Vidéo sous-titrée, anglais facile :
Ferenc Almássy (pseudonyme) est un jeune journaliste indépendant franco-hongrois, fondateur du Visegrád Post.
Dans cette interview avec Zsolt Bayer, Ferenc parle de sa vie en France et explique pourquoi il a choisi de s’installer définitivement en Hongrie il y a quelques années.
Il parle aussi des situations choquantes et déprimantes qui affligent la société française, en particulier l’immigration, l’islamisation des ghettos multiculturels, la corruption, et comment il sent que la culture française, comme on l’a connue jusqu’à présent, touche à sa fin.
Cet entretien télévisé fait suite à une autre interview que Ferenc avait donnée à István (Pista) Lajos pour le quotidien Magyar Hírlap (en hongrois).
Source : Viva Europa
Quelle chance Monsieur d’aimer vos racines.
Les racines françaises sont devenues :
1) les chaînes (au sens propre comme au figuré) de télévision
2) le goût de la bouffe, du bien remplir son ventre
3) le goût de sortir le plus souvent possible en oubliant de rendre visite à ses propres parents,
5) le goût de s’amuser parfois jusqu’à l’extrême et de pratiquer la petite fumée et autres substances “envoûtantes”.
6) le goût de lire des productions médiocres, faciles, superficielles pour ne pas” créer des lésions ou liaisons cérébrales”
7) le goût d’aller systématiquement passer des vacances AILLEURS car voyager dans le passé prestigieux et les lieux splendides qui composent la France est “complètement dépassé”. L’ailleurs est tellement plus excitant et son récit tellement attrayant dans le snobisme ambiant..
8) le goût d’accueillir “l’autre différent” sur son territoire, même si cet autre abuse en y invitant une dizaine des siens peu après son arrivée, c’est d’un exotisme merveilleux pour le français de la bobo-attitude.
9) le goût de ne s’intéresser qu’à sa petite cellule familiale et de la combler de bienfaits MATERIELS, qui bien souvent altèreront la santé des enfants ( comme les tablettes et iphones de la technologie “micro-ondes qui a le pouvoir de diminuer dramatiquement la fécondité)
La mise à distance du spirituel (qui dans le passé, n’étant pas entre de bonnes mains et, a découragé les fidèles) nous a conduit aussi sur le chemin de l’indifférence,
Je vous envie Monsieur d’avoir encore l’âme hongroise.
Nous avons encore la langue française, mais de moins en moins de français porteurs de l’âme française qui s’est diluée dans “le consumérisme”.
Une minorité d’individus la possède encore, cette âme française, mais pour combien de temps? Ils sont un peu comme ceux qui pendant la préhistoire, ne sachant pas encore comment allumer le feu, préservaient la précieuse flamme qui leur état tombée du ciel par un soir d’orage.