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Dans un souci d’objectivité, rappeler qu’après la Libération la France connus de sanglants règlements de comptes entre Français qui firent, selon les sources, de deux à quatre fois plus d’exécutions, souvent sommaires, en quatre mois de Libération, qu’en quatre ans d’occupation ; autant d’actes absous jusqu’à fin 1945 pour avoir été commis « en vue de la libération d’un territoire » … ‘’libéré’’ seize mois auparavant.
Les derniers mois de la 2ème guerre mondiale furent chez moi aussi, en Italie du nord (mais encore bien plus en Allemagne …), un véritable bain de sang où les lâches et les sadiques purent, encore plus qu’en France, et en toute impunité également, se mêler aux authentiques partisans et s’en donner ‘’à cœur joie’’ si l’on peut dire …
En la République Sociale Italienne vaincue par exemple :
“Contrairement à ce qui a été si souvent affirmé, la totalité des forces de la République sociale italienne du Duce est considérable : 679 000 combattants.”
Mais peu de temps après l’enfoncement de la ”Ligne Gothique”
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ligne_gothique#mediaviewer/File:Ww2_europe_map_italy_june_until_december_1944.jpg
par des forces alliés en supériorité écrasante et la reddition sans condition de ses alliés allemands la R.S.I. s’effondra …
Postface (extraite d’un ouvrage historique) :
« Même l’écrivain Curzio Malaparte, antifasciste dès 1933, s’offusque devant cette impitoyable chasse à l’homme désarmé :
Dans le nord de l’Italie, en 1945, pendant les jours de la libération, la tuerie a été épouvantable.
Les journaux ont parlé de 300 000 victimes.
Le gouvernement n’a pas démenti ce chiffre. … »
Pour ces atrocités là je n’ai jamais eu connaissance de la moindre ‘’repentance’’ des ‘’anglo-américains & …cetera’’.
Enfin, Vae Victis, aurait dit Brennus.
(Mais il n’est pas aisé de dire certains faits historiques aujourd’hui en Europe).
Sauf que lui et ses gaulois cisalpins n’étaient pas finalement des lâches comme ces hyènes qui de tous temps attendent que l’adversaire soit à terre pour venir se défouler sur lui de leurs frustrations.
Ne nous faisons pas d’illusions cette engeance prolifère toujours tout autant autour de nous ; et quand je vois en France les bobos excités immigrationnistes et collabos des ”élites” dirigeantes du ‘’front de gôche’’ et chez-vous les électeurs de la Simonetta Sommaruga en Suisse … je mesure toute la médiocrité et la duplicité de ces gens.
Enfin, en attendant je suis là sur ma terre et je garde la tête haute, les mains propres et la conscience sereine.
Un bonjour et un merci qui vous viennent d’ici, de ma terre lombarde.
En parlant de Simone Veil, une histoire qui remet les pendules à l’heure.
Sa légende en prend un coup !!!
Donc je me permet de mettre le lien, afin que le plus de personne possible contemple cette soit disant immortelle … le sujet c’est qu’elle a usurpé l’identité d’une autre personne ! et qu’elle n’a jamais été dans un camps !
http://liberation-44.forumactif.org/t1410-le-ghetto-boy-et-simone-veil-deux-symboles-de-limposture-du-genocide
Les Jacob étant et ayant été une famille très aisée et très haute bourgeoisie de la ville de Nice, je conçois qu’un voyage forcé en wagon surabondé vers l’Allemagne ait pu lui apparaître comme un calvaire indépassable … le tout suite à une action terroriste d’un membre de leur famille en zone occupé (voir le denier exemplaire de Rivarol pour plus de détails).
J’ai personnellement connu un ami qui est revenu brisé à tout jamais d’un séjour dans les geôles turcs suite à une affaire de « drogue » ; hormis le fait qu’il n’a jamais voulu plus en parler, et encore moins s’étaler tout le temps et partout avec indécence pour revendiquer quoique ce soit … il est mort jeune et détruit et pas à 89 ans en pleine forme arrogante et vindicative.
Autre petite incohérence cette lois qu’elle fit voter concernant les dons d’organes français … avec priorité aux citoyens israéliens :
http://www.israelvalley.com/2017/06/30/disparition-de-simone-weil-beaucoup-disraeliens-lui-doivent-vie/
Pour finir juste un petit rappel (bien malgré ma pudeur) de ce que fût la « Libération » en France pour bien des braves gens qui en plus devraient en porter la « honte » :
La Libé vue par Michel Audiard
« Nous autres, enfants du XIVème arrondissement, on peut dire qu’on a été libéré avant tous les autres de la capitale, cela en raison d’une position géographique privilégiée. […] Les Ricains sont arrivés par la porte d’Orléans, on est allé au-devant d’eux […] On était bien content qu’ils arrivent, oui, oui, mais pas tant, remarquez bien, pour que décanillent les ultimes fridolins, que pour mettre fin à l’enthousiasme des ‘’résistants’’ qui commençaient à avoir le coup de tondeuse un peu facile, lequel pouvait – à mon avis – préfigurer le coup de flingue. Cette équipe de coiffeurs exaltés me faisait, en vérité, assez peur.
