Lausanne Cités, 24 heures, Le Matin et même le journal de la Migros ont consacré des pages pour attaquer la formation des policiers à Savatan.
Hier (25 avril 2018), 24 heures et la Tribune de Genève em remettent une couche : « Police, le badge de l’Académie de Savatan suscite la polémique. Il n’y a pas de gendarmerie suisse. Et pourtant, l’école de police affiche un insigne qui affirme son existence. Les fédéralistes choqués ! »
Comme tempête dans un verre d'eau, difficile de faire mieux ! Les forces de l'ordre n'ont-elles vraiment pas de préoccupations plus importantes ?
https://es-la.facebook.com/tdg.ch/posts/1715093028530175
Le mobbing des médias dure depuis au moins une année. Le scandale, créé de toutes pièces à la commande de certains politicards, a débuté avec le livre d’un sociologue de gauche (quel doux pléonasme), David Pichonnaz, qui a publié en 2017 «Devenirs policiers». Ensuite, ce sociologue a été interviewé par la quasi-totalité des médias romands et surtout par la RTS. Le bon peuple devait savoir la vérité : il y a un gros problème avec l’école de police de Savatan !
Comme d’habitude, les journalistes attaquent en meute. Le bon peuple ignorait totalement cette problématique – « un fonctionnement martial et militaire avait pris pied dans cette école » – jusqu’à ce que nous soyons éclairés par l’excellent article de Monsieur Perrin.
Monsieur Yvan Perrin, avec sa verve merveilleuse, nous a apporté la pièce manquante du puzzle. Les lecteurs ont alors compris que non seulement les gauchistes voulaient transformer nos policiers en psychothérapeutes et en assistants sociaux engagés à gauche, mais qu’en plus ils trouvaient leur responsable trop « viril »… bref, ils cherchent à lui faire la peau.
Depuis longtemps, en Suisse romande, dans les facultés de sciences humaines, dans l’enseignement supérieur, la quasi-totalité des professeurs ont été progressivement remplacés par des profs d’obédience gauchiste. Les facultés comme l’économie, le droit, proposaient auparavant aussi les points de vues de penseurs de droite, mais ils se sont fait remplacer par des professeurs épris de marxisme culturel. Même les facultés de médecine ont été noyautées peu à peu, les hautes écoles sociales, en somme la totalité des sciences humaines, sans parler des usines à diplômes bidons comme l’université du développement et ses dérivés, formatant depuis cinq décennies le cerveau de la jeunesse à la pensée unique.
Il restait encore un dernier bastion qui résistait : l’école de police de Savatan. Pas de policières à barbe, pas de foulard islamique, pas de couple pacsé en patrouille, pas de policier en hauts talons, ni même d’agent qui change de camp lors des défilés lausannois du collectif Jean Dutoit ! Scandale !
A Lausanne, grâce à la puissante présence de la gauche, les politiques ont réussi à tourner en bourrique les policiers confrontés aux dealers, les autorités leur ont ôté les moyens d’éradiquer ce fléau. La police (tout comme l’armée) est déjà totalement soumise aux politiciens, mais ceci semble encore insuffisant aux gauchistes au pouvoir. Ils ont mis en marche leur machine de guerre contre les forces de l’ordre, pour les faire correspondre en tout point à des forces tolérant le désordre qui règne dans les villes en Suisse romande.
https://www.migrosmagazine.ch/en-suisse-la-formation-de-policier-reste-axee-sur-la-violence
https://www.24heures.ch/vaud-regions/eleves-policiers-croient-guerre/story/27238947
https://blogs.letemps.ch/frederic-maillard/2016/11/01/infantilisation-a-lacademie-de-savatan/
etc.
Cenator, 26 avril 2018
Tous les partisans et artisans de cette charge anti police devraient être lâchés seuls avec un uniforme de police en plein centre ville un vendredi soir (mais sans armes, parce que les armes c’est mal et c’est violent 😉 )
Je cite : ”A Lausanne, grâce à la puissante présence de la gauche, les politiques ont réussi à tourner en bourrique les policiers confrontés aux dealers, les autorités leur ont ôté les moyens d’éradiquer ce fléau. La police (tout comme l’armée) est déjà totalement soumise aux politiciens …”
La Police et l’Armée sont au service du Peuple souverain; ils ne sont pas et ne doivent pas être au service de politicards de gôche !
