Il y a 15 jours @MCArnautu annonçait dans une intervention à #Nice06 qu’après les sans-papiers, les réfugiés, on allait nous servir les exilés. Nous y voici. https://t.co/zTjHaYbDn3
— Philippe Vardon (@P_Vardon) 13 février 2018
Tout au début on parlait des clandestins, ce qu’ils sont dans la réalité. Ensuite les bien-pensants ont préféré parler, pour mieux cacher la vérité, de « sans-papiers », de « migrants », de « réfugiés », de « demandeurs d’asile »…
Maintenant le nouveau petit nom qu’ils leur donnent est « exilé » !
Définition du Larousse pour exilé : se dit de quelqu’un qui est condamné à l’exil ou qui vit en exil ; banni.
Que ces clandestins quittent leur pays de leur plein gré, qu’ils gardent leur nationalité, qu’ils ne soient en aucune façon bannis de leur pays d’origine, qu’ils soient arrivés illégalement en France, de toutes ces considérations nos immigrationnistes convaincus s’en contre-balancent royalement. Ce qui compte c’est faire pleurer mémé dans sa chaumière et devant sa télé, sur le sort de ces envahisseurs…
Francesca de Villasmundo
Extrait de: Source et auteur
TOUT LE CHARME ET L’INVENTIVITE de la langue Française utilisés par les manipulateurs au service du grand remplacement et surtout au service de l’envahisseur.
Si ça peut convaincre les “faux gentils”, pourquoi se gêner ? Quelle sale bande d’hypocrites!
En tout cas ça démontre leur état de faiblesse dans leur course à chercher comment nommer ceux que l’on ne désire plus. Qui les aiguillone à ce point aux fesses pour qu’ils obéïssent à en perdre leur dignité?
Eh bien cela n’a pas d’importance : “réfugié”, “migrant”, “exilé”, cela désigne toujours un envahisseur. Les médiastres crétins s’imaginent-ils que les mots suffiront à travestir les faits que tout un chacun peut observer chaque jour ?