Emplois fictifs, argent public détourné sur des comptes privés et même financement indirect de l’islamo-terrorisme : depuis leur mise en place au lendemain des attentats de 2015, les associations de « lutte contre la déradicalisation » et leurs responsables, grassement subventionnés par l’Etat, n’en finissent plus de hanter les tribunaux. Ainsi, après Dounia Bouzar, épinglée parce qu’elle travaillait avec l’ex-mentor des Kouachi, et Sonia Imloul, condamnée pour détournement de fonds publics, ce sont trois parents de djhadistes partis pour la Syrie qui ont été mis en examen pour « association de malfaiteurs terroristes, financement du terrorisme et abus de confiance en relation avec une entreprise terroriste ».
Pas moins de 90 000 euros détournés
Responsables de « Syrie Prévention Familles », organisme censé prévenir la « radicalisation » des « jeunes », Valérie de Boisrolin, Anne et Raymond Duong sont en effet soupçonnés d’avoir envoyé les quelque 90 000 euros de subventions perçus par leur association à leurs enfants partis mener le djihad en Syrie. Placés en garde à vue en début de semaine dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte fin 2016 faisant suite à un signalement de Tracfin, alerté par ces transferts de fonds via la Turquie ou le Liban, Anne et Raymond Duong auraient notamment effectué des virements pour un total de 13 000 euros, tandis que Valérie de Boisrolin aurait, quant à elle, fait passer 1 200 euros à sa fille et plus de 4 000 euros à la mère d’un djihadiste souhaitant revenir en France.
« Un fiasco complet »
Un nouveau scandale qui inquiète certains parents d’enfants partis pour la Syrie, qui s’interrogent aujourd’hui sérieusement sur la manière dont ces associations sont gérées. Avec raison. Car, comme le soulignait déjà, en février dernier, le rapport d’étape de la mission d’information sénatoriale intitulée « Désendoctrinement, désembrigadement et réinsertion des djihadistes en France et en Europe », les politiques mises en place depuis trois ans en la matière s’avèrent être « un fiasco complet », marqué notamment par le « manque d’évaluation des dispositifs », « l’amateurisme » et un « vaste gâchis financier ».
Mieux : selon un membre du Renseignement, cité récemment par Le Figaro, « dans la panique des attentats de 2015 et 2016, l’Etat et certains exécutifs locaux ont débloqué d’importants crédits pour cette mission mal définie et mal contrôlée. Des associations se sont précipitées pour récupérer cette manne. Et l’argent a servi bien souvent à autre chose, si ce n’est exactement au contraire, de ce pour quoi il avait été distribué ».
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Extrait de: Source et auteur
Bibracte, est-ce aussi une escroquerie? Vend des livres qui n’arrivent pas, bien que la carte ait été débitée
Bonjour, Le Figaro a sorti cette information hier, de mémoire, avec le même amalgame qu’ici dans la formulation en associant Dounia Bouzar, Sonia Imloul et les trois parents. Il se trouve que Dounia Bouzar n’a jamais eu de souci avec la Justice.
Je me permets donc de vous mettre le lien du courrier adressé par le CPDSI au Figaro et vous invite à en prendre connaissance : http://www.cpdsi.fr/actu/stop-diffamation-dounia-bouzar-droit-de-reponse/
Je pense que les journalistes devraient faire attention à la formulation.
Cordialement
Katy Lutaire.
Aujourd’hui encore plus qu’ hier, on escroque les contribuables avec du vent. La faute à la pléthore de “journalistes” sortis en masse des écoles gauchistes, placés face à une raréfaction de la demande, le mensonge ne faisant plus recette dans les médias traditionnels. Donc ils se fabriquent du vent pour se trouver un job, mais le mensonge fait toujours partie de la recette pour se remplir les poches, d’où l’escroquerie de la déradicalisation.
Dans le même registre que le réchauffement de la planète et autres salades. Et le registre des ONG n’est pas en reste. Chacune d’entre-elles donne un magnifique poste de porte-parole, même si l’infâme journaliste qui tire la ficelle a une voix brisante impropre à l’usage de la radio ou de la tv. Ainsi toutes les ONG participent à la curée de fonds publiques parce qu’elles sont de même nature que les outils de déradicalisation. Des instruments des mafias politiques en tenue de camouflage pour trouver des gogos suffisamment niais pour soutenir de telles impossibilités et alimenter leurs caisses. Gorbatchev démissionné à fondé une ONG, et maintenant on voit poindre ce qui précède, c’est Raffarin qui veut continuer de bénéficier de la planche à billets collectives, en greffant la sienne, ce qui nous garantit d’être roulés dans la farine. http://www.lemonde.fr/politique/article/2017/06/27/jean-pierre-raffarin-quitte-la-vie-politique-pour-creer-une-ong_5151560_823448.html Nous allons bientôt voir poindre “Déradicalisations sans frontières”, pourquoi pas, puisque les imbéciles ont pris le pouvoir et qu’ils ont trouvé un puissant représentant avec Macron et son LREM…
Le détournement de fonds sera tant qu’existeront les cupides, les planqués, ceux qui ont le pouvoir de décider de le faire au lieu de les distribuer, etc…
Lorsque une mienne connaissance m’avait évoqué une organisation caritative médicale mondiale qui, une fois sa BA faite, voyait ses membres se pavaner en 4×4 et loger dans des hôtels ****
Je ne donne plus rien car je me doute pertinemment que cela n’arrivera jamais à destination ni ne sera distribué à ceux à qui c’est destiné et qui en ont le plus besoin. De plus, les pirates et factieux divers s’emparent sur place, par la force, de ce qui parvient, n’hésitant pas à massacrer les leurs pour nourrir leurs guerres tribales et leur trafics divers dont les armes.