France. Caen: un migrant menace de tuer la directrice d’un centre d’accueil : « Tu n’es qu’une mécréante, je vais te tuer et marquer « Nadia » avec ton sang. »

Un migrant, accueilli au Centre d’accueil et d’orientation de Caen (Calvados), n’y séjourne que rarement, ce que lui reproche la directrice. A la suite d’une altercation, il la menacera de mort.

Le mardi 27 mars 2018, la directrice du Centre d’Accueil et d’Orientation (CAO) de Caen (Calvados) reproche à Maroof Mohammad Mayar, Afghan de 22 ans, de ne passer que deux soirs par semaine au centre. « Vous prenez la place de quelqu’un qui en a besoin. »

« Tu n’es qu’une mécréante »

Le jeune homme, qui s’est déjà fait exclure du CAO de Creully (Calvados) lui assure que c’est la dernière fois qu’il se rend à Paris. « Je le jure sur le Coran », affirme-t-il en anglais. Il s’éloigne et croît entendre la directrice dire : « Le Coran, je m’en fous. » Revenant sur ses pas, il s’en prend au collègue de la directrice. Puis, lance à la directrice : « Tu n’es qu’une mécréante, je vais te tuer et marquer « Nadia » avec ton sang. » Une porte est dégondée lors de son interpellation.

Un faux demandeur d’asile

En comparution immédiate le jeudi 29 mars 2018 au tribunal correctionnel de Caen, le jeune homme répond de menace de mort. L’enquête détermine que sa demande d’asile était un faux et qu’il n’aurait pas dû recevoir de sommes allouées aux vrais demandeurs d’asile.

Prison ferme

Par interprète interposé, il explique qu’il n’a menacé personne, mais voulait se suicider si on l’excluait du CAO. « C’est avec mon sang que je voulais écrire Nadia. » Son avocat appelle à ne pas se laisser gagner par l’ambiance due aux derniers actes terroristes en France. Le jeune homme est primodélinquant.

Il écope de six mois de prison ferme avec mandat de dépôt.

8 commentaires

  1. Posté par seb le

    le peuple en a marre d etre baffouer ainsi, le peuple se souleveras !

  2. Posté par miranda le

    Il etait à renvoyer sur le champ dans son pays
    Mais les juges “humanistes ou gauchistes” ne le demanderont pas.
    AH, c’est vrai, j’oubliais, un juge ne le peut pas, puisque la COUR EUROPEENNE DES DROITS DE L’HOMME a décidé que le délit de clandestinité n’existait plus.

    Ce qui ont décidé de cela risquent de faire de nos enfants des criminels, car dans dix ou vingt ans il sera question de LEUR SURVIE.

  3. Posté par Tommy le

    A Fabiola@
    Lui, chez nous, un simple rappel à la loi et un bon pour une séance de coloriage ou de peinture sur soie.

  4. Posté par Christian Hofer le

    Oui Alain,

    L’article était prévu d’être publier à 9h11. Mais il y en avait trop déjà publiés ce matin.

    Il est repoussé pour 9h44.

  5. Posté par Le Taz le

    Il n’a pas du passer par un centre de déradicalisation 😉 Il va bien falloir finir par nommer clairement qui sont ceux qui tiennent absolument à nous envahir de peuplades barbares qui conduiront l’Europe à sa perte! Informer la population des crimes des envahisseurs c’est bien mais ça ne réglera pas le problème, il faudrait s’intéresser à ceux qui financent les ONG, aux politiciens qui font tout pour mettre en place cette invasion migratoire car se sont eux les véritables coupables!

  6. Posté par fabiola le

    6 mois, nous on prendrait combien ?

  7. Posté par Loulou le

    Quel enrichissement! Nous avons les mêmes chez nous, engraissés par les impôts confiscatoires tondus sur le dos de la classe moyenne (sur le ventre et les couilles, aussi, le dos n’y suffisant plus depuis longtemps).

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.