«[James Comey] a dit qu’il avait enregistré une conversation avec le président, et avait ensuite, via un ami, transmis l’enregistrement aux médias», a déclaré Vladimir Poutine, en répondant à une question sur les relations russo-américaines lors de la 15e édition de la ligne directe avec les citoyens russes, le 15 juin. «En quoi dans ce cas un directeur du FBI est différent de Monsieur Snowden ? Il n’est dans ce cas précis pas le chef d’un service secret, mais un lanceur d’alerte, qui défend une certaine position», a constaté le dirigeant russe.
«D’ailleurs, si Comey est soumis à des persécutions aux Etats-Unis dans le cadre de cette affaire, nous sommes prêts à lui accorder l’asile politique en Russie, il doit le savoir», a ajouté Vladimir Poutine.
Le 7 juin, lors d’une session du comité du renseignement du Sénat américain, l’ex-directeur du FBI a confirmé qu’il avait transmis, par le biais d’un ami, un enregistrement de ses conversations avec Donald Trump. Selon Comey, c’est un de ses amis, un professeur d’université, qui a transmis une copie de l’enregistrement au New York Times.
Détails à suivre...
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Très fort le Vladimir, il se fout de leur gueule, c’est quelque chose. Un grand homme quoi qu’on en dise, bourré d’humour et non de vodka comme Eltsine qui avait avait donné les richesses du pays à une bande de maffieux internationalistes!
Trump aurait du virer Comey tout de suite. A l’heure de l’informatique peut-on trafiquer un enregistrement audio ? Oui. Parole contre parole.