Les mensonges de l’Iran dévoilés

Stéphane Montabert
Suisse naturalisé, Conseiller communal UDC, Renens

Le régime iranien lança avant l'an 2000 un programme nucléaire militaire secret. C'est un fait avéré et documenté. En 2003, alors que les soldats de la coalition menée par les États-Unis envahissaient l'Irak pour mettre à bas le régime de Saddam Hussein, les mollahs iraniens prirent peur et gelèrent immédiatement le programme - l'Amérique était trop proche. C'est un fait avéré et documenté. En 2008, alors que le Messie Obama entra à la Maison Blanche, les mêmes mollahs purent soupirer de soulagement et relancer le programme: la menace que faisaient peser George W. Bush et les faucons républicains s'était éloignée. L'Amérique était désormais conduite par un ami des musulmans - un individu né d'un père musulman, qui effectua une partie de sa scolarité dans une classe coranique, et qui prit de nombreuses positions pro-musulmanes au cours de sa carrière. Ce sont des faits avérés, documentés.

Ils furent tant et plus avérés et documentés que, devant le vague danger de quelques millions de personnes directement consumées par le feu nucléaire lancé par le régime fou et millénariste comme celui des mollahs d'Iran, les puissances de ce monde lancèrent les "négociations" pour donner l'illusion de faire quelque chose. Comme le négociateur en chef du Monde Libre s'appelait alors Barack Obama, il y avait peu de chances que cela débouche sur quelque chose de concret. Et c'est ainsi qu'après d'interminables palabres et autant de dîner de galas et de petits fours, la montagne diplomatique accoucha du fameux traité en 2015 - un traité qui repoussait juste de... dix ans l'obtention légale de la bombe atomique par l'Iran.

En Occident, il faut être un grand naïf pour gober ne serait-ce qu'une minute la fable du nucléaire civil iranien, de l'efficacité des sanctions, de la solution que représente le fameux traité entre l'Iran et les 5+1 (USA, Chine, Royaume-Uni, France, Russie et Allemagne) pour empêcher l'Iran de construire la bombe. Au sein des sociétés occidentales biberonnées à la propagande officielle, mélange de minimisation et de mensonges apaisants pour éviter toute panique improductive, de tels individus existent. Toute population contient une proportion irréductible de crédules, en particulier si leur seule source d'information sont ces médias officiels qui leur veulent du bien. Ces zombies se retrouvent dans toutes les strates du pouvoir, mais plus on prend de la hauteur plus ils se font rares.

D'autres sont des adeptes de la realpolitik la plus extrême: qu'importe que l'Iran soit nucléaire si on peut lui vendre des Airbus, des téléphones portables ou des autoroutes. La France est à l'avant-garde de ce courant de pensée, l'Europe la suit, l'Asie trottine derrière. Dans cette catégorie on peut aussi placer la Suisse qui, se pensant abritée par sa neutralité, ne voit dans le dossier que l'occasion de se faire de la pub en faisant venir des gens importants à Genève. Variante russe: "ils sont totalement fous mais ils sont nos alliés, et c'est ce qui compte". Ces gens savent parfaitement que le chemin qu'ils prennent amènera à courte ou moyenne échéance l'arrivée d'un champignon atomique quelque part mais ils s'en lavent les mains - entre-temps, ils se seront fait un maximum d'argent. Les affaires sont les affaires, et lorsque ce qui doit arriver arrivera, eh bien, il sera temps de voir.

Une troisième catégorie, enfin, est la plus cynique de toutes: ce sont des gens qui imaginent avec un appétit non dissimulé quelle sera la cible - vraisemblablement Tel-Aviv. Bien fait pour la gueule de ces sales Israéliens, de ces sales juifs. Les Iraniens, pensent-ils, finiront le travail commencé par le petit moustachu au XXe siècle, et ce sera très bien pour tout le monde. Évidemment, ce n'est pas le genre de chose que l'on dit en bonne société - si on n'est pas complètement sûr de son auditoire - mais on n'en pense pas moins. En petit comité, on lâche parfois une allusion.

