Une étudiante britannique de Glasgow, âgée de 23 ans, s'est vu retirer sa nationalité britannique après avoir fui en Syrie pour rejoindre l'Etat islamique.
On pense qu'elle s'est radicalisée sur Internet alors qu'elle étudiait à l'université calédonienne de Glasgow. Et à présent que son passeport britannique a été annulé, elle a été placée sur une liste de surveillance des Nations Unies et ne peut pas rentrer à la maison.
Cependant, l'avocat de la famille, Aamer Anwar, spécialisé dans les droits de l'homme, a déclaré que la décision du gouvernement britannique conduirait à une augmentation du terrorisme.
Selon un article du Glasgow Evening Times, il a déclaré: "Nous sommes maintenant dans la position où le gouvernement britannique dit: "Nous dépouillons les gens de leur citoyenneté pour qu'ils ne puissent pas revenir au Royaume-Uni.
"Ils disent donc: "Laissez cela comme un problème pour le peuple irakien ou syrien ".
"La meilleure façon d'y faire face est d'obtenir des informations auprès des personnes touchées plutôt que de simplement les laisser participer au terrorisme."
Nous ne sommes pas vraiment d'accord avec ce que cet avocat déclare, car il est sûrement préférable que ceux qui ont été radicalisés soient tenus le plus loin possible du Royaume-Uni.
L'argument de la collecte de renseignements peut également être valable, mais il doit aussi être possible de recueillir des renseignements par des agents qui sont «sur le terrain».
Source Traduction libre Les Observateurs.ch
Pendant ce temps, voici la situation en Suisse:
Suisse. Lutte contre le terrorisme islamiste: le PS critique l’assignation à domicile
“Laissez cela comme un problème pour le peuple irakien ou syrien “.
Je suis tout à fait d’accord, laissons les victimes, maintenant qu’elles peuvent se défendre, face à leurs bourreaux, et reconnus comme tels. Ce ne sera pas vécu comme un problème, pour les peuples syriens ou iraquiens. Ils trouveront aisément la solution appropriée.
Nos gouvernements les ont laissé se faire massacrer, génocider, alors, je ne comprendrais pas que, dans ce cas, précisément, nous aurions le culot de leur donner des leçons en intervenant .
Encore une qu’on va plaindre … snif je ne peux plus rentrer à la maison … que s’est triste !
Elle n’a pas bien assuré ses arrières … son choix de partir au combat est-il remis en question ?
Si retour à la maison, sera-t-elle une bombe ambulante ou un élément recruteur …
“Elle ne peut pas rentrer à la maison”????? Mais sa maison est celle qu’elle a choisie, à savoir le califat d’isis…. elle ne chercherait d’ailleurs pas à revenir en GB si d’aventure ce dernier était encore en place, massacrant gaiement à tours de bras…. Bien fait!!!Qu’elle y reste!!!!
Mais… Le procédé devrait être généralisé dans tous les pays occidentaux. Un djihadiste n’a pas de nationalité, c’est un résidu d’anthropopithèque.