Le 27 décembre, les parlementaires iraniens ont soutenu à l’unanimité un projet de loi qui recommande au gouvernement iranien de reconnaître Jérusalem – et pas seulement Jérusalem-Est – comme «la capitale éternelle de la Palestine». Les élus iraniens répliquaient ainsi à la Maison Blanche, qui a décidé le 6 décembre dernier de reconnaître unilatéralement Jérusalem comme capitale de l’Etat israélien et d’y transférer son ambassade, encore située à Tel-Aviv. Son transfert n'est toutefois pas encore engagé.
Cette décision américaine a été réalisée «dans l'espoir de porter un coup aux musulmans», selon le président du Parlement iranien, Ali Larijani, cité par l'agence de presse turque Anadolu.
L’Iran n'est toutefois pas la seule nation à exprimer haut et fort son rejet de la décision américaine et son attachement à la cause palestinienne. La Turquie, en particulier, semble soucieuse d'incarner le leadership international en la matière et son président, Recep Tayyip Erdogan, multiplie les déclarations choc sur le sujet. Lors de l’ouverture d'un sommet extraordinaire de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) à Istanbul, le 13 décembre 2017, le chef de l'Etat turc avait ouvertement critiqué son homologue américain. Il avait également qualifié Israël d'«Etat d'occupation» et, ni plus ni moins, d'«Etat terroriste». Des propos similaires à ceux tenus trois jours plus tôt lors d'un discours enflammé à Sivas, dans le centre de la Turquie.
A l’issue de ce sommet, les pays musulmans – dont l'Iran – avaient appelé l’ensemble de la communauté internationale à reconnaître «l'Etat de Palestine et Jérusalem-Est comme sa capitale occupée».
Les Palestiniens réclament un Etat indépendant dans les frontières de 1967, ayant pour capitale Jérusalem-Est, ce qui signifierait la fin de 50 ans d'occupation israélienne en Cisjordanie, dans la bande de Gaza et dans la partie majoritairement palestinienne de Jérusalem.
Les Palestiniens ont obtenu en 2012 le statut d'observateur à l'Onu et 135 pays ont reconnu la Palestine comme un Etat, parmi les quels on trouve l'Iran et la Turquie.
Extrait de: Source et auteur
C’est quand même assez difficile de savoir quI sont vraiment les Palestiniens.
http://m.alterinfo.net/L-histoire-reelle-de-la-Palestine-antique-et-le-mythe-de-la-terre-promise_a46789.html
« De 35 à 70% des Palestiniens ont des origines israélites, une estimation que ne nient pas les historiens ni les politiciens de l’Autorité Palestinienne. C’est sur la proportion uniquement, que les avis divergent. Une partie du peuple des Hébreux est demeurée fidèle à la loi de Moïse, l’autre s’est adaptée aux influences des divers envahisseurs s’étant succédés dans la région, et particulièrement à l’islam déferlant. Une fraternité dont ne semblent pas se soucier les parties à l’un des conflits les plus durables de l’histoire moderne. »
http://www.dafina.net/gazette/article/d’où-viennent-les-palestiniens-arabes-par-sandra-ores
Quand l’obscurantisme essaye de tout baffoué , même l’Histoire et la Bible .
Notre culture Judéo-Chrétienne .
Les “palestiniens” essayent de détruire des preuvent d’Histoire, même Bibliques ….et la planète se tait …. même le Pape …
LIEN:
Les Palestiniens détruisent pierre par pierre le palais d’Hérode, trésor archéologique, dans le silence absolu de l’Unesco
http://www.europe-israel.org/2017/12/palestiniens-detruisent-pierre-par-pierre-le-palais-dherode-tresor-archeologique-dans-le-silence-absolu-de-lunesco/