L’immigration sera-t-elle la question centrale des élections générales italiennes qui se tiendront le 4 mars prochain, après la dissolution du Parlement fin décembre ? C’est en tout cas le pari du responsable de la Ligue du Nord Matteo Salvini, dont la formation politique a conclu une alliance avec le parti de centre-droit de Silvio Berlusconi, Forza Italia. Pour sa campagne, Matteo Salvini table sur la montée d’un sentiment anti-immigration dans le pays pour gagner la majorité au Parlement.
Fort de son slogan «les Italiens d’abord», Matteo Salvini a promis dans les colonnes de La Repubblica d’expulser 100 000 migrants clandestins par an au cours de ses cinq années de mandat, si son parti accède au pouvoir. Il a fait remarquer que, sur les quatre dernières années, plus de 600 000 migrants étaient arrivés en Italie, et s’est donc engagé à en renvoyer un demi-million.
«En Italie, il y a trop d’immigrés clandestins qui se baladent et sèment le désordre, je ne peux plus le supporter», a-t-il lancé sur le même thème lors d’une émission politique sur la chaîne La7, le 23 janvier. «Il y a ceux qui se servent d’avions pour amener des migrants en Italie. Je les utiliserai pour les ramener chez eux», a-t-il encore affirmé, dans une autre phrase choc.
Si la question de la politique migratoire italienne est centrale dans le programme de la Ligue du Nord, cette dernière compte s’appuyer sur d’autres arguments pour convaincre les électeurs. Parmi ceux-ci, Matteo Salvini a soutenu que «la révision des traités européens» était bel et bien prévue dans le programme, afin que les principes de la constitution italienne puissent «prévaloir sur ceux de Bruxelles et Berlin».
« J’ai le devoir de changer ces règles, parce que mon pays vient en premier », a conclu Matteo Salvini, dans une expression qui n’est pas sans rappeler la rhétorique de Donald Trump, pour lequel il a toujours affiché un soutien clair.
Lire aussi : Les pays du sud de l’UE tentent d’afficher leur unité face à la crise migratoire
Extrait de: Source et auteur
Article paru sur le site Les Observateurs.ch.EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaire
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24 99
Cet article Matteo Salvini s’engage à expulser 500 000 migrants clandestins est apparu en premier sur Eurolibertés.
Extrait de: Source et auteur
E va Matteo, fino la Victoria…siamo tutti con te. Coraggio. E viva Italia.