Une lettre ouverte au pape François et une pétition font actuellement quelque bruit sur les réseaux sociaux. Rendue publique le jour de Noël, la lettre ouverte concerne l’islam. Elle est suivie d’une pétition d’ex-musulmans et d’amis orientaux, qui tentent d’attirer l’attention du pape sur la situation des convertis au catholicisme. « Notre situation est dangereuse », expliquent-ils en substance. « Vos propos ne remettent-ils pas en cause le bien-fondé du choix que nous avons fait… au péril de notre vie ? L’islam prescrit le meurtre des apostats (coran 4.89 ; 8.7-11), l’ignorez-vous ? »
Un malentendu de plus en plus perceptible semble donc s’ouvrir entre les musulmans convertis et le Saint-Père. Ce malentendu trouve pour l’essentiel sa source dans les paragraphes 252 et 253 de Evangelii gaudium ou « La joie de l’évangile », qui est la première exhortation apostolique du pape François, datée du 24 novembre 2013. Dans ce texte, le pape évoque la religion musulmane en des termes très charitables, mais que ces ex-musulmans convertis trouvent spécialement naïfs. Ils sont apparemment nombreux à le dire, rejoints en la matière par beaucoup de prélats et de laïcs chrétiens d’Orient.
Les églises d’Orient ont une connaissance de l’islam, et périodiquement sont confrontées à des situations de dhimmitude, voire à des tentatives d’élimination par tous les moyens, y compris par la violence. Or les convertis expliquent généralement que la révélation sur les bienfaits de l’Eglise catholique s’est imposée à eux dans le cadre de la découverte du Dieu amour des catholiques, par opposition aux préceptes tirés du coran.
Quant aux représentants des églises d’Orient, ils sont de plus en plus nombreux à s’inquiéter d’une certaine naïveté de François, tant sur l’islam que sur la nécessité d’accueillir en Europe des migrants musulmans, tel Mgr Emile Nona, archevêque catholique chaldéen, exilé, de Mossoul : « J’ai perdu mon diocèse. Le siège de mon archevêché et de mon apostolat a été occupé par des islamistes radicaux qui veulent que nous nous convertissions ou que nous mourrions. (…) Vous accueillez dans votre pays un nombre toujours croissant de musulmans. Vous êtes aussi en danger » (9 août 2014).
Un synode sur les dangers de l’islam
« Permettez-nous de demander à Votre Sainteté, ajoutent les pétitionnaires, de convoquer rapidement un synode sur les dangers de l’islam. Que reste-t-il en effet de l’Eglise là où l’islam s’est installé ? Si elle y a encore droit de cité, c’est en dhimmitude, à condition qu’elle n’évangélise pas, qu’elle doive donc se renier elle-même. (…) Avec le plus profond amour pour le Christ qui, par vous, conduit Son Eglise, nous, chrétiens venus de l’islam, soutenus par nombre de nos frères dans la foi, notamment les chrétiens d’Orient, et par nos amis, nous demandons à Votre Sainteté de confirmer notre conversion à Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, seul Sauveur, par un discours franc et droit sur l’islam. »
Ces pétitionnaires, qui sont-ils ? Combien sont-ils ? 3 500, comme semble l’indiquer le compteur en ligne ? Et s’agit-il bien de convertis ?
Difficile à dire, d’autant que la crainte de représailles limite forcément les signatures. Mais ils existent. Et leur appel mériterait une réponse du pape.
Cet article La grande pitié des musulmans convertis est apparu en premier sur Présent.
Extrait de: Source et auteur
“Quant aux représentants des églises d’Orient, ils sont de plus en plus nombreux à s’inquiéter d’une certaine naïveté de François”… Laissez moi rire, ce n’est pas un type naïf mais bien un type dangereux et maléfique comme tous ses sbires qui le suivent. Et ça se prend pour le guide du catholicisme. Le diable en personne !
Ces gens courageux et lucides ayant abjuré la religion meurtrière du chef pillard Mahomet perdent leur temps en s’adressant à Bergoglio. Celui-ci est confit en dévotion mahométane, et leur répond : “parle à mon c.., ma tête est malade.” Il y eut dans l’histoire de la Chrétienté des papes indignes : Bergoglio en est un.
C’est tout le problème des musulmans! Ces hordes qui depuis des siècles ont forcé les pays envahis, l’ont fait par la menace, la haine, le mépris comme c’est inscrit dans le coran. Le Vatican est donc confronté à un dilèmme, parler ouvertement et voir les chrétiens se faire massacrer dans les pays musulmans, ou ménager l’énorme susceptibilité des écorchés vifs que sont les musulmans !
Le seul pouvoir mondial qui pourrait faire obstacle, serait que tous les dirigeants des pays non musulmans, divulguent à leur population, le contenu de ces sourates, qui sont à l’origine de ce que des idiots appellent la ‘radicalisation’.
Au lieu de ça, les gouvernements ferment les yeux.
Vous verrez que le dhimmi à calotte et ses sbires vont s’en foutre complètement….