La mode avait démarré d’un coup. Plusieurs dames du quartier avaient été tondues le matin même, des personnes plutôt gentilles qu’on connaissait bien, avec qui on bavardait souvent sur le pas de la porte les soirs d’été, et voilà qu’on apprenait – dites donc – qu’elles avaient couché avec des soldats allemands ! Rien que ça ! On a peine à croire des choses pareilles ! Des mères de famille, des épouses de prisonniers, qui forniquaient avec des Boches pour une tablette de chocolat ou un litre de lait. En somme pour de la nourriture, même pas pour le plaisir. Faut vraiment être salopes !
Alors, comme ça, pour rire, les patriotes leur peinturluraient des croix gammées sur les seins et leur rasaient les tifs. Si vous n’étiez pas de leur avis, vous aviez intérêt à ne pas trop le faire savoir, sous peine de vous retrouver devant un tribunal populaire comme il en siégeait sous les préaux d’école, qui vous envoyait devant un peloton également populaire. C’est alors qu’il présidait un tribunal de ce genre que l’on a arrêté l’illustre docteur Petiot – en uniforme de capitaine – qui avait, comme l’on sait, passé une soixantaine de personnes à la casserole.
Entre parenthèses, puisqu’on parle toubib, je ne connais que deux médecins ayant à proprement parler du génie, mais ni l’un ni l’autre dans la pratique de la médecine : Petiot et Céline. Le premier appartient au panthéon de la criminologie, le second trône sur la plus haute marche de la littérature.
Mais revenons z’au jour de gloire ! Je conserve un souvenir assez particulier de la libération de mon quartier, souvenir lié à une image enténébrante : celle d’une fillette martyrisée le jour même de l’entrée de l’armée Patton dans Paris.
Depuis l’aube les blindés s’engouffraient dans la ville. Terrorisé par ce serpent d’acier lui passant au ras des pattes, le lion de Denfert-Rochereau tremblait sur son socle.
Édentée, disloquée, le corps bleu, éclaté par endroits, le regard vitrifié dans une expression de cheval fou, la fillette avait été abandonnée en travers d’un tas de cailloux au carrefour du boulevard Edgard-Quinet et de la rue de la Gaîté, tout près d’où j’habitais alors.
Il n’y avait déjà plus personne autour d’elle, comme sur les places de village quand le cirque est parti.
Ce n’est qu’un peu plus tard que nous avons appris, par des commerçants du coin, comment c’était passée la fiesta : un escadron de farouches résistants, frais du jour, à la coque, descendus des maquis de Barbès, avaient surpris un feldwebel caché chez la jeune personne. Ils avaient – naturlicht ! – flingué le Chleu. Rien à redire. Après quoi ils avaient férocement tatané la gamine avant la tirer par les cheveux jusqu’à la petite place où ils l’avaient attachée au tronc d’un acacia. C’est là qu’ils l’avaient tuée. Oh ! Pas méchant. Plutôt voyez-vous à la rigolade, comme on dégringole des boîtes de conserve à la foire, à ceci près : au lieu des boules de son, ils balançaient des pavés.
Quand ils l’ont détachée, elle était morte depuis longtemps déjà aux dires des gens. Après l’avoir balancée sur le tas de cailloux, ils avaient pissé dessus puis s’en étaient allé par les rues pavoisées, sous les ampoules multicolores festonnant les terrasses où s’agitaient des petits drapeaux et où les accordéons apprivoisaient les airs nouveaux de Glen Miller. C’était le début de la fête. Je l’avais imaginée un peu autrement. Après ça je suis rentré chez moi, pour suivre à la TSF la suite du feuilleton. Ainsi, devais-je apprendre, entre autres choses gaies, que les Forces Françaises de l’Intérieur avaient à elles seules mis l’armée allemande en déroute.
Le général De Gaulle devait, par la suite, accréditer ce fait d’armes. On ne l’en remerciera jamais assez. La France venait de passer de la défaite à la victoire, sans passer par la guerre. C’était génial. »
Michel AUDIARD.
Publié dans l’excellentissime hebdomadaire RIVAROL n° 2916 – 31 juillet – 3 septembre 2009.
Je ne savais pas qu’il y avait un paradis dans le judaïsme… C’est nouveau, ça vient de sortir ou ai-je raté une page quelque part?