Selon le Daily Telegraph, l’université d’Oxford a accordé plus de temps aux candidates pour compléter leur examen afin d’améliorer les faibles résultats des femmes.L’université a en effet accordé 15 minutes de plus aux étudiantes qui ont passé les examens de mathématiques et d’informatique à l’été 2017 pour compléter leurs examens, après avoir décidé que « les candidates pourraient être plus susceptibles d’être affectées par la pression du temps » que les homologues masculins. Par contre, ni la longueur ni la difficulté des questions n’ont été modifiées pour les candidates.C’était la première fois que de telles mesures ont été prises. Au cours des années précédentes, le pourcentage d’étudiants masculins ayant obtenu un diplôme de première classe était le double de celui des femmes et en 2016, le jury d’examen a suggéré que le département apporte des changements pour améliorer les notes des femmes.
Cependant, malgré l’intention de réduire les disparités entre les sexes, l’effet principal de l’augmentation du temps semble avoir été une augmentation du nombre des résultats dans la moyenne supérieure (2:1 dans le jargon universitaire britannique, soit de 60 à 69 %) et moins dans la moyenne inférieure (2:2, soit de 50 à 59 %). Les hommes ont continué à recevoir plus de diplômes de première classe (70 % ou plus) que les femmes dans les deux matières.
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Franchement , ça fait mauvais genre , cette décision ! Non ?
Cela s’appelle “discrimination positive”. Mais il n’y a pas de discrimination “positive” ou “négative”, il y a discrimination, un point c’est tout. Qui se retourne évidemment contre les personnes “positivées” : à suivre les imbéciles de la bien-pensance, en poussant leur raisonnement jusqu’au bout, cela veut dire : “les femmes sont moins vives intellectuellement que les hommes, il leur faut donc davantage de temps pour réussir une épreuve d’examen.” Ce qui est évidemment une infamie, mais masquée de bien-pensance. Tous les hommes sont égaux, certes, mais les un un peu plus que les autres. Il y a des disparités naturelles entre les personnes, et ces disparités ont autant d’importance que les disparités culturelles, et la sexuation n’a rien à faire dans ce problème. Les ignorer, c’est de la démagogie.
Elles reviendrons nous bassiner avec l’égalité, tiens.
Cela dit, monter les hommes contre les femmes, ce qui finira par arriver, est la division ultime pour ceux qui tiennent le monde entre leurs mains.
A ce train la on va tous finir muzlim.