Abdelaziz Bouteflika se succédera-t-il une nouvelle fois à lui-même ? A un peu plus d’un an de l’élection présidentielle, une coordination pour «le soutien au cinquième mandat du président Bouteflika» vient de voir le jour. A la manœuvre, se trouve Baha Eddin Tliba, député du Front de libération national (FLN), un des partis qui compose la majorité présidentielle.
En #Algérie la question de la vacance du pouvoir et d'une destitution de #Bouteflika refait surface
➡️https://t.co/CYEhXFV7Wwpic.twitter.com/0IXjWVzvO1— RT France (@RTenfrancais) 5 septembre 2017
Dans une interview accordée le 4 févier au site d’information en ligne Tout Sur l'Algérie, ce dernier a assuré avoir l'appui d’acteurs importants de la scène politique algérienne à l’instar des anciens Premiers ministres Abdelaziz Belkhadem et Abdlemalek Sellal, ou encore de l’ancien secrétaire général du FLN, Amar Saâdani. Si ces responsables politiques n’ont pas encore confirmé leur pleine adhésion à cette initiative politique, ils n’ont pas pour autant fait part de leur opposition.
Et pour cause, aucune voix divergente au sein des partis de la majorité présidentielle n’a abordé l’éventualité d’une succession en 2019, Abdelaziz Bouteflika n’ayant pas encore divulgué ses intentions futures. Même l'actuel Premier ministre, Ahmed Ouyahia, que les observateurs politiques soupçonnent d'avoir une ambition présidentielle, a récemment réitéré qu'il ne s'opposerait pas à un cinquième mandat du président algérien.
La santé d'Abdelaziz Bouteflika toujours au cœur du débat
Malgré les appels répétés des partis de l’opposition à appliquer l'article 102 de la Constitution tendant à destituer un président dans l'incapacité d'exercer ses fonctions, Abdelaziz Bouteflika affaibli par un AVC survenu en 2013, tente d’occuper tant bien que mal l’espace médiatique. En réponse aux accusations sur son inaptitude à gérer les affaires du pays, le président algérien multiplie les rencontres avec les responsables étrangers.
De courtes séquences vidéos le montrant en train d’échanger brièvement avec ses hôtes viennent ponctuellement agrémenter les journaux de la télévision publique afin de dissiper le sentiment de vacance du pouvoir. Une preuve irréfutable que le chef de l’Etat algérien est à la barre pour ses supporters, une mise en scène trompeuse selon ses opposants. Si la question du cinquième mandat n’a pas encore été officialisée du côté de la présidence, elle cristallise déjà les tensions au sein de la classe politique algérienne.
Extrait de: Source et auteur
Pourquoi pas? il pourra briguer même un 10e mandat, tant que le contribuable Français lui prolonge gratuitement sa vie indéfiniment, alors que lui ne rate pas une occasion de cracher sur la france et pomper encore et encore l’argent des francais et les minables humiliantes excuses du minable opportuniste qu’ils ont élu comme président…..
Ce vieux déchet néfaste ne survit que grâce aux soins prodigués gratuitement (enfin, avec nos impôts) par la France, sur laquelle il crache encore régulièrement. Tous les pays du Maghreb et d’Afrique sub-saharienne sont dans un état lamentable depuis le départ des blancs. Non seulement ils ont été incapables d’entretenir l’existant, créé par les vilains colonisateurs, mais de plus, ils ont tout détruit. Certains Africains honnêtes reconnaissent eux-mêmes que “c’était mieux du temps des blancs”…., mais bien sûr, il ne faut pas le dire.
L’algérie est devenue un dépotoir entourée de friches entourées du desert ….elle ne survie que grace a la mane d’hydrocarbure ….ils ont chassé les français qui maillaient un systeme économique sérieux (tresor publique,hopiteaux, enseignement ,transport, agriculture, artisanat)
….Le pays est perdu !!! et l’afrique du sud va suivre apres le massacre des fermiers blancs
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2014/10/12/article.php?sid=169581&cid=2