Le National ne veut pas renforcer les moyens de combattre les idéologies radicales dans l’armée suisse

Pas besoin d'en faire plus pour contrer l'extrémisme au sein de l'armée suisse. Le National a enterré mardi par 110 voix contre 77 un texte du groupe PBD qui voulait renforcer les moyens de combattre les idéologies radicales.

La réponse à l'extrémisme, «c'est la tolérance zéro», et pas la liberté d'opinion, a lancé Martin Landolt (PBD/GL). Il est incompréhensible que le gouvernement ne veuille rien faire à ce propos.

Car l'armée suisse est confrontée à l'extrémisme, notamment de droite, et au djihadisme, selon le PBD. Les textes en vigueur limitent la marge de manoeuvre pour agir. L'armée peut prendre connaissance du contenu d'un casier judiciaire, mais aucune information concernant des procédures pénales en cours ne peut lui être communiquée, faute de base légale.

Pas impuissante

La marge de manoeuvre de l'armée est restreinte s'il n'y a pas eu d'acte violent commis, a reconnu le ministre de la défense Guy Parmelin. Les opinions, même radicales, ne sont en principe pas punissables car elles font partie de la liberté de conscience.

Mais l'armée n'est pour autant pas impuissante, selon Guy Parmelin. Tous les conscrits sont soumis à un contrôle de sécurité avant de se faire remettre une arme personnelle. Des informations sur d'éventuelles poursuites pénales en cours pourraient de plus être à l'avenir livrées à l'armée.

La discrimination raciale peut déjà être poursuivie par les autorités militaires sur le plan d'une procédure pénale militaire. Enfin, le service spécialisé Extrémisme dans l'armée est actif dans la prévention. Et les médecins ou psychologues traitants peuvent informer l'armée, s'ils constatent des signes inquiétants chez une personne. (nxp/ats)

13.03.2018

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6 commentaires

  1. Posté par bobpholos le

    Aucune conscience de la gravité de la situation auquel la suisse et européens commencent à être confrontés.

  2. Posté par JeanDa le

    “La marge de manoeuvre de l’armée est restreinte s’il n’y a pas eu d’acte violent commis, a reconnu le ministre de la défense Guy Parmelin.”
    C’est vrai qu’il est plus facile de combattre les criminels et terroristes APRÈS qu’ils aient commis leurs méfaits.
    Au fait, qu’en pensent les victimes ?

