Malaise dans le studio des Grandes Gueules de RMC mardi matin. La sénatrice socialiste Samia Ghali, souvent incontrôlable, parle de « la nouvelle jungle » du parc Kalliste à Marseille : occupation, sauvagerie, prostitution, viols…
Des années de propagande, de savant déni et de dissimulation médiatique abîmées en trois minutes : Samia Ghali décrit les mœurs du squat de migrants nigérians de Marseille. Fin décembre, ces clandestins (plus d’une centaine qui squattent une barre d’immeuble du quartier Kalliste) ont percé des trous dans les murs pour détourner l’électricité des riverains qui sont dans le noir et le froid depuis. Devant les risques d’incendie, les marins-pompiers de Marseille ont tout coupé.
Située dans les quartiers nord de Marseille, dans le XVe arrondissement, la cité Kalliste est connue comme l’une des plus délabrées de la ville. Composée d’immenses barres d’immeubles, elle fait l’objet d’un plan de rénovation qui n’en finit plus de traîner, piloté mollement par les pouvoirs publics. Une poignée de familles vivent encore sur place, dans des appartements dont elles sont propriétaires ou qu’elles louent. Les migrants occupent illégalement tout le reste et leur font vivre un enfer. « Ils se passent le mot en arrivant à la gare Saint-Charles », décrit un habitant. « Ils prennent le bus et ils viennent ici, il n’y en a que un ou deux qui parlent français ».
Samia Ghali en appelle à Gérard Collomb : « Plus le temps passe, plus la situation s’aggrave. » Selon elle, la mairie de Jean-Claude Gaudin « ne fait rien » et laisse la situation devenir explosive. Bagarres entre les habitants légaux et les migrants, coups de barres de fer, coups de couteau, « il va y avoir un mort », avertit la sénatrice des Bouches-du-Rhône : « Les lieux sont envahis par le trafic de drogue, la prostitution, il y a des agressions et des viols. »
Les habitants de l’immeuble qui payent leur loyer, vivent sans électricité. L’ascenseur ne marche plus. Il faut traverser les barrages menaçants des squatteurs et des dealers, les violentes bagarres entre migrants qui éclatent tous les jours, passer les boîtes aux lettres défoncées, les cages d’escalier puantes et envahies de détritus, où les portables rechargés dans les voitures servent de lampes de poche, pour arriver jusque dans les appartements glacés, où il y a des rats.
« Une autre jungle de Calais se prépare dans l’indifférence au Parc Kalliste », répète Samia Ghali qui en avait appelé à l’armée pour déloger les dealers qui font la loi dans les cités des quartiers nord. On imagine les cris d’orfraie des assoces, des comédiens, des chanteurs, des sportifs, des députés, des ministres, toute cette caste qui vit bien au chaud dans des beaux quartiers où ils ne croisent jamais un migrant, si le moindre militaire écrasait l’orteil d’un Nigérian. Les mêmes qui gueulent, Jacques Toubon, le défenseur des Droits en tête, parce que le gouvernement propose de seulement les recenser dans les centres d’accueil, pour faire le tri entre ceux qui peuvent prétendre au droit d’asile et tous les autres. Même ça c’est impossible.
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Extrait de: Source et auteur
en fait cette situation est la même partout ou les envahisseurs s installent notamment a Paris , Calais …
Il est incompréhensible de voir les “envahisseurs” présents depuis 2 à 3 générations laisser détruire ce qu’ils sont venus chercher , en se vautrant dans le communautarisme ; ça prouverait que nous ne sommes pas faits du même bois .
C’est (d)étonnant !! La Vérité commence à apparaître. Le déni des autorités est intolérable. On paie des impôts pour soi-disant notre sécurité (Merci M .Collomb) et des loyers y compris l’électricité, le chauffage et la salubrité des locaux loués …
On ne verra pas cette information au TJ 20H, encore une information non diffusée par OMISSION volontaire !
Cette situation s’étendra à toute la France et l’Europe, et heureusement finira bien pas atteindre les beaux quartiers, donc les directeurs grassement payés des assoces, les comédiens, les chanteurs, les sportifs, les députés, les ministres, toute cette caste de faux-culs qui vit bien au chaud dans des beaux quartiers où ils ne croisent jamais un migrant !
Il y a un petit air du “Camp des Saints” , l’avez vous lu ? Non ! Dépêchez vous !