par Olivier Bault
La Bulgarie a pris le 1er janvier la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne, c’est donc elle qui doit gérer la « patate chaude » de la procédure de sanction contre la Pologne au titre de l’article 7 du Traité sur l’UE. Une patate chaude qui lui a été refilée par la Commission européenne dont le président Jean-Claude Juncker a affirmé toutefois, à l’occasion d’une rencontre avec le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki, qu’elle n’était pas en guerre contre Varsovie. La première discussion (sans vote) sur cette histoire de procédure de sanction devra se dérouler au prochain sommet informel du Conseil européen, en février.Lors d’une conférence de presse jeudi, le Premier ministre bulgare Boïko Borissov a toutefois exprimé son espoir que l’affaire serait abandonnée avant d’en arriver à un vote, car « ce serait un précédent très dangereux ». « Nous devrions trouver une solution avant d’en arriver là », a-t-il ajouté. « Je ne peux pas dire que nos amis polonais ne respectent pas l’Etat de droit », a expliqué Borissov, « c’est toujours difficile à établir. Quand on veut attaquer quelqu’un, on utilise toujours l’argument de l’Etat de droit. »
Après la Bulgarie, ce sera au tour de l’Autriche de prendre la présidence tournante du Conseil de l’UE, le 1er juin prochain, et c’est sans doute aussi une bonne nouvelle pour la Pologne et une mauvaise nouvelle pour les commissaires européens, qui cherchent à étendre les compétences de l’UE en créant un précédent avec la Pologne.
Article paru dans les colonnes du quotidien Présent.
EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaire
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24 99
Cet article Sanctions contre la Pologne est apparu en premier sur Eurolibertés.
Extrait de: Source et auteur
Nous vomissons la commission européenne, ce club fermé de dictateurs qui s’auto-excitent en rond. Qu’on les jette aux orties !
On en a MARRE de la dictature et du chantage de Junker et des ses acolytes !