dénigré et déformé» le travail de la fondation, tout en réprimant la société civile «pour des raisons politiques».
En février dernier, le parti de Viktor Orban a soumis au Parlement une proposition de loi, intitulée «Stop Soros Act», ayant pour but de freiner l'immigration et stipulant que toutes les ONG qui soutenaient «l'immigration clandestine» devaient être enregistrées. Celles qui reçoivent de l'argent de l'étranger doivent en outre s'aquitter d'une taxe de 25% sur ces financements.
Le projet Open Society Foundations a ouvert son premier bureau en Hongrie en 1984. Le groupe a actuellement des dépenses annuelles de plus de 940 millions de dollars et opère dans plus de 100 pays.
George Soros est une personnalité controversée, notamment dans son pays natal. Il s'était alarmé en janvier dernier d'être en train de perdre la bataille idéologique qu'il mène à travers sa fondation. Les ONG financées par George Soros militent, entre autres, pour l'accueil des réfugiés dans les pays occidentaux et la défense des sanctions occidentales contre la Russie.
En parlant de ce sinistre individu, soulignons que Foraus, Forum de politique étrangère créée par l’université de Zurich, est sponsorisée principalement par l’Open Society de George Soros, que Foraus est le généreux donateur qui a financé le tout ménage visant à couper la queue d’Oskar Freysinger en Valais, vous avez dit ingérence étrangère dans les affaires internes d’un pays souverain?
Quand George Scwartz sen va de quelque part on devrait organiser une fete
Malheureusement 100 collabos locaux le remplacent
Sig
Décidément la Hongrie et la Pologne sont des exemples qu’aucun pays d’Europe de l’ouest ne suit, malheureusement. Bon débarras pour les Hongrois. Pas étonnant que Soros s’installe à Berlin. L’Allemagne est devenue la plaque tournante du mondialisme immigrationniste en Europe, suivie de près par la France de Macron, qui laisse entrer et naturalise à tour de bras les islamistes qui nous tuent.
Mes respects aux Hongrois. S’il devait y avoir encore un endroit où l’Open Society aurait le droit de cité, je suggère Bruxelles ou, à côté, Molenbeek.
La clique à Soros devrait être bannie partout dans le monde, ce sont des associations de malfaiteurs.
Bravo les hongrois, vous avez tout compris! Les ONG de Soros sont un fléau pour les états nations, leurs activités pèsent lourd dans l’envahissement de l’Europe par les hordes de barbares d’outre méditerranée, ces ONG n’ont de cesse de s’immiscer dans les affaires politiques de pays souverains dont le notre! Tous les pays européens devraient interdire les ONG de ce dangereux bolchevo-mondialiste!
Bon debarras pour la Hongrie, pourvu que ce gang de criminels ne viennent pas chez nous, mais retournent d’ou ils sont sortis: les egouts.
Il faudra en faire de même avec Open Society en Suisse ; Mme Calamity-Rey devra se trouver un autre boulot !