«Cette nuit vers 4h, un barrage constitué de troncs d'arbres et de branchages en feu a été installé sur l'A16 à hauteur de la commune de Guemps», dans le sens Dunkerque-Calais, a déclaré un porte-parole de la préfecture à l'AFP.
L'intervention rapide des forces de sécurité a donné lieu à l'«interpellation de 21 migrants», a-t-il ajouté, précisant que le trafic avait été perturbé pendant trois quarts d'heure.
Une source policière a également affirmé à l'AFP que des migrants avaient été trouvés dans des camions et remis à la Police aux frontières.
Le 20 juin, le chauffeur d'une camionnette immatriculé en Pologne avait trouvé la mort dans un barrage sur ce même secteur après avoir percuté un des trois poids lourds immobilisés devant lui, une première depuis le début de la crise migratoire.
La pratique des barrages, courante en 2016, a progressivement repris depuis fin mai et le retour marqué des migrants dans la région. Alors que du temps de la «Jungle» les barrages étaient principalement érigés sur la rocade portuaire, désormais ultra-sécurisée, ils sont aujourd'hui pour l'essentiel concentrés sur l'autoroute.
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“L’intervention rapide des forces de sécurité a donné lieu à l’«interpellation de 21 migrants», a-t-il ajouté, précisant que le trafic avait été perturbé pendant trois quarts d’heure.”
Chacun de ces 21 migrants doit être vraiment intimidé, voire traumatisé, par son interpellation. Bouleversé et tellement impressionné, au point de recommencer sans délai et de redresser un barrage dès demain.
Dans la plus grande impunité, cela va de soi.
Les fruits pourris d’une immigration … en marche.
Puisque ces migrants sont des meurtriers, ils doivent être jugés comme tels, et renvoyés, d’urgence( à leurs frais — justice +voyage), dans leur pays d’origine.
Je pense , cependant, que cette solution de simple bon sens n’est pas exactement ce qu’envisagent Macron et son gouvernement.