Assemblée générale de proTELL
proTELL a tenu son assemblée générale extraordinaire, ce samedi 28 octobre à Berne. 255 personnes y ont assisté. Dans l'ensemble, ce fut une réussite.
Première raison de satisfaction: plusieurs membres de l'ancien comité ont démissionné... bon débarras !
Deuxième raison: la réintégration de tous les membres exclus manu militari par l'ancien comité, Ursula Pedrolini, Willy Pfund , Renato et Luca Cettuzzi. Re-bienvenue à eux !
Et troisième raison: l'assemblée a approuvé la nomination au comité de l'avocat Robert Desax. Si vous étiez à l'assemblée du 17 juin dernier, vous avez pu admirer son intervention, qui a fait beaucoup pour retourner la salle en faveur du renouveau.
A part cela, on a pu constater que proTELL va bien financièrement, même s'il est toujours impossible de présenter les comptes 2016, tant la gestion de l'ancien comité était "spéciale". Un audit est d'ailleurs en cours à ce sujet.
Sur les points qu'on peut regretter, la pauvreté des moyens de communication de proTELL reste préoccupante. Et puis il y a le nouveau logo ! Un Guillaume Tell très "bande dessinée", campé devant une borne suisse, comme un douanier rébarbatif. Nous sommes plusieurs à regretter le logo d'origine, qui avait fait les grandes heures de proTELL, avant la période sombre. Pour rester positif, disons que c'est toujours mieux que le nain de jardin qu'il remplace. |
Le plus important
Mais le plus important, c'est l'adoption de la déclaration de base de proTELL face aux exigences de l'Union européenne, si complaisamment acceptées par le Conseil fédéral.
proTELL s'opposera à toute restriction à la loi actuelle sur les armes. imposée par la directive européenne, y compris au moyen d'un référendum. Nous prenons en compte et assumons le risque d'une exclusion des accords de Schengen. |
Quelques voix se sont fait entendre pour estimer qu'on devrait peut-être montrer plus de souplesse. Mais la déclaration a été plébiscitée (6 voix contre).
Dans l'ensemble donc une assemblée réussie, menée de main de maître par le président Hans-Peter Wüthrich. Prochain rendez-vous en avril 2018. En attendant, le combat continue, plus que jamais.
Frank A.Leutenegger, 29 octobre 2017
Quelqu’un aurait quand même pu régler les cotisation de Ignazio Cassis pour éviter qu’il ne claque la porte.
L’UE est la mort par suicide imposé de l’Europe.
https://www.protell.ch/fr/maintenant
Parfait. Je signe où ?!!
Les institutions européennes s’estiment satisfaites d’avoir tenté d’harmoniser leur politique sécuritaire dans l’espace Schengen. Pourtant, ni les immigrants qui utilisent la chaîne migratoire et de multiples identités pour pratiquer de plus en plus leur shopping migratoire, ni les Européens des pays d’accueil, sont convaincus de la coordination des politiques et des résultats de cet espace Schengen. Le coûteux Schengen est même devenu un facteur criminogène et envahisseur, ce qui est un comble pour un contrôle des frontières communes de l’UE. Tout état-providence occidental qui ouvre ses frontières à la colonisation se condamne à la faillite. Avec Schengen qui fut une erreur, un gros mensonge aux électeurs suisses à qui on a promis meilleure frontière, meilleure sécurité à un faible coût, un déni et une faute. Nos élus ont mis la frontière de la Suisse en Grèce, en Roumanie et à la limite des eaux territoriales de Libye et, au mépris des lois, ne font plus respecter l’intégrité de notre territoire national. Schengen est non seulement une passoire mais aussi un écumoire qui, selon le directeur d’Europol Rob Wainwright, a laissé entrer en quelques mois en Europe 3.000 à 5.000 terroristes musulmans. A mon avis ils représentent le 2% ou plus des immigrants musulmans, soit 20.000 ou plus pour un million soit une division ou une brigade pour un million. Selon l’Institut Gallestone (Giulio Meotti, 7 juin 2017), dans les quatre pays européens ayant été attaqués le plus par les terroristes musulmans (Angleterre, France, Belgique et Allemagne), le nombre des musulmans extrémistes atteint 66 000, ce qui représente une très forte armée mobilisable.
Les rêveries politiques telles qu’une Europe sans frontières, l’immigration massive pour financer les retraites, la sécurité par Schengen, le vivre ensemble, le métissage sont définitivement révolues.
En 2005, lors de l’adhésion de la Suisse à l’accord Schengen, c’est-à-dire la suppression des contrôles aux frontières nationales, projet que seul l’Union Démocratique du Centre (UDC) a combattu, le Conseil fédéral suisse avait promis dans ses “objectives et impartiales explications de vote” que la Suisse profiterait d’une bien meilleure sécurité à un coût modique de quelques 7 millions par an; en réalité pur mensonge puisque les coûts dépassent 100 millions annuels avec des résultats de pire en pire, résultats égalent coûteux. A tel point que, aujourd’hui, l’accord de Schengen ne vaut plus que le papier sur lequel il fut écrit. En vérité, pour les dirigeants de l’UE et nos naïfs élus bruxellisés, Schengen n’avait pas comme premier objectif la sécurité des peuples européens, comme ils nous le firent croire avant la votation, mais fut un choix politique de la gauche et du néo-libéralisme mondialiste avec comme priorité de pouvoir déplacer librement dans le territoire de l’UE des individus uniformisés et dénationalisés et des immigrants extra-européens, comme un patron d’une multinationale aimerait pouvoir déplacer tous ses employés dans le monde afin de les mettre en concurrence salariale. Lorsque l’Etat-nation et la fonction publique s’allient économiquement et politiquement aux intérêts d’oligarques mondialisés et de multinationales et à une gauche idéaliste la collectivité qu’est le peuple est asservie à ces intérêts et mise en danger. Les Suisses manipulés en ont fait la triste preuve.
Un grand bravo, et aussi un grand merci !
Et foin des accords de Schengen !
Sortir de schengen est une chose. Conserver notre independance juridique en matiere d’armes en est une autre. En ce qui concerne beaucoup de gens que je connais, les 2 sont vitales. Et si on peut faire un peu d’ordre en bouttant la pianiste au goulag ce serait vraiment un monde presque parfait en suisse.
Les urnes nous donnerons raison !
Mais que ces accords de Schengen sautent une fois pour toute… citez moi les avantages de ces accords, nous avons toujours des droits de douane mais plus de frontières pour entrer dans notre pays, nous n’avons plus aucune possibilité de mettre une priorité nationale, nous n’avons plus le droit de nos propres lois, nous avons des prix 3x plus élevés que dans l’UE, mais c’est quoi au fait le bénéfice pour la Suisse de ces accords?????