Je passe rapidement sur les nombreux éléments allogènes de nos sociétés qui attendent "l'incident nucléaire" avec impatience pour pouvoir faire la fête avec force klaxons et youyous dans les rues, façon but en finale de Coupe du Monde de football.

Au milieu de cet océan de mensonges, une démocratie, Israël, petit morceau d'Occident perdu au milieu d'une marée d'ennemis vivant dans l'obscurantisme, la violence et la haine, tente de survivre.

Netanyahou fait son spectacle...

Les politiciens sont attirés par les projecteurs et les caméras comme les papillons de nuit par la lumière, et Benyamin Netanyahou ne fait pas exception.

Israël doit sa survie à la qualité de ses services de renseignement - les mêmes qui accumulèrent suffisamment de preuves pour que plus personne, pas même Téhéran, ne puisse remettre en question la réalité du programme d'enrichissement militaire du régime. Le Mossad identifia en 2016 un entrepôt lié au programme nucléaire iranien et lança une opération commando en territoire ennemi, visant à rapatrier ce qui pouvait s'y trouver. Citant un quotidien israélien évoquant des informations publiées dans le New York Times:

Un haut responsable israélien, qui a parlé sous couvert de l’anonymat pour évoquer la mission secrète, a déclaré au Times que le Mossad avait découvert l’entrepôt en février 2016 et que le bâtiment était sous surveillance depuis lors.

Les agents sont entrés par effraction dans le bâtiment une nuit de janvier dernier, ont retiré les documents originaux et les ont ramenés clandestinement en Israël la même nuit, selon le journal.

Le président américain Donald Trump a été informé de l’opération par le chef du Mossad, Yossi Cohen, lors d’une visite à Washington en janvier dernier.

Le haut responsable a déclaré que le retard dans la publication des documents était dû au temps qu’il a fallu pour les analyser, la grande majorité d’entre eux étant en persan.

Que trouvèrent-ils? Juste un ensemble hallucinant d'archives sur le programme nucléaire militaire des mollahs, que le régime iranien avait placé là en pensant que la discrétion suffirait à les protéger, et que le Premier Ministre israélien Benyamin Netanyahou présenta en début de semaine avec une mise en scène étudiée.

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Benyamin Netanyahou se donne en spectacle devant la capture de renseignements par le Mossad.
(Crédit : Bureau du Premier ministre)

Cherchant à maximiser l'impact médiatique de la découverte, le Premier Ministre présenta l'archive de documents iraniens révélant que Téhéran a œuvré à développer un arsenal d’armes nucléaires, menti à la communauté internationale à ce sujet, et pris les mesures nécessaires pour que le pays puisse travailler à l'élaboration de sa bombe dans le cadre du pacte de 2015.

Lors d’une présentation brève mais dévastatrice depuis le siège du ministère de la Défense de Tel-Aviv, Netanyahu a dévoilé ce qu’il a qualifié de l’une des plus grandes réussites des services du renseignement israéliens : mettre la main sur des documents rédigés par l’Iran et consacrés à son propre programme sur les armes nucléaires, à savoir 55'000 pages auxquelles sont venus s’ajouter encore 55'000 documents sur CD, a-t-il expliqué. Ces archives retracent fidèlement les progrès réalisés par le programme global de construction d’armes nucléaires de la république islamique, qui porte le nom de projet Amad, a-t-il noté – s’exprimant en anglais, pour un retentissement maximal à l’international. Et en obtenant ces fichiers, a-t-il déclaré, Israël est dorénavant en mesure de prouver de manière irréfutable que les leaders iraniens ont menti « éhontément » au monde et que l’accord de 2015 est fondé sur une « duperie ».

Les faits sont précis, documentés, disponibles, indiscutables. L'Iran n'a que sa mauvaise foi pour répliquer.

...Et personne n'applaudit.

