L'accès au suicide assisté pour les personnes âgées non atteintes d'une maladie grave, mais qui veulent mourir devrait être facilité. L'association Exit Suisse alémanique ouvre le débat.
Une commission a été mise sur pied samedi. Elle travaillera bénévolement et sera dotée de 50'000 francs pour les expertises dont elle aura besoin, a annoncé samedi la présidente d'Exit Suisse alémanique, Saskia Frei, lors de l'assemblée générale de l'association à Zurich.
Il y a aussi le souci, de la part de personnes très-âgées, de ne pas peser sur la génération suivante, leurs propres enfants, âgés eux-mêmes, qui s’occupent de leurs parents tout en souffrant déjà de maux semblables.
Et puis, il y a des cas, plus fréquents qu’on l’imagine, où un très-vieux couple veut partir ensemble, pour être sûr que l’autre ne végétera pas dans la solitude.
Merde alors ! Si on ne peut même plus exploiter les vieux via l’assurance maladie (en les bourrant de médicaments pour prolonger leur agonie), leur piquer leurs économies dans les EMS entre deux maltraitances, où va-t-on ?
Notre modèle de société pue la mort : Interruption volontaire de grossesses, immigration “frontières ouvertes” : noyades en méditerranée, radicalisation de certains : attentats de masse, Exit qui veut liquider les anciens qui le demandent. Les gens plutôt en bonne santé, sont libres de leur vie ou de leur mort. Qu’ils le fassent tout seul, car ils seront de toute manière seul pendant leur grand voyage vers l’au-delà. À quand une société pro-vie?
Avortement, euthanasie, invasion musulmane,… L’Occident veut réellement mourir…
LE SOUHAIT DE PARTIR
Il faut avoir côtoyé très souvent les personnes âgées pour comprendre “le désir de partir” qu’elles éprouvaient et qu’elles ne pouvaient pas réaliser.
MEME SANS MALADIE GRAVE, LA SOUFFRANCE EST LA
Celles qui n’avaient pas de grave maladie, éprouvaient quand même “les maux, les souffrances et l’inconfort de la viellesse. CELA VEUT DIRE QUE LA SOUFFRANCE ETAIT LA AU QUOTIDIEN. Leurs plaintes quotidiennes me le confirmaient et me laissaient dans l’impuissance à les aider, à les soulager.
Aujourd’hui, nous voulons tous la longévité pour tous. La médecine le permet. Mais nous sommes face à plusieurs réalités : La prise en charge et le coût du vieillissement doivent être envisagés autrement. On déresponsabilise à un tel point les personnes âgées, qu’on ne les laisse plus participer à leur vie les transformant en bébés exigeants, jusqu’à les faire entrer dans une paresse qui les enfonce dans la dépendance PREMATUREE.
AVOIR LE DROIT DE CHOISIR LE MOMENT DE SON DEPART est une bonne chose pour ceux qui ne veulent pas connaître les souffrances et l’agonie liées à la mort. Après avoir assisté au départ de plusieurs personnes âgées, il me semble qu’il faut avoir bien plus que du courage pour accepter la mort DANS la souffrance.
Bande de taré, non mais sérieux, faut être vraiment grave pour monter des “association” pareil…