David Buckel, 60 ans, pionnier de la défense des droits des homosexuels et des transgenres dès les années 90, puis fervent défenseur de l’environnement, s’est immolé par le feu le 14 avril 2018, pour protester contre la destruction de l’environnement et la pollution de l’air : « La plupart des humains sur la planète respirent maintenant un air rendu insalubre par les carburants fossiles et beaucoup, en conséquence, mourront prématurément. Ma mort prématurée au moyen d’un carburant fossile reflète ce que nous sommes en train de nous infliger », a-t-il écrit dans un e-mail envoyé aux médias avant son passage à l’acte.
Il s’immole par le feu pour sauver le climat

La seule vérité dans ce qu’il dit pour justifier son acte c’est qu’il est sûr qu’en se suicidant on meurt prématurément.
Hélas on n’a pas réussi de le sauver : Les asiles sont tous saturés !
@Vautrin
Je pensais que libérer dans l’atmosphère en 150 ans la moitié du carbone que la terre a mis plusieurs centaines de millions d’années à stocker dans ses entrailles ne pouvait pas être sans conséquence sur le climat.
Vous êtes d’un autre avis, auriez-vous la gentillesse d’argumenter? Je suis prêt à revoir mon point de vue face à des arguments rationnels.
En voilà un qui a choisi sa mort : il est donc mort content. Bien.
Quelque chose me turlupine. En s’immolant, n’a-t-il pas pollué cet air qu’il voulait préserver?
On devrait interdire le feux en plein air, c’est dangereux!
Un dingue qui s’imagine a) que la phase de réchauffement (très modéré) est due à des activités humaines et b) que l’humanité peut carrément dompter un phénomène cosmique périodique. Péché de naïveté, péché d’orgueil, explicable par le dérèglement psychique de l’énergumène (voir les “causes” qu’il défend).
Aussi utile que la taxe CO2…
L’apôtre Paul, nous donne une excellente explication au chapitre un de l’épître aux Romains…