  3. Posté par Dominique Schwander le

    Je ne suis pas d’accord avec la prise de position du National.
    Que l’armée filtre et élimine de ses rang quelques miliciens d’extrême droite, cela ne me semble pas difficile. Mais pour les djihadistes musulmans c’est, à mon avis un tout autre problème. La question prenante et fondamentale que chaque élu et chaque officier devraient se poser à propos des musulmans pratiquants est la suivante. Un bon musulman pratiquant peut-il être un bon Suisse et un bon soldat de notre armée de milice ?
    – Théologiquement: non parce que son allégeance est à son seul allah.
    – Religieusement: non parce que son dieu allah n’accepte aucune autre religion que la musulmane et aucun autre dieu que allah.
    – Idéologiquement: non parce que son dieu allah n’accepte aucune autre idéologie que l’islam-idéologie.
    – Spirituellement: non parce que, dans notre culture judéo-chrétienne, dieu est un père bon, qui aime et pardonne, alors que allah est dur, vindicatif, menace de l’enfer, punit, exige de tuer les mécréants/infidèles, de tuer les apostats et venge.
    – Socialement: non parce que son allégeance à l’islam lui interdit de se lier d’amitié avec des chrétiens, des juifs, des athées et tout non-musulman, qui sont, selon l’islam, tous des mécréants.
    – Quand au milieu du travail et au milieu scolaire: non parce que son allégeance à l’islam l’empêche de se soumettre à une supérieure de sexe féminin et à des non-musulmans et l’oblige à pratiquer suppliques, ramadan, abattage rituel et autres coraneries.
    – Quand aux lois: non parce que son allégeance est aux cinq piliers de l’islam, au coran, à la charia, aux hadiths, au prosélytisme, au jihad, à l’infériorité des femmes, etc.
    – Politiquement: non parce que le bon musulman pratiquant doit se soumettre à ses guides doctrinaires musulmans qui lui enseignent l’extermination des juifs, l’annihilation d’Israël, l’élimination des chrétiens, la destruction du grand satan que sont les USA, la destruction de toute démocratie directe comme la Suisse ou représentative comme les USA.
    – Quand à la vie de famille: non parce que le musulman pratiquant peut posséder les quatre épouses autorisées par ce coquin de Mahomet, dont des fillettes, les battre quand elles lui désobéissent, épouse souvent une cousine du premier degré et que le mariage et les droits des femmes musulmans sont à l’opposé du mariage et des droits occidentaux des femmes.
    – Intellectuellement: non parce que, selon le coran, le musulman pratiquant ne peut pas accepter nos constitutions, se soumettre à elles, à nos lois et à nos droits de l’homme, ni même jouer aux échecs.
    – Moralement: non parce que il y a divergence entre nos valeurs judéo-chrétiennes et greco-romaines, notre graduation des erreurs, nos impiétés et nos péchés et ceux de l’islam.
    – Verbalement: non parce que le bon musulman pratique l’art oratoire dissimulatoire musulman ou taqiya et a de toutes autres définitions que nous de nombreux termes fondamentaux.
    – Géographiquement: non parce que son allégeance est à la Mecque, vers laquelle le bon musulman doit se tourner plusieurs fois par jour pour prier, pratiquer l’abattage rituel, etc.
    – Philosophiquement: non parce que islam-bunker, Mahomet et coran interdisent la liberté de religion, la liberté conscience, la liberté d’expression, la liberté de penser, la liberté de rire et la liberté de rêver.
    – Démocratiquement: non parce que islam-bunker et démocratie directe ou représentative ne peuvent pas coexister. Un gouvernement musulman est soit dictatorial, soit théocratique, soit autocratique et toujours sacré ou divinisé.
    – Quant à la nation: non parce que le musulman pratiquant, lorsqu’il est immigré puis obtient la nationalité, tient à être reconnu d’abord comme musulman; il fait partie d’abord de sa nation l’oumma ou de sa tribu musulmane qui se veut être ou devenir une nation ou une tribu dans notre nation, puis la remplacer. Pour les Européens, leur nation vient en premier, puis l’Europe; les Européens se perçoivent tout d’abord comme Espagnols, Suisses ou Polonais. De plus, vu l’évolution de la société depuis le cardinal de Richelieu (1585-1642) pour qui la loyauté nationale du citoyen devait prévaloir clairement sur les loyautés religieuses quelles qu’elles soient, les Suisses préfèrent leur pays à ceux qui partagent leur foi. Pour les musulmans pratiquants accueillis en Europe, l’islam vient en premier puis vient le pays de leur shopping migratoire. Les musulmans pratiquants préfèrent les pays qui partagent leur foi à leur pays d’accueil en Occident. Pour eux les règles de leur islam-idéologie sont toujours supérieures aux règles de la communauté politique réelle de leur pays d’accueil, ce qu’illustre le jihadisme et le terrorisme « religieux » musulmans. A part quelques exceptions, les Européens n’ont pas d’attachement affectif ou émotionnel envers l’UE, ils acceptent l’UE pour des considérations utilitaristes et parce qu’ils sont manipulés. Les musulmans pratiquants, eux, n’ont pas d’attachement affectif ou émotionnel pour leur pays d’accueil ou l’Europe; ils acceptent un pays européen pour des considérations utilitaristes et égoïstes et pour en profiter. Voilà pourquoi un musulman pratiquant et la majorité des extra-européen avec une double nationalité sont soumis à deux systèmes juridiques et à deux systèmes de devoirs, ce qui entraîne des contradictions et leurs insupportables conséquences pour les autochtones et les immigrants choisis et assimilés. Comme l’a affirmé Dalil Boubakeur dans son « Traité moderne de théologie islamique » aux éditions Maisonneuve et Larose en 2003: « La nationalité musulmane est une supranationalité, essentiellement morale et indivisible, fondée sur l’accord des âmes et des cœurs. Elle est au-dessus de toutes les nationalités fondées sur la race, la langue, la politique, l’intérêt, les données de l’histoire ou de la géographie. » Bien que très claire, la prise de position de ce musulman, qui se dit « moderne » dans le titre de son traité et disciple de l’oxymoron « islam de France », n’est toujours pas comprise par la majorité des élus de l’UE et de la Suisse.
    – Psychologiquement: non, parce que, pour croire ou souscrire à ce qui est écrit et prescrit impérativement dans le coran, les plus de un million et demi de hadiths ou dires de Mahomet et dans d’autres textes « sacro-saints » de l’islam-idéologie, ne faut -il pas être un individu bien dérangé ou un psychopathe et souffrir en plus d’une soit-disante anxiété sexuelle des plus graves?
    Par conséquent, tant que les musulmans pratiquants ne réformeront pas leur islam-idéologie, de fond en comble comme nécessaire, nous devons tous nous méfier de tous les musulmans et musulmanes pratiquants, parce que ces autres ne peuvent évidemment pas être à la fois de bons et fervents musulmans et de bons soldats de notre armée de milice Suisse.

  4. Posté par farjon thierry le

    Chouette l’armée va enseigner l’art de la guerre aux extrémistes de tous genre et hop dès qu’ils sortent, HOP! en Syrie pour renforcer l’état Islamique, ou commettre des attentats sur notre territoire. Bien, très bien! On est pas sorti de l’auberge!

  5. Posté par Aude le

    Le National porte mal son nom, c’est l’international de soutien au radicalisme musulman.
    Eh ben oui quoi? Quand on en arrive là?
    Bizarre quand même alors que la France commence à faire l’inverse!
    En cas de rififi, ne comptez plus trop sur l’armée, donc citoyens armez-vous!

  6. Posté par Bribrilanarchistededroite le

    Parce que mettre un signe ostentatoire religieux n’inquiète pas l’armée, la Suisse va être globalisé comme le reste de l’Europe et détruite comme le veut les khazars

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