La RTS, totalement inféodée au marxisme culturel, en plein délire post-moderniste, a diffusé en début d’année un reportage sur une jeune fille sourde, Salomé, qui voulait devenir un homme.
Vers l’âge de vingt ans, Salomé se sentait vaguement mal dans sa peau, jusqu’à ce qu’elle découvre, oh, eurêka, qu’en changeant de sexe son mal-être allait être résolu.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Salomé, après l’expertise psychiatrique obligatoire pour obtenir l’aval du corps médical, attestant qu’il y a bien une indication pour changer de sexe, Salomé peut « se soigner » pour devenir un « homme ». Avec tout ce que cela implique, elle va avoir, à vie, des problèmes de santé résiduels découlant de cette violence faite à son corps qui fonctionnait parfaitement jusque-là.
Le reportage fait l’éloge de cette jeune fille voulant devenir garçon, au même titre que si elle voulait devenir une grande artiste ou une professionnelle exemplaire dans un domaine de la vie. Le changement de sexe est présenté comme un aboutissement en soi, comme une vocation, comme une solution à tous ses problèmes.
Pourtant, Salomé est née comme une parfaite petite fille. À ce sujet déjà, le reportage est trompeur, en voulant faire croire le contraire. Mais l’album de photos présenté par les parents le prouve, elle jouait à la poupée comme chaque petite fille. C’est probablement en fréquentant des lesbiennes que l’idée de changer de sexe a germé dans sa tête.
Le reportage ne pipe pas mot des souffrances qui l’attendent durant toute sa vie à cause de cette transformation qui va lui créer des problèmes bien plus graves que de « se sentir mal dans sa peau ». (Rappelons qu’elle est sourde, handicap pouvant très probablement expliquer son mal être. Que, dans ces conditions, un médecin ait donné son accord pour pratiquer ce changement gravissime relève de l’irresponsabilité la plus complète.) Il n’y a pas un mot non plus sur ce qu’elle va endurer en devant prendre des hormones pour le restant de ses jours. Pas un mot également concernant le taux d’échecs et de suicides qui résultent de ce type d’intervention autodestructrice qui sévit depuis 40 ans.
Il n’y a qu’une chance très mince pour qu’elle se sente mieux en bout de course, car :
- elle perdra la possibilité d’enfanter,
- elle aura un corps mutilé et devra supporter toute sa vie les effets secondaires des mutilations chirurgicales,
- elle qui était une parfaite jeune fille ne deviendra jamais vraiment un homme ; elle sera toujours entre deux chaises, une sorte d' ersatz de ce qu’est réellement un homme.
Selon ce reportage de la RTS, 10% de la population suisse ne serait pas en adéquation avec son sexe ! Ce reportage est spécialement pervers, car avec un handicap comme la surdité, un mal être peut facilement être mal interprété et induire à croire que le changement de sexe est la solution – surtout pour quelqu’un de jeune dont la personnalité n’est pas encore clairement forgée.
Bref, la solution postmoderne, c’est de soigner un trouble mental par la castration génitale, par le bistouri.
Les caméras de la RTS suivent cette jolie jeune fille sourde, très naïve, dans son périple. Les parents sont également filmés dans leur modeste appartement. Ils répondent patiemment aux questions indiscrètes, et insistantes de la journaliste, et visiblement ils n’osent pas vraiment dire ce qu’ils pensent de la transformation délirante de leur fille. La caméra s’attarde lourdement sur le visage des parents en larmes.
La lutte de la gauche pour faire passer les théories du genre dans le grand public est une de ses batailles dans son travail de sape contre les valeurs fondatrices de notre civilisation.
La gauche prétend combattre les stéréotypes sexuels. En réalité, sous couvert de déconstruire les stéréotypes homme-femme, fille-garçon, elle veut imposer le doute parmi les plus fragiles, les déstabiliser sur leur identité, leur imposer la dictature de l’androgynat, les rééduquer pour arriver à détruire les modèles fondamentaux, la famille, l’identité sexuelle. Bien sûr, tout cela sous le prétexte de la justice sociale, au nom du sacro-saint égalitarisme et de la lutte contre la discrimination et les préjugés sexistes.
C’est la lutte des classes appliquée aux genres. L’égalité rigoureuse des sexes, en supprimant les genres, correspond au rêve ultime de la suppression des classes sociales pour le communisme.
Et les moyens utilisés sont encore et toujours, la déconstruction de tous les fondements qui font ce que nous sommes. Ainsi la gauche veut transformer notre société pour en créer une nouvelle composée d’individus sans identité et interchangeables. Pour les adeptes de cette idéologie, l’homme n’est qu’une production de la société, une construction sociale, au diable les réalités biologiques… Comme au temps du communisme, « on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs », le hic c’est qu’au final il y a bien des œufs cassés mais toujours pas d’omelette.
