La loi sur le travail a pour objectif de protéger la santé du travailleur de tout préjudice imputable au poste de travail. Ses prescriptions s’articulent autour de deux axes: premièrement, celui de la protection de la santé au sens large, deuxièmement, celui des durées du travail et du repos.
La loi est applicable à toutes les entreprises privées et publiques ainsi qu'aux travailleurs qui y sont occupés, sans distinction de genre, de religion ni d’opinions.
Or, jusqu’ici, le travail des bénévoles en ligne a échappé à tout contrôle.
En conséquence, l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), dans un commniqué publié ce matin, a chargé les Inspections cantonales du travail de se pencher notamment sur le travail des bénévoles des sites internet d’information et de réinformation, qui y passent parfois bien plus que le temps de travail réglementaire et ne disposent à ce jour d’aucun moyen de récupérer leurs heures supplémentaires.
Des contrôles seront être mis en place et les contrevenants seront signalés directement au Conseiller fédéral en charge de la santé, Monsieur Alain Berset.
Toutes mes excuses à nos lecteurs et au Conseiller fédéral Berset, et bravo à Pépé le Moko pour sa perspicacité.
Espérons que les suggestions de Célestine et de Sergio seront entendues !
Apparemment Mr Alain Berset n’avait rien de plus urgent à faire. Rien à signaler dans les EMS par exemple.
Pas bête le Berset ! Ainsi les sites de réinformation seronr passibles d’amendes de plus en plus élevées ce qui aura pour effet de faire disparaître les plus vulnérables du point de vue financier.
Nous sommes en dictature !
Une bêtise de plus ! Comment va-t-il distinguer le bénévolat à caractère professionnel du bénévolat de “loisirs” ?
Il fallait bien qu’il sorte de nouveau une triste ânerie pour qu’on se rappelle bien qu’il est de GÔCHE ! (c’est d’ailleurs à ça qu’on les reconnaît).
Cet incapable s’occupe évidemment des grandes priorités… C’est bien moins dangereux que de s’occuper des réels problèmes de ce pays. De l’enfumage comme d’habitude!
bien éssayé. 1 er avril
@Celestine d’accord avec vous. J’en pense qu’avant de s’attaquer aux bénévoles en ligne, il ferait mieux de s’attaquer aux causes qui obligent les Suisses arrivés à la retraite de s’expatrier pour pouvoir survivre.
N’importe quoi, ils ont du temps pour ce genre d’ineptie mais pas pour des affaires plus urgentes. Des contrôles seront mis en place…………………………….. encore pour créer des emplois pour les copains des copains, qui ne servent à rien mais qui seront bien rémunérés ! Dans quelques temps on aura aussi des agents qui noteront le temps qu’on passe à aider des gens et rendre service.
J’en pense qu’avant de s’attaquer aux bénévoles en ligne, il ferait mieux de s’attaquer au burnout des professionnels de la santé dans les hôpitaux.