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Dommage que dans les communiqué de la MaisonBlanche on ne donne pas les noms de centaines de scientifiques américains qui sont justement des “climatosceptiques”.
Très bien vu Mr Touati :
“L’Europe qui ne croit plus en rien (…) qui a honte de ses origines judéo-chrétiennes, pense avoir trouvé dans l’idéologie écologique le supplément d’âme qui lui manque.
L’Europe croit donc au ciel à la façon délirante des écologistes ; elle se laisse séduire par une sorte de culte païen de la nature et mobilise ses troupes contre le réchauffement climatique qu’elle prétend, sans aucune preuve scientifique, être produit par l’activité humaine.
Le culte d’une mère Nature revêtue de toutes les grâces n’est que l’avatar de la haine de soi dont les dirigeants européens sont les porteurs et qui conduit tout droit la plupart des pays européens dans le mur, c’est-à-dire au triomphe de l’idéologie la plus rétrograde, l’idéologie islamiste.
Pour nos nouveaux prêtres du culte de la mère Nature, la nature serait par essence bonne et l’homme, surtout l’homme occidental, serait mauvais.
Trump a totalement raison de dire que tout ce prêchi-prêcha écologiste valorise la chine et l’Inde au détriment des grands pays occidentaux, États-Unis en tête. (…) Ces pays saccagent sans vergogne leur environnement. (…) Au lieu de se mobiliser contre les dirigeants chinois qui détruisent sous nos yeux leur éco-système, nos modernes Torquemada de la pureté de la nature, ne dirigent leur flèche que contre l’Occident et le grand Satan Américain.
Il convient de rappeler que dans les grands pays démocratiques existe déjà tout un arsenal de lois et de règles extrêmement contraignantes visant à améliorer sans cesse la production dans le respect de l’environnement. Ces règles exercent de telles pressions, qu’elles ont entraîné la fermeture de quantité de sites industriels jugés trop dangereux, trop polluants. La France, victime expiatoire de ces nouveaux prêtres de la pureté de la nature, multiplie chômeurs et fermetures d’usines. Le principe de précaution appliqué comme un dogme intangible [et ignoré concernant les enfants élevés par des couples homosexuels], finit d’enfermer le pays dans la peur du nouveau, dans la peur du progrès, le déclin. (…) Une telle réglementation est totalement inexistante en Chine ou en Inde. Battons-nous pour que ces grands pays respectent au moins les règles de base auxquelles nous sommes assujettis depuis des longtemps.
Les États-Unis n’ont pas de leçon de morale, que dis-je de morale, d’ordres dictatoriaux à recevoir de ces nouveaux prêtres païens que sont les adeptes de l’écologie politique.
Après le culte païen de la pureté de la race, on nous ressert le culte non moins païen de la pureté de la nature. (…) jamais dans l’histoire de l’humanité la sécurité alimentaire n’a été aussi grande. (…)
Il n’est que voir ce que ces néo-fascistes-écolos-bobos ont fait de Paris ! Une suite de villages morts, mais qui leur permet de réaliser de belles petites affaires dans l’immobilier ! (…) “
Trump est décidément un homme libre et ça, on a de la peine à supporter.
Bravo Trump, vous avez provoqué une telle levée de boucliers qu’il y aura peut-être compétition entre acteurs pour prouver que vous avez tort.
Si Trump était resté dans le consensus, tout aurait continuer à ronronner, car cela fait longtemps qu’on se réunit à grands renforts de médiatisation, pour limiter la pollution. A noter que Trump se désengage de promesses mais n’interdit pas aux acteurs de la pollution de d’être plus responsables.
Trump ayant mobilisé tant de protestations, voire de haine contre lui, sa douche froide provoque en fait une mobilisation générale extraordinaire, aussi bien des consommateurs que des responsables de l’économie, qu’on peut espérer un changement de comportement face au gaspillage éhonté des ressources de la planète. Il est aberrant de tenir pour responsable du sort de la planète la seule personne de Trump (comme l’a affirmé Ségolène), alors que c’est bien la globalisation qui entraîne un tel déséquilibre au service d’une croissance sans limites.