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Certes, les mâles ne servent plus à rien, vu les progrès de la science, mais étant donné les progrès d’icelle et les utérus artificiels, les femelles ne servent plus à rien non plus.
Bienvenue dans le meilleur des mondes orwellien.
Il y a de fortes chances que derrière ces malheureux pantins désarticulés se cachent les grands lobbies des labos qui ont investi des milliards dans le transhumanisme et qui , pour leurs noirs desseins, s’empressent d’achever le classement définitif de l’être humain au rang du plus vulgaire matériau .Car tel est bien “l’aboutissement “,comme bramait la Taubira, de la révolution née des obscures “Lumières”.
La révolution que nous subissons depuis plus de deux siècles n’est qu’une vaste affaire de margoulins et de satanistes.
Mais à part les héros hongrois , il n’est que bien trop peu de politiques qui osent s’attaquer à la racine du mal.Il est tellement plus prudent et gratifiant de n’effleurer que l’écume des choses.
Les LGBT sont ultra minoritaires dans notre société. Sans la prostitution politique et la complicité des merdias, on ne les entendrait même pas.
“La pathologie” à ce stade de furiosité, d’animalité et de déchainement porte un nom cher ami Vautrin, c’est de la possession par le diable,comme l’ont très parfaitement rappelé la semaine passée le vice-Premier Ministre hongrois Zslot Semjen son collègue , sous-Secrétaire d’Etat à l’énergie Andras Aradski.
Je le répète : les LGBT souffrent d’une pathologie. Qui, du reste, ne les rend pas pour autant irresponsables. Le rapprochement de la PMA et de l’avortement n’est pas fortuit, il est intrinsèque au mode de pensée pathologique de ces gens-là. Pour les gens sensés, il est absurde de tuer un fœtus pour en faire porter un autre dans un ventre loué sous prétexte de “droit à l’enfant”. Mais pour ces énergumènes, c’est normal. Un tel délire témoigne bien, comme symptôme, d’une pathologie. Replis sur soi, cénacle très restreint, délire tantôt de persécution tantôt de domination, c’est la faculté de faire du lien social qui est atteinte chez eux. Mais, encore une fois, cela ne les exonère pas de responsabilité : lorsqu’ils commettent des méfaits, ils doivent en répondre.