Un homme de 24 ans et une femme de 27 ans ont été condamnés tous deux à sept mois de prison avec sursis, lundi 14 mai 2018, à Caen (Calvados), pour des violences réciproques.
La relation de Fatou* et Brice* a toujours été chaotique. Ensemble depuis 2010, la jeune femme de 27 ans et le jeune homme de 24 ans ont connu plusieurs séparations temporaires. Ils ont vécu sous le même toit à partir de 2017, dans le quartier de la Guérinière, à Caen (Calvados), et ont eu un fils cette année-là.
« Quasiment une scène de crime »
Mais la vie commune est ponctuée de nombreuses disputes, sur fond de jalousie réciproque. Les voisins s’en plaignaient régulièrement. En juillet 2017, soupçonnant une infidélité de son compagnon, Fatou le met à la porte une première fois. En janvier 2018, nouvelle crise de jalousie. Fatou aurait frappé Brice avec une casserole; celui-ci aurait rétorqué avec des claques. La jeune femme porte plainte.
Le 22 mars 2018, Brice se présente chez son ex-compagne, pour voir son fils. Une première dispute éclate, vers minuit. Le jeune homme reçoit un coup de ciseau à l’aine, qui ne le blesse que superficiellement. Le lendemain matin, l’altercation reprend, toujours sur fond de jalousie. La jeune femme aurait d’abord mordu son ex-compagnon au niveau de l’épaule. Celui-ci l’aurait alors frappée à son tour. S’étant munie d’un couteau de cuisine, Fatou aurait voulu « lacérer la veste » de Brice. Mais elle lui occasionne trois plaies de 10 cm au bras et au poignet. Des blessures qui lui vaudront cinq jours d’incapacité de travail.
« Dépendance affective et conjugopathie »
Prévenus par les deux anciens amoureux, les policiers découvrent « quasiment une scène de crime » en arrivant sur les lieux. C’est l’expression qu’a employée la procureur de la République de Caen, Carole Étienne, lundi 14 mai 2018, à l’occasion du procès des deux jeunes gens.
L’appartement comporte de nombreuses traces de sang, Brice est en pleurs dans le canapé tandis que Fatou, réfugiée dans sa chambre, semble inconsciente au pied de son lit, face contre terre. Elle reconnaît :
J’ai simulé un malaise pour ne pas qu’il me frappe.
L’expert psychiatre qui l’a examinée décrit une jeune femme « impulsive, aux réactions disproportionnées », qui souffre de « dépendance affective et de conjugopathie ». « C’est une femme battue, désespérée », plaide son avocat, Me Julien Duval. « Elle lui a déchiré ses papiers d’identité », rétorque Me Aude Texier, l’avocate de Brice, Mauritanien en situation irrégulière depuis 2015, quand son permis de séjour n’a pas été renouvelé.
Ils veulent « passer à autre chose »
Chacun à une barre, de chaque côté de la salle d’audience, les deux anciens compagnons semblent désormais apaisés, même s’ils assurent tous deux avoir frappé l’autre pour se défendre. Décidés à mettre fin à leur relation « toxique », ils affirment leur souhait de « passer à autre chose ».
Le parquet a requis des peines de 8 et 10 mois de prison avec sursis et une mise à l’épreuve, respectivement à l’encontre de Brice et Fatou. La procureur de la République suggère une interdiction de se contacter pour les deux. Finalement, le tribunal a renvoyé Fatou et Brice dos à dos, avec chacun sept mois de prison avec sursis simple. Ils pourront se voir pour échanger la garde de leur fils.
*Les prénoms ont été modifiés.
Source Via Fdesouche.com
Elle est belle l’Europe, colonisée par des sauvages subsahariens. Dehors cette racaille.
S’exprimer par des coups serait, semble t-il, culturel. Nous apprenons très tôt à nos enfants (en fait dès l’âge du bac à sable) à ne pas frapper et à ne pas crier, mais à dire ce qu’ils veulent ou ne veulent pas. Dire “Rends-moi mon seau! ” est plus évolué que frapper ou se mettre à pousser des beuglements. Tous les petits enfants ont une fois ou l’autre mordu un petit camarade. Mais les adultes présents sont immédiatement intervenus pour expliquer que c’était interdit.
Nous devons vivre avec des gens qui hurlent, qui frappent, qui mordent… (Nous avons lu plusieurs fois, ici ou là, des histoires de “Chances pour l’Europe” qui mordent, frappent et crient.
Je cite un passage de http://www.lepoint.fr de juillet 2017:
“Laetitia Avia, députée de la 8e circonscription de Paris, a mordu l’épaule d’un chauffeur de taxi, rapporte Le Canard enchaîné. La raison ? Le terminal de paiement par carte bancaire était hors service. N’ayant sur elle que sa CB, la députée fraîchement élue ne peut pas payer la course d’un montant de 12 euros. Le chauffeur lui propose alors de la déposer à un distributeur afin de retirer ladite somme. Refus catégorique de la députée qui ne veut pas payer. « Pourquoi payer un taxi qui ne prend pas la carte bancaire ? » s’insurge-t-elle en substance. Le chauffeur démarre et, soudain, il sent les dents de Laetitia Avia s’imprimer dans son épaule….”