Rien ne se passe, rien ne se passera, et rien ne pouvait se passer ; avant même la présentation de Netanyahou, chacun devait s'en douter, à commencer par le principal intéressé. Le grand public - divisé en naïfs, affairistes cyniques et antisémites, comme expliqué plus haut - est généralement insensible à de nouvelles informations ; l'indignation est réservée aux causes que les médias officiels ont décrétées importantes. La vie de quelques millions d'innocents menacés par le feu nucléaire n'en fait pas partie. Rien que de plus normal: ce ne sont que des juifs. Au pire se laisse-t-on surprendre par quelque sympathie pour les millions d'Iraniens qui seraient vitrifiés à leur tour lors d'une riposte.

D'autres tenteront faiblement de se faire l'écho de la propagande iranienne et de clamer que tout cela n'est qu'un tissu de mensonge, tentant éventuellement un parallèle hasardeux avec la déclaration de Colin Powell aux Nations-Unies avant la seconde guerre d'Irak en 2003. Nous appellerons cette sous-catégorie les "fidèles de Meyssan", selon un affairiste dont le nom se perd dans les brumes du temps. "Meyssianistes", peut-être?

Le manque de sincérité des dénégations face aux preuves apportées par les Israéliens n'a pas d'importance, parce que la vérité n'en a pas dans ce dossier. Il est probable, sinon certain, que les 5+1 négociant avec l'Iran pour soi-disant l'empêcher de construire la bombe savaient parfaitement qu'ils avaient en face d'eux un interlocuteur plein de duplicité et indigne de confiance. Mais ils étaient prêts à s'en accommoder. Alors, comme tout bon politicien, ils firent ce qu'ils font à chaque fois en pareil cas: ils baissèrent drastiquement leurs exigences jusqu'à ce qu'il n'en reste quasiment plus rien, mais encore assez pour proclamer un "succès" et le fêter, tout sourire, face aux objectifs des journalistes.

Aujourd'hui, les chancelleries s'agitent mais toutes les déclarations vont dans le même sens: "On ne va pas en faire un fromage". Même Netanyahou, relèvent les observateurs, s'est abstenu d'exiger quoi que ce soit. Des analystes estiment que c'est un aveu de la faiblesse de ses nouvelles preuves. D'autres, dont je fais partie, pensent que c'est pour s'éviter l'humiliation d'une fin de non-recevoir par ses "alliés" occidentaux, pour lesquels la perspective d'un Iran nucléaire a bien moins d'importance que la tranquillité de leurs prochaines excursions diplomatiques.

La seule inconnue - et le seul espoir pour Israël de ne pas avoir à agir seul - vient des États-Unis, où Trump occupe la Maison Blanche, et se montre depuis très longtemps le premier Président américain sincèrement intéressé par le destin d'Israël (autrement que lorsqu'il faut récupérer les voix des juifs américains). Trump met en doute la ratification du pseudo-traité de non-prolifération et entend y donner une réponse le 12 mai.

Malgré son nom, le traité actuel garantit à l'Iran l'accès légal à la production d'armes nucléaires à terme - une filière totale, allant du yellow cake à l'ogive nucléaire soigneusement placés sur un missile longue-portée. La non-ratification du traité ouvre une période d'incertitude qui pourrait elle aussi déboucher sur un Iran nucléaire, ou sur une guerre. Mais elle ouvre aussi la mince perspective d'un nouvel accord, réellement contraignant cette fois-ci, empêchant pour de bon les mollahs de concrétiser leurs délires de fin du monde.

Le chemin est étroit mais il existe.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 4 mai 2018

15 commentaires

  1. Posté par Steven le

    Comme relevé par plusieurs commentaires, l’Iran n’a pas tellement voire pas du tout bafoué le droit international et les résolutions de l’ONU. A l’opposé, les USA et Israël ainsi que passablement de nations impérialistes s’en contre-fiche. Ils n’ont pas besoin du droit international, ils ont… l’arme nucléaire. Peut-être que l’Iran développe un programme nucléaire civil, ce qui diversifierait leur production énergétique les rendant moins vulnérable aux crises pétrolières. Peut-être que les Iraniens développe un programme nucléaire militaire, ce qui les rendraient moins vulnérable face aux pressions, ingérences et autres coups tordus de toute cette clique qui se torche avec le droit international. Nucléaire civil ou militaire, ça se comprend dans les 2 cas.

