Une pétition a été lancée à Lausanne, ce vendredi, pour faciliter l’obtention de l’asile pour les ressortissants érythréens en Suisse. Elle a notamment été signée par plusieurs personnalités politiques, dont la conseillère nationale genevoise Lisa Mazzone.
La co-directrice de l’ONG Information Forum for Eritrea, Veronica Almedom, fait partie de ce collectif qui s’alarme du fait que près de 15% des demandes d’asile des ressortissants de ce pays soient déboutés. Cette activiste, cooptée en 2016 pour faire partie de la Commission fédérale pour les questions de migrations, s’est livrée dans un reportage de la chaîne valdo-fribourgeoise La Télé :
« Cet environnement là est juste impossible. Non pas que pour un Érythréen mais pour un Suisse, pour un Allemand, pour toute personne, pour tout humain, qui a besoin, après manger et après boire, qui a un besoin fondamental qui est celui de se sentir en sécurité. Donc ce sentiment de sécurité est vraiment euh…a presque disparu en Érythrée parce qu’il n’y a justement aucun moyen de recourir à la justice. Et c’est ça qui…qui…finalement ne donne aucune option à..un individu en Érythrée. »
Ces propos sont pour le moins édifiants. Cela revient à dire que personne ne peut vivre en Érythrée, qu’il faudrait vider entièrement le pays de ses forces vives et accorder l’asile à ses 6 millions d’habitants. Lorsqu’elle prononce une telle phrase, en bafouillant et en laissant de côté la syntaxe, elle ne se rend visiblement pas compte de l’absurdité de ses propos.
Il est vrai qu’entre 2010 et 2015 la quasi-totalité des ressortissants érythréens obtenaient l’asile en Suisse. Cependant, les soupçons d’abus à l’aide sociale de la part de cette communauté et même de tourisme dans le pays qui est censé les avoir persécutés, sont de plus en plus mal perçus par une partie de la population. Les autorités ont probablement été obligées de réagir à la marge en exigeant du Secrétariat d’Etat aux migrations qu’il examine de manière un peu plus rigoureuse les demandes d’asile provenant de ce pays.L’accusation de laxisme a fini par porter ses fruits et c’est ce qui dérange visiblement ce collectif.
Force est de constater que les médias occidentaux donnent très rarement la parole à des gens proches du gouvernement érythréen qui dénoncent un exil qui, selon eux, n’a pas lieu d’être. Les médias institutionnels préfèrent donner largement la parole à des gens comme Almedom, même s’ils tiennent des propos qui défient le bon sens. Il y a parfois quelques exceptions. Dans un reportage de France24, la journaliste Meala Tesfamichael, qui a grandi en Suisse, offre une vision sensiblement différente de celle d’Almedom (14’14 ») :
Extrait de: Source et auteur
Quand voterons nous enfin pour l’interdiction des gauchistes dans nos organes politiques ?
Il y a urgence !
Madame, et si vous utilisiez votre immense intelligence pour suivre votre tordue logique jusqu’au bout – n’est-ce pas que les conditions de vie en Afrique ne sont pas tout à fait aussi bonnes que chez nous? alors voilà – pourquoi ne pas faire venir toute l’Afrique en suisse? ce ne sont que 2 milliard de personnes, toutes plus enrichissantes les unes que les autres!
Non mais que fait encore cette bécasse au CF? Jusque quand devrons nous subir encore les dégâts que cause cette minable folle à notre pays?
Lisa Mazzone…
Curieusement , nos zélites islamo-gauchistes ne s’inquiètent pas du fait que 90% des clandestins africains soient des hommes jeunes, venant de pays prétendument en guerre. Si leurs pays sont en guerre, ce sont donc des déserteurs qui abandonnent leur mère, leurs sœurs, leur(s) épouse(s), sans se soucier qu’elles se fassent violer ou tuer. Ce sont donc des traîtres, sans aucune moralité. Ne mériteraient-ils pas le peloton d’exécution, plutôt que le statut privilégié de réfugié politique?
Si leurs pays ne sont pas en guerre, ce sont juste des réfugiés économiques, qui sont là en avant-garde en attendant de faire venir toute leur famille.
Quelle hypothèse est la bonne????
Le service militaire ressemble plus à un service civil destiné à la construction du pays. Sans doute qu’une partie s’occupe à surveiller la frontière avec l’Ethiopie. L’entreprise italienne de préfabrication de murs a comme ouvriers des militaires: et alors, qu’est-ce que ça change? Ici aussi, on est dans l’obligation de se rendre au travail. En Algérie et dans d’autres pays d’Afrique, ce sont les chinois qui construisent, parce qu’ils sont entraînés au travail. Les érythréens en Suisse ne se montrent pas empressés du tout: ils attendent de voir.
Dans ce pays, il ne faut pas gagner autant qu’en Suisse pour vivre correctement. Certains européens vivent une vie bien plus misérable que ces érythréens: les SDF, ceux qui cherchent de la nourriture dans les poubelles ou tout ceux qui vont dans les restos du cœur, ceux qui meurent de froid.
Les israëliens font 3 ans de service militaire, les israëliennnes 2 ans et ne viennent pas se réfugier hors de leur pays.
Ces érythréens sont des glandeurs.
Qu’elle les accueille à ses frais chez elle, pas en étant généreuse avec l’argent des autres! C’est aux Érythréens de lutter chez eux contre leur corruption et de mettre des préservatifs, pas à nous de payer pour leur lâcheté et leur inconséquence.
90% des Erythréens sont au service social. En 2016 cela a coûté 289 millions. Les caisses se vident à la vitesse GRAND V et on s’étonne .. Gouverner c’est prévoir. Les Erythréens se sentent très bien chez nous, ce n’est pas une raison de les garder plus longtemps. REMIGRATION.
‘Cet environnement là est juste impossible. Non pas que pour un Érythréen mais pour un Suisse, pour un Allemand, pour toute personne, pour tout humain…’
Pourquoi plein d’erythréens de Suisse vont ils toujours en vacances la bas alors?
Il y a plein de suisses, d’allemands, et toute personne qui visitent la bas.
‘[C]e sentiment de sécurité est vraiment euh…a presque disparu en Érythrée…’
Comment ce mesure ce ‘sentiment de sécurité’ vraiment? Les standards sont très sentimentales! Il en faut des plus rigoureux.
http://i38.servimg.com/u/f38/11/16/69/56/dactil10.jpg
Il faudrait demander à cette activiste comment elle explique que la Confédération, à travers une ONG suisse, vient de mettre en route, en Erythrée, un programme de formation professionnelle avec mise sur pied d’une école dont le coût total sera d’un million et demi de francs à raison de cinq cent mille francs chaque année jusqu’en 2019 ?
Donc il n’y a aucune raison valable pour que la Suisse accepte les Erythréens comme réfugiés politiques.
Les jeunes Erythréens ne veulent pas faire leur service militaire.
Ce sont de petits malins et nous sommes…de grands naïfs
J’espère de tout coeur que les suisses ne signeront pas cette pétition qui sinon signera leur arrêt de mort !