Les pays de l’Est comme la Hongrie, la Pologne, la Roumanie, la Serbie, la Slovénie se sont vidés ces dernières années de leurs médecins et infirmiers de toutes spécialités, professionnels de la construction, ingénieurs de toutes sortes et même de leurs employés de restauration. La pénurie dans le domaine médical a des conséquences graves, mais dans la restauration et la construction aussi, les conséquences sont très néfastes pour la population restée au pays.
Des buvettes, des restaurants jadis florissants, qui ne désemplissaient pas, sont aujourd’hui à la peine, même dans les endroits très touristiques, à cause du manque du main-d’œuvre. Sur les rives du lac Balaton, beaucoup de stations ferment pour cette raison, les unes après les autres. Même les personnes sans diplômes et sans expérience sont introuvables, les étudiants ne veulent pas venir pour toute la saison. Il n’y a plus que les retraités qui viennent pour compléter leur maigre rente, malgré le poids de l’âge.
Un restaurateur a résumé la cause de cette pénurie : « Si un serveur sait tenir deux assiettes en même temps, il part en Occident, car il peut tout de suite multiplier son salaire par quatre ».
Source : Munkaerőhiány a Balatonon (Pénurie de personnel au lac Balaton)
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Les Suisses voient depuis le début de la libre circulation une invasion de mendiants, accroupis dans la rue, en haillons, s’humiliant jusqu’à la poussière pour notre générosité, tendant la main dans des positions inconfortables, subissant les intempéries.
Les interviews que nous avons lues de ces mendiants nous apprennent qu’une journée peut rapporter 100-150 CHF : l’activité est bel et bien rentable. Souvent, des villages entiers débarquent en caravane luxueuses, les mendiants sont en bonne santé et en âge de travailler. Souvent, ils étalent un handicap inexistant. Quant à l’image de nos villes, elle en prend un sale coup...
Les tziganes qui veulent travailler sont engagés avec joie dans leur pays d’origine, sans aucune discrimination. Par exemple la buvette de Visegrad est tenue par une jeune fille d’origine tzigane qui gagne bien sa vie.
La grande majorité des personnes qui mendient dans nos rues pourraient gagner leur vie en toute dignité et en toute légalité dans leur pays. Et celles qui ne le pourraient pas ont droit à l’aide sociale dans leur pays selon les normes européennes – c’est le cas par exemple en Roumanie.
Par nos dons, nous contribuons à perpétuer l’avilissement de ces personnes, alors qu’elle pourraient se prendre en main et se sortir de cette activité humiliante.
La gauche se bat depuis des années pour le droit à la mendicité, sous prétexte d’être du côté des pauvres, peu importe si cela est contre-productif pour la dignité humaine. Comme toujours, leur électoralisme et leur idéologie dogmatique priment sur tout le reste.
Traduction d’extraits et commentaire : Cenator pour Les Observateurs
Source image : Sdesouche
il se trouve que je les connais à l’intérieur en Roumanie. La plupart font le tour des poubelles avec un cheval et une carriole. Ceux là sont acceptés et respectés même s’ils laissent souvent tout étalé par terre après avoir fait leur choix.
Mais dans les villages ils sont dangereux, se groupent en clans, et ils sont les rois.
Ceux qui viennent chez nous (France) sont très souvent affiliés à une mafia dont le patron est très riche, il faut voir les Palais qu’ils habitent, incroyable: https://youtu.be/O7tg69ePI8o et ceci n’est qu’un exemple.
Ne jamais donner le moindre centime, plus on donne et plus il y en aura
Ces roms qui grouillent dans les rues de Lausanne se retrouvent toujours à la Place de l’Europe (!) pour y compter leurs sous après leur journée de ” labeur”, parmi les nutella -dealers et les Maghrébins voleurs. ( un pléonasme ).
Leur crasse m’ indispose .
Avec ce qu’ils ramassent, sans payer de logement, d’impôts ni de caisse-maladie, l’eau chaude et le savon ne devraient pas constituer un luxe.
Mais justement, la crasse est leur outil de travail….
Aucune dignité, aucune fierté…..
Pas un sou: la Suisse contribue déjà très généreusement avec l’argent versé aux Etats européens (argent du contribuable!)
Je veux bien aider un chômeur suisse en fin de droit ou à la rue. Par contre, ces roms n’auront jamais ma thune, c’est clair. Au lieu de chercher à nous apitoyer et de profiter outrageusement de notre générosité, ils feraient de retourner dans leur pays et de se trouver un boulot honnête. Ils n’en foutent pas une. Les autochtones doivent cesser de culpabiliser et devenir plus fermes avec ces profiteurs.
Pour eux ce n’est absolument pas humiliant – il faut arrêter de projeter nos valeurs sur les autres- d’ailleurs c’est justement cela le fond de leur lucrative commerce.
Tant qu’il y aura ici des gens en manque de confession/ absolution qui ont une mauvaise conscience pour une raison ou une autre, ces mendiants et autres pick-pockets, avec leurs amis les gauchistes, ne lâcheront jamais leurs juteux commerce et continueront à construire grace à vous leurs chateaux en Transylvanie en se pliant de rire.
Pas un rond à tous ces faux mendiants !