Désormais, les écoles, depuis la maternelle, ne se concentrent plus sur l’acquisition de connaissances mais sur des préceptes tirés de l’écologie, de l’égalitarisme, de l’antiracisme et de la sexualisation arc-en-ciel des enfants. Les édiles de l’enseignement veulent changer les mentalités dès le jardin d’enfants afin d’arriver à créer l’« homme nouveau » cher aux gauchistes. Et pour supprimer l’inégalité entre les sexes, ils ont trouvé la solution radicale: il faut supprimer les sexes, place à la fluidité, à bas les rétrogrades binaires et le problème, créé de toutes pièces par eux-mêmes, est résolu !
Le star-système imbibé de gauchisme, les réseaux sociaux, nos médias de gauche, comme la RTS, tous présentent cette folie comme une célébration, une forme de réalisation de soi, comme une nouvelle norme sociale, de plus en plus banale et tout à fait normale.
Dans le Matin dimanche du 6.5.18 nous pouvons même lire que « beaucoup de sociologues prédisent une mort prochaine de la catégorie d’hétérosexualité. Dans cent ans, elle ne fera certainement plus sens. […]
Les changements de sexe sont une mode très destructrice, une industrie médicale abusive, un phénomène social qui reflète à la perfection le degré de dégénérescence de notre civilisation suicidaire. Car si l’hétérosexualité venait à disparaître en Occident, l’Occident aurait disparu bien avant.
Cenator, 8 mais 2018
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RTS, Signes, 20.01.2018
« Elle devient lui : la transition de Salomon »
« On les appelle les personnes trans. Elles sont nées dans un corps clairement féminin ou clairement masculin, mais elles s’identifient à l’autre genre. A l’image de Salomé, qui ne s’est jamais reconnu dans son identité de petite fille d’abord, puis de femme ensuite. Elle a récemment décidé de sauter le pas et de changer d’identité sexuelle. Désormais, Salomé demande à être appelé Salomon et à ce qu’on s’y réfère par les pronoms masculins. Il veut modifier son corps, pour qu’il corresponde à son identité de genre. On appelle cela « faire une transition ». Pour comprendre ce qu’un tel changement implique dans sa vie, son entourage, sa famille, SIGNES est allé à sa rencontre. Un reportage de Béatrice Bakhti, présenté par Carole Prekel. »
https://www.rts.ch/play/tv/signes/video/elle-devient-lui--la-transition-de-salomon?id=9251922
Débile comme article. La dysphorie de genre est un trouble réel ayant des origines pour l’instant non élucidées. c’est juste comme ca. En tout cas avant de diagnostiquer une dysphorie de genre on prends son temps, on vit selon le genre revendiqué pendant un looong moment… Et aucun médecin ne pousse à faire une transition physique.. cela ne concerne que 1 personne sur 2000 soit 0,05% de la population. (Et non 10%…)
Mais bon vive la stigmatisation…
Article confus: le constructivisme qui considère qu’on «devient femme» a été mis à mal justement par les personnes trans qui affirment une réalité biologique à leur condition. Sinon je me demande avec combien de personnes transgenre vous avez parlé pour vous permettre cet article jugeant.
Pour rappel: l’accompagnement et le soin aux personnes transgenre sauve des vies. Lisez la presse scientifique.
Et pour terminer, je suis une personne transgenre. Si le sujet vous intéresse vraiment, buvons un verre ensemble, vous avez mon email.
Déolée, mais non, “toutes” les petites filles ne jouent pas à la poupée, c’est faux, et s’il ne faut pas nier le sexe biologique et dire qu’il pourrait être un “choix”, il ne faut pas non plus nier que le genre (qui n’est pas synonyme de “sexe”) est dans une large mesure construit et basé sur des stéréotypes.
Merci pour le partage de cette vidéo. Je suis transgenre, et grace à vous j’ai vu le témoignage d’une nouvelle personne, d’une nouvelle famille. Dans un cadre complètement différent du mien. Alors encore une fois merci, prenez soin de vous. Je vous envois tout mon amour.
Paix sur terre.
Quoi dire des experiments nullement etranges a l etat des vaux ? Cest qui qui repand du requip aux gens demunis . Apres quoi les psychiatres disent avec emphase : x a paye pour sintroduire dans un group des tox et ces gens la ils lont droguees. Les tox nont pas des ronds pour se procurer leur “pain quotidien” et encore ou trouver pour droguer un demuni ,( une victime de la mafia psychiatrique) nest pas chers therapeuts du Cery. est ce que vous vous amuser bien avec vos experiments???? Creer des trans avec du requip ou jen sais pas quelle autre methode ? Et comment vous induiser des insomnies totales ? avec des elements radioactifs ? et qui n arrive pas dormir il est fou selon vous ? dou cette conclusion? Avec quel droit vous vous en prennez a la sante des gens a leur dignite a leur liberte ? Au personel psychiatrique : mettez vous entre vous des plafas et des curatelles peut etre que ca va etre amusant . pour moi pas mais certains dentre vous meritent bien.