  2. Posté par c.i.a. le

    Que tout soit faites ,légale ou illégale, pour affaiblir cette m**de de l`islam sunnit ou chiite, n`en déplaisent à ces traîtres collabos socialistes gauchisres de M**DE!, je vous défi d`allez chez vos amis iraniens les minables, mes vous ne le ferrez pas, trop lâches que vous êtes, plus courageux de mordre la main des “méchants capitalistes “qui vous nourri!

  3. Posté par Maurice le

    Actuellement, alors que l’Iran ne s’est jusqu’à présent contenté que de paroles, Israël, lui, frappe bel et bien en action…
    Le survol israélien de la Syrie préparerait une attaque sur l’Iran.
    http://m.alterinfo.net/Le-survol-israelien-de-la-Syrie-preparerait-une-attaque-sur-l-Iran_a11178.html
    Hassan Nasrallah : Israël est entré en confrontation directe avec l’Iran – Arrêt sur Info.
    https://arretsurinfo.ch/hassan-nasrallah-israel-est-entre-en-confrontation-directe-avec-liran/
    Un ancien de la CIA révèle qui a tué les scientifiques nucléaires iraniens – Site de la chaîne AlManar-Liban.
    https://french.almanar.com.lb/120041

  4. Posté par Pierre le

    Bravo Mr Montabert pour cette sage prise de position qui n’est pas neutre mais sans ambiguite et qui ,si elle est suivie par notre gouvernement,nous fera connaitre tout en y prenant part , les rejouissances du prochain conflit mondial qui se profile avec la Russie .

  5. Posté par Jean-Francois Morf le

    A votre avis, les fusées intercontinentales de l’Iran, c’est pour envoyer une grenade à l’étranger?
    Les musul-ment sont tous des menteurs, et il ne sert strictement à rien de dialoguer avec eux.
    Probable: l’Iran a déjà acheté ses bombes H à la Corée du Nord, Israël a déjà acheté ses bombes H aux USA, et la Chine produit les missiles intercontinentaux pas cher pour tout le monde (car les chinois ont inventé la poudre…)

  6. Posté par Blaise le

    Drôles de lecteurs-commentateurs qui soudain se sentent solidaires de l’Iran. L’un déteste les Etats-Unis et pense donc que les ennemis de nos ennemis seraient automatiquement nos amis. Un autre se fiche bien que cette bombe atomique soit destinée à Israël puisque lui-même n’y vit pas, il ne voit donc pas pourquoi l’Iran n’aurait pas sa propre bombinette, car plus il y en dans ce monde plus il sera …. sûr ??? Et pour un troisième les mensonges des uns (USA) pardonneraient ceux des autres (Iran). Peut-on sérieusement se défendre d’un crime que l’on commet en arguant qu’un autre a commis un crime similaire ? J’ai du mal à adhérer à la philosophie de ces lecteurs qui ont probablement sauté sur leur clavier sans grande réflexion.

  7. Posté par kandel le

    « Posté par Maurin des GRADS le 4 mai 2018 à 13h24
    Pour quelle raison l’ IRAN n’a pas le droit de disposer d’un armement nucléaire ? Dites moi , je suis impatient . »

    Voici les deux raisons principales, l’ordre donné ici à ces raisons n’est pas significatif.

    Première raison :
    Si l’Iran dispose d’un armement nucléaire, l’Arabie Saoudite en aura également un « le jour d’après » (c’est l’Arabie Saoudite qui a financé la « bombe atomique » pakistanaise, il lui suffit de faire la demande pour en avoir prêtes à l’emploi). En suite de multiples états de la région voudront leurs « bombes ».
    Et alors, bonjour les dégâts !

