Depuis deux mois, les forces de l'ordre municipales de Zurich ne donnent plus la nationalité des auteurs dans ses communiqués, sauf sur demande. Depuis, le téléphone n'arrête pas de sonner.
Depuis deux mois, les forces de l'ordre municipales de Zurich ne donnent plus la nationalité des auteurs dans ses communiqués, sauf sur demande. Depuis, le téléphone n'arrête pas de sonner.
Une fois encore, il s’agit ici de clientélisme. Des dirigeants, des chefs de services et autres parasites pensent acheter des voix de gaucho-globalo-progressistes par ce genre de manœuvre et garder le pouvoir. Peut leur importe que ces manœuvres soient morales, logiques, utiles au bien commun, etc. : ils s’en TAPENT.
Ils veulent le pouvoir et rien d’autre, et pour l’instant leurs méthodes fonctionnent.
Le pouvoir s’obtient par la manœuvre et/ou la force, il se maintient par la gamelle. Ceci est valable pour une dictature tropicale, un canton glauque de même qu’une confédération gluante.
C’est un politicien de la Gauche Alternative, Richard Wolff, ancien extrémiste de gauche, qui a mis en oeuvre cette proposition en tant que chef du département de la sécurité. Ses deux enfants sont d’ailleurs encore dans la “scène alternative” et ce responsable a été épinglé pour diverses affaires dans lesquelles il protégeait les gauchistes.
Comme quoi les Zurichois sont assez crédules pour voter pour ces partis qui sont très clairs quant à leur préférence étrangères puis ils se plaignent.
Regardez donc cet individu, qui est toujours responsable de la police malgré son passif:
“Fêtes illégales, plantations visibles de cannabis et autres nuisances, depuis la fin de l’été, les plaintes se sont multipliées autour des activités sur le site du squat Koch Areal à Zurich.
En charge du dossier, le municipal de la gauche alternative Richard Wolff a reconnu récemment le soupçon de partialité à son encontre dans la gestion de cet espace alternatif. En effet, ses deux fils font partie des occupants du site. L’élu en charge de la Sécurité a d’ailleurs lui-même fait partie de la scène des squats dans les années 1980. Ces éléments ont poussé Richard Wolff à se récuser vendredi dernier et à se faire remettre à l’ordre publiquement par la maire de Zurich, Corine Mauch.
A noter que Richard Wolff fait également l’objet d’une enquête du Ministère public pour abus d’autorité et entrave à l’action pénale dans une autre affaire.”
https://www.rts.ch/info/regions/autres-cantons/8131217-le-conseiller-municipal-zurichois-richard-wolff-dans-la-tourmente.html
Evidemment, l’article du 20 Minutes évite soigneusement de rappeler qu’outre le PS et les Vert’libéraux, c’est bel et bien un extrémiste de gauche qui est à la racine de cette décision:
https://lesobservateurs.ch/2017/11/07/zurich-la-police-ne-cite-plus-lorigine-des-delinquants-pour-des-raisons-de-discrimination-ainsi-en-a-decide-le-politicien-de-gauche-richard-wolff/
Et après avoir voté pour ces partis pro étrangers, les Zurichois pleurnichent. Hilarant.
Même logique que pour l’interdiction du profilage… On préfère casser le thermomètre que de regarder la réalité en face malgré les corrélations indubitables entre l’origine des délinquants et leurs méfaits. Nous sommes une civilisation unique dans l’histoire à se laisser pervertir et détruire de la sorte, sans aucun doute le syndrome de la haine de soi.
Je cite : ”«Donner automatiquement et sans autre analyse la nationalité de l’auteur d’un délit dans un communiqué de police est subjectif.”
Ne PAS mentionner le nom ou le prénom ainsi que la nationalité d’origine permet de ”cacher la m..rde au chat”.
En effet, si toutes ces ”chances” avec leurs formations de docteur et d’ingénieur se retrouvent dans la catégorie ”migrant/immigré DANGEREUX” serait en totale contradiction avec les vues du gouvernement !
Le gouvernement zurichois ne veut pas publier mais transmet quand même ces informatiosn sur demande, il y a de quoi se poser des questions.
C’est de la rétention volontaire d’information par nos zélites …
Voici un des commentaires de cet article: “Je trouve normal de ne pas divulguer la nationalité ! C’est associer un pays, une culture au fait répréhensible (ou pas ) d’un homme ..purement xénophobe ! Très suisse ?”
La Suisse avait la réputation d’être un pays sûr (elle l’est de moins en moins) contrairement à bien d’autres pays où il est préférable d’être sur ses gardes, et pas qu’un peu.
Les ressortissants de pays sûrs posent bien moins de problèmes que les autres, D’autre part, les lois suisses sont adaptées à la culture du pays et sont considérées aujourd’hui comme “laxistes”, une faiblesse qui pourrit la vis des autochtones mais dont tirent profit ceux qui ne pensent qu’à leur profit.