M. Hildbrand pour la police de Lausanne : Il y a du boulot pour rétablir l’ordre et éliminer la racaille qui traine dans les rues de jour comme de nuit !
M. PArmelin, il y a du boulot pour sécuriser le territoire Suisse et rétablir la confiance !
La campagne anti-police, menée par les médias et alimentée par certains syndicats policiers, cherche à déstabiliser certains Conseillers d’Etats élus et leur hiérarchie. Elle démontre tout simplement la sclérose dans laquelle les meneurs veulent rester, au détriment d’une remise en question inévitable pour adapter les structures aux menaces actuelles et de demain.
Et dire qu’on nous parle d’un magnifique enrichissement grâce à ces “chances” exotiques…. Est-ce qu’il y a encore des niolus pour croire à ces conneries ??
L’analogie est sans doute un peu élémentaire, mais ces gauchistes me font penser à ces adolescents mal dans leurs baskets et qui s’en prennent au paternel, le critiquent, bien que ce dernier leur offre gîte, sécurité et argent de poche , parce qu’ils sont encore trop immatures pour s’en passer.
Les policiers, eux, viendront au secours d’un résident, fût-il gauchiste, hargneux et méprisant à leurs égards quand tout va bien, s’il est en danger.
Très bonne analyse de Cenator. La gauche a compris depuis longtemps que maîtriser l’information donne le pouvoir. Les merdias, donc l’information du peuple, constituent le pouvoir No 1 en régime dit démocratique. L’enseignement permet de formater les esprits. Je n’ai jamais vécu violence gauchiste plus grande qu’à l’université. Alors que l’université devrait être un lieu de libre débat de TOUTES les opinions en totale liberté. Fin de la liberté d’expression à tous les niveaux, fin de la démocratie, la dictature mondiale de type bolchévique est vraiment sur les rails.
Non mais je rêve ! Savatan n’est pas un pensionnat de jeunes filles auxquelles on apprend le maintien, l’art de recevoir et les bonnes manières en société, le tout saupoudré de cours de danse en tutu… Seuls les plus bornés des observateurs (j’ai des noms…) voudraient une police composée d’ectoplasmes encore moins virils que le Municipal Payot, des petites fiottes qui appellent leurs mères si quelqu’un leur fait les gros yeux et qui tombent dans les pommes dès qu’il faut intervenir physiquement.
Parce qu’il ne faut pas se méprendre: pas besoin de passer par Savatan pour devenir garde-parc, taupier, auxiliaire de police ou colleur de bûches sur les parebrises. Nous, la population qui paye des impôts (je sais, cela élimine un bon nombre de branleurs professionnels genre Collectif Jean Dutoit, Collectif R et j’en passe, des pires…) voulons en avoir pour notre argent et pouvoir compter sur une police capable de remplir sa mission à 100%. Or, lorsque l’on voit le sentiment d’impunité qui habite la plupart des justiciables, contrevenants, dealers, illégaux etc., qui n’hésitent pas à injurier les agents pour un simple contrôle d’identité, on se dit que la réponse est encore bien trop gentille et que, parfois, une bonne branlée serait bien plus appropriée.
Donc nos flics DOIVENT être plus forts, plus pugnaces et inspirer la crainte à ceux qui leur font face. C’est le prix à payer pour retrouver une certaine tranquillité et douceur de vivre qui ont abandonné nos villes il y a bien des années.
La gauche est au service du grand capital, ils veulent des polices privées.
Pour notre surprise Monsieur Recordon en train de manger au Palace. Vous comprenez quoi?
Ou sont ces invités les mendiants ?
Ou sont les policiers à Lausanne?
Mercredi à 17heure dans la rue de Bourg. Aucune patrouille aucun policier jusqu‘au parking de mon repos. Pas une personne pour assurer la sécurité. Alors ou est le problème?
Un homme me tend une rose et je lui dit „non merci“ alors ils se met à crier très fort et je me sens agressé car ces crie sont provoqués par mon „non merci“ je me sens pas bien et j‘ai peur qu‘il vient à mon encontre ? Pas de policier en vu pour me rassurer . Rien de rien ! C‘est déjà la deuxième fois que je me suis fait agresser en ville de Lausanne alors je préfère de commander par internet et les magasins en ville vont disparaître.