Lors d’une des premières manifestations contre le projet de « mariage » inverti, organisée par Civitas à Paris en 2012, une horde de harpies s’était précipitée en hurlant, seins à l’air avec des coiffes de nonnes, vers les manifestants – enfants et bébés dans leurs poussettes compris…
Ces maniaques brandissaient de plus des sortes de grosses bombes lacrymogènes, projetant un liquide non identifié sur les manifestants pacifiques.
Aussitôt, des personnes réactives se sont naturellement interposées et ont repoussé les « Femens » (groupe d’activistes antichrétiennes), parmi lesquelles la prétendue « journaliste » mais militante gauchiste Caroline Fourest.
Celle-ci était si proche de Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, qu’elle l’appela dans la foulée, quand elle était dans un fourgon de police. On peut donc se demander légitimement dans quelle mesure le ministère de l’Intérieur fut complice de l’opération.
Des photos montrèrent que sur les bombes que maniaient les Femens contre des poussettes, était inscrite la mention « sperme sacré »…
On mesure là toute l’ignominie de la démarche et de l’idéologie de ces personnes, guère éloignée de la pédomanie.
Eh bien, comble de l’injustice, un procès fut engagé contre huit hommes qui s’étaient opposé à elles ce jour-là. Ils viennent d’être jugés à Paris pour « violences » contre ces mégères et ont été presque tous condamnés ce vendredi à des peines allant jusqu’à un an de prison avec sursis.
« Le tribunal correctionnel, après avoir « pris le soin de revoir l’intégralité des vidéos » de la scène au cours de son délibéré, a estimé que sept d’entre eux ont participé à ces violences, brèves et confuses. L’un des prévenus, dont le parquet avait requis la relaxe au bénéfice du doute, a été condamné à un mois avec sursis. [Trois autres] à deux mois avec sursis.
Deux autres prévenus ont été condamnés à six mois avec sursis et le responsable du cortège des Jeunesses nationalistes dans la manifestation a été condamné à un an avec sursis et 800 euros d’amende. Un dernier prévenu a été relaxé.
Les parties civiles recevront chacune plusieurs centaines d’euros de dommages et intérêts de la part de ceux condamnés pour les avoir agressées. Ces hommes, âgés de 27 à 58 ans, étaient jugés depuis mercredi. » (source)
D’après nos informations plusieurs des condamnés vont faire appel.
PS : pour avoir une idée de l’inspiration démoniaque des Femens, on peut notamment rappeler leur opération dans l’église de la Madeleine quelques jours avant Noël 2013 : l’une d’elles avait mimé un avortement devant l’autel… Elle s’était ainsi postée, seins nus, devant l’autel principal d’une église majeure parisienne en hurlant des slogans et en brandissant deux morceaux de foie de bœuf censé représenter le « petit Jésus avorté », avant d’aller laisser « le saint fœtus sanguinolent choir au pied de l’autel » . Elle avait inscrit sur son corps « Noël annulé ».
La meme mentalité que les juges collabos sous l’occupation !!! (tout se payeras un jour)
La nouvelle ère des juges Jean-sénistes.
En effet, les “fémen” sont des malades mentales. Il est parfaitement injuste qu’un juge (sans doute du “syndicat” de la magistrature) ai condamné des hommes défendant la Manif. Comme d’habitude, l’agresseur “bien-pensant” (!!!!!) est pardonné et l’agress” mal-pensant est puni. Un déni de justice de plus. Citoyens ! Voilà qui commence à bien faire ! Haro & bastonnade !
Les Femens à emprisonner dans des hôpitaux psychiatriques.
On limoge ces juges corrompus qui appliquent une justice à deux (2) vitesses.
On met sur la liste que M. Valls serait un ”supporter” des Femens et je constate qu’il y aurait un risque d’influence très élevé entre politicard et justice (”j” minuscule !)