Encore une fois chapeau pour les vrais suisses : travailleurs et du bon coeur. mais pas aux ordures qui futent rien payes du budget federal. dans leur yeux le reste cest le troupeau du quel ils disposent.
Amicalement et plein du respect pour unbrave peuple , ancien habitant du Lausanne
Conférence de Quentin Van Meter (American College of Pediatricians, American Association of Clinical Endocrinologists), le 18 novembre 2017 :
« The terrible fraud of ‘transgender medicine’ »
https://www.youtube.com/watch?time_continue=5&v=6mtQ1geeD_c
Le problème avec les transgenres c’est qu’ils n’ont aucune imagination, un homme veut devenir une femme et vice versa, voila à quoi se résume leur choix, une seule option, un seul choix, peut on vraiment parler de choix dans ce cas ?
Ceci dit tout! “une jeune fille sourde, Salomé, qui voulait devenir un homme.” La volonté de l’individu, la monade sacrée du libéralisme – et des Francs-Macarons – comme volonté suprême, contre biologie, Nature et Vie. Yes, we can. Beurk, je vais gerber, là…
Rarement lu autant de conneries dans si peu de mots monsieur Cenator. Vous avez un problème d’identité?
« La gauche prétend combattre les stéréotypes sexuels ».
« Pour les adeptes de cette idéologie, l’homme n’est qu’une production de la société, une construction sociale, au diable les réalités biologiques… ».
Que font ces adeptes ? Ils introduisent une kyrielle de nouveaux stéréotypes (plus d’une trentaine actuellement) pour produire, à leur façon, une nouvelle société (ceci grâce, pour certains cas, à la technologie médicale, car la réalité biologique étant ce qu’elle est, est incontournable, inclus la procréation), alors que le problème essentiel, pour chacun, est la recherche d’une identité. Ces idéologues pensent que la multiplication infinie des repères identitaires va résoudre la question, mais on sait qu’il faut être très solide pour l’assumer (ce qui explique le taux de suicide plus élevé).
Pourquoi les homosexuels veulent-ils se marier, avoir une descendance et pouvoir transmettre leur patrimoine ? N’est-ce pas pour être au plus près de la réalité biologique et de la reconnaissance de la cellule familiale ? Ils reviennent donc d’eux-mêmes aux stéréotypes qu’ils combattent.
@Mauron : Peut-être que le fait de parler de tout cela, d’une manière toute autre que celle de la RTS, fera réfléchir d’autres victimes potentielles de cette mode destructrice.
Si cette jeune-fille avait pu lire de telles infos, elle ne se serait peut-être pas embarquée dans cette course à l’autodestruction.
Peut-être que les parents, d’enfants confrontés à ce genre de situation, vont réfléchir en lisant ces lignes.
Les médecins qui participent à ce « business » et la RTS qui exploite la souffrance de cette jeune-fille et de ses parents, … tout cela est simplement innommable.
Franchement je suis plus concerné de trouver un moyen de mettre une fusée aux fesses della Sommaruga pour l’expédier sur Mars que d’ajouter des souffrance à cette pauvre créature !
Référence d’une vidéo de Marion Sigaut à écouter et à faire écouter.
“Marion Sigaut – Le nouvel ordre sexuel des barbares”
Tout y est dit, démontré, expliqué et mis en lien avec l’Histoire.
La suite de l’antispécisme sera, puisque l’animal n’est pas inférieur à l’Homme, de considérer qu’un Homme peut très bien devenir un chien, si c’est son désir… pfffff J’ai de la peine pour cette maman qui doit supporter les délires que cette gauche tarée qui trouve cela tout à fait normal, et est même dans une logique de promotion de cette dégénérescence. Imaginez un peu les problème psychologiques que cette idéologie va créer dans les prochaines années avec les Trans, les homos, les enfants de parents homos, les familles arc-en-ciel…etc Un bon gros business pour les médicaments anti-dépresseurs.
Ce genre de transformation crée des monstres. Beurk !
… le degré de dégénérescence de notre civilisation suicidaire. Je suis entièrement d’accord avec tout le contenu de ce texte de Cenator, qu’il faut remercier.
Tout nouveau, vient de sortir: les pansexuels ! Encore une nouvelle mouture, ceux qui sont attirés par tout ce qui bouge, hommes femmes, homos, hétéros, Bi, Trans, Quer, et j’en passe… Reste encore les chèvres, mais on n’en est même pas sûr !
Quelle déchéance, la fin de l’humanité est proche…