Une "attaque terroriste" a été menée dans la nuit de dimanche à lundi par des jihadistes présumés contre un restaurant à Ouagadougou. Le bilan provisoire est d'au moins 18 morts et une dizaine de blessés, selon le gouvernement burkinabè.
Dix-huit personnes ont été tuées et une dizaine d'autres blessées dans l'attaque d'un restaurant dans le centre de Ouagadougou, capitale du Burkina Faso par des jihadistes présumés, a annoncé lundi matin le ministre de la Communication du Burkina Faso, Rémi Dandjinou.
"Aux environs de 21 heures, une attaque terroriste a touché le restaurant Istanbul sur l'avenue Kwame Nkrumah à Ouagadougou", a déclaré le gouvernement dans un communiqué. Les forces spéciales ont lancé l'assaut contre les assaillants retranchés alors que plusieurs personnes étaient retenues prisonnières à l'intérieur du restaurant, a précisé le ministre par la suite à la télévision nationale.
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La devanture du café Istanbul oú l'intervention est toujours en cours le panneau lumineux est celui du café #Burkina pic.twitter.com/Qp5gslnRbU— YABRE du Burkina (@yabsi1er) 14 août 2017
L'opération des forces de sécurité était terminée sur le site en début de matinée, et au moins deux assaillants ont été tués, a finalement précisé Rémi Dandjinou. Des opérations "de quadrillage, de vérification des maisons avoisinantes" se poursuivaient a précisé le ministre lors d'un point presse, en avançant la "neutralisation de deux terroristes".
"Trois hommes sont arrivés à bord d'un véhicule 4x4 vers 21 h 30, sont descendus du véhicule et ont ouvert le feu sur les clients assis sur la terrasse" de ce restaurant fréquenté par une clientèle expatriée, a indiqué un serveur du restaurant s'exprimant sous couvert d'anonymat. Vers 3 h (locales et GMT), les tirs ont cessé, a constaté un journaliste de l'AFP.
Selon un officier de l'armée s'exprimant sous couvert d'anonymat, il y avait "des otages retenus au premier et au deuxième étages du bâtiment de deux étages" qui abrite le restaurant se trouvant au rez-de-chaussée.
@ Brélaz François
Aucun pays africain ne devrait être porté à bout de bras par une ONG.
Les pays africains sont immensément riches, s’il y a une merde chronique chez eux, c’est dû à leur mentalité. Ce n’est pas génétique, les Angolais s’en sortent très bien.
La seule chose valable que les blancs pourraient faire chez eux: distribuer des contraceptifs (simples d’usage) et offrir de l’argent pour la vasectomie, comme cela se faisait en Inde dans les années 70. Toute aide créera le syndrome palestinien, à savoir s’installer à ne rien faire mise à part la guerre. Lorsqu’un peuple se met au travail, il peut se relever de n’importe quelle catastrophe. (Voir Japon)
Toutes les ONG sont politisées, la charité désintéressée a laissé la place à de juteux business. Les citoyens suisses sont forcés de verser 3,5 milliards par année pour financer le parasitisme du continent africain et d’autres pays musulmans éternellement en guerre, … et pour le soi-disant ‘les aider sur place pour qu’ils restent chez eux’.
On voit combien c’est efficace, … on voit !!!
Voici un extrait du livre « Les ONG occidentales au Cambodge » de Sabine Trannin, datant de 2002.
« Les ONG sont devenues dans certains pays les Clubs Med de la bonne conscience. On vient en mission pour combler un vide, ou au contraire pour faire le vide… parce qu’on n’a pas de spectateurs en France pour s’amouracher d’une fille locale déshonorée après le passage de l’expatrié, on roule en Toyota parce qu’on n’a pas de voiture en France. »
« Les ONG ne servent à rien, ce sont juste des employés qui créent des besoins pour justifier le salaire qu’ils s’octroient.»
Le Burkina est un pays porté à bout de bras par les ONG étrangères. Avec cet attentat, il y aura de moins d’ humanitaires blancs et ce sont les populations rurales pauvres qui en feront principalement les frais. Mais c’est comme ça…