    Deuxième raison :
    L’Iran a annoncé au monde entier qu’il voulait détruire Israël.
    Un état aussi dément et mauvais n’a pas droit au feu nucléaire.

  8. Posté par kandel le

    19h30 mardi 1 mai 2018
    RTS, Darius Rochebin : « Le Premier Ministre israélien a mis en scène son annonce, il a montré des classeurs et des CD contenant, dit-il, les preuves d’un programme secret d’armes nucléaires mené par l’Iran. L’image est très commentée, pour les uns c’est un bluff comparable à la fameuse fiole que Colin Powell avait brandi sur les armes chimiques de Saddam Hussein, pour les autres … »

    Mr Rochebin, qui sont les « pour les uns » auxquels vous faites allusion, ces « pour les uns » auxquels vous accordez la même crédibilité que « pour les autres » qui accordent du crédit à la présentation du PM israélien.

    Mr Rochebin, avec vos collaborateurs, vous vous êtes efforcés de trouver une esquive pour essayer d’atténuer l’effet dévastateur de la « bombe » présentée par Benjamin Netanyahu. Il s’agit d’une pure désinformation (vous seriez incapable de nommer qui sont vos « pour les uns » sans déclencher un immense éclat de rire) et l’allusion à la fiole brandie par Colin Powell est du même tonneau (les misérables Kurdes gazés par les armes chimiques de Saddam Hussein ne sont plus capables de vous forcer à reconnaître le fait que Saddam Hussein, non seulement, possédait des armes chimiques mais, qu’en plus, il les a utilisées contre des pauvres gens dénués de tout moyen de protection).

    Bravo la RTS, bravo Mr Darius Khoshbin, … nous vous rappelons que les dirigeants iraniens ont proclamés devant le monde entier qu’ils voulaient détruire Israël.

    À ce sujet, Israël et les Juifs ont des siècles d’expériences terriblement douloureuses, … ils en ont même tiré des leçons.
    Menahem Begin a formulé la règle simple suivante (Bibi Netanyahu la connaît) :
    « SI ON DIT QU’ON VEUT NOUS DÉTRUIRE, CROIS-LE. »

  9. Posté par monde-tombé-sur-la-tête le

    Bravo pour cet article percutant et intéressant.

  10. Posté par JC le

    Il est vrais que ce sont les Iraniens qui sont aux manettes un peu partout dans le monde… surtout en occident, dans les affaires, dans les médias, en politique… des fauteurs de guerre, un grand danger, et depuis deux millénaires!

  11. Posté par Maurin des GRADS le

    Pour quelle raison l’ IRAN n’a pas le droit de disposer d’un armement nucléaire ? Dites moi , je suis impatient .

  12. Posté par My Suisse le

    Monsieur Montabert, un grand MERCI pour votre article! Vous êtes une des rares personnes qui ont le courage de dire haut et fort les faits qui sont hônteusement cachés par les politiciens et la majorité de citoyens! Chalom et vive Israel!

  13. Posté par Karl le

    Mouais, il faudrait croire les rapports du Mossad et de la CIA (nous avons la preuve irréfutable…), il convient de rester très prudent sur la question. Moi, ce que je retiens c’est que les USA ont conduit énormément de guerres ces 100 dernières années, combien de guerres les iraniens en ont-ils conduites??? Jusqu’à preuve du contraire se sont les américains qui ont instaurer un régime dictatorial en Iran pour s’emparer du pétrole et non l’inverse!

  14. Posté par Antoine le

    Merci M. Montabert pour votre analyse détaillée.
    En effet, très peu de personnes cultivées prendront conscience des dangers de l’utilisation de l’arme nucléaire iranienne !
    La taqiya, toujours la taqiya (mensonge) ! Même au plus haut niveau des mollahs !

Et vous, qu'en pensez vous ?

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