Un temps pour la paix... un temps pour la guerre
Shimon Peres avait cité l'Ecclésiaste, dans un discours: "il y a un temps pour la paix, un temps pour la guerre. Aujourd'hui, nous sommes en guerre. A la fois contre l'Union européenne qui veut nous dicter sa loi et contre notre propre gouvernement, toujours prêt à plier l'échine ou/et baisser le pantalon, pour plaire à Bruxelles.
Aujourd'hui, à proTELL, nous n'avons pas besoin d'hommes de paix... mais de chiens de guerre. Car, il faut bien s'en rendre compte, il n'y a plus de compromis possible.
Depuis 40 ans que les forces de gauche s'efforcent (avec un certain succès) de désarmer le peuple suisse, nous avons fait des compromis. Oui, nous acceptons cette restriction, mais ne touchez pas à ... Et chaque fois, nous avons perdu. Parce que chacune de nos concessions a été suivie d'une nouvelle exigence... et d'une nouvelle concession.
En 1997, la parlement a voté une loi fédérale sur les armes (entrée en vigueur en 1999). Nous avons dit "OK, mais nous n'irons pas plus loin". Et les révisions ont suivi, 2002, 2005, 2008... En 2011, nous avons refusé le registre central des armes et, le soir même de la votation, Simonetta Sommaruga annonçait à la radio romande: "m'en fiche, je mettrai les fichiers cantonaux en réseau". Chose faite.
Aujourd'hui, certains veulent encore négocier: "sauvons les magasins à20 coups du Fass 90. Et les 24 du 57 ? et les 30 de l'AK47 ?
Demain, Simonetta Sommaruga va nous proposer un "compromis acceptable". Et certains diront sûrement "Oui, on peut vivre avec".
Mais si nous laissons ce "compromis acceptable" entrer en vigueur, vous pouvez être sûr que, dans un an, dans cinq ans, on nous proposera un autre compromis "acceptable".
L'emblème de la Suisse, Guillaume Tell a-t-il fait un compromis ? "S'il vous plait, une courge à bras tendu, au lieu d'une pomme sur la tête". Non, il a juste préparé un second carreau pour Gessler.
Alors, ferons nous un compromis avec Gessler, pardon, avec Juncker et Simonetta ?
Il n'y a plus de compromis possible. On ne peut plus rien donner. Il ne reste plus qu'à tenir les positions, jusqu'au bout.
En allemand, comité se dit "Vorstand", c'est-à-dire ce qui se tient devant. Pas celui plie au moindre vent. C'est pourquoi, à proTELL, il nous faut désormais un comité combattant. Pas des diplomates ou des négociateurs, mais des "chiens de guerre". C'est seulement ainsi que nous avons une (petite) chance de gagner.
Frank A.Leutenegger, SwissGuns, 25.05.2017
ProTell va enfin avoir l’opportunité de devenir un véritable lobby, Dieu merci.
A GéraldS : Il est bien vrai que nombre de nos politiciens ont le pantalon un peu vide. Si vous venez à Zürich le 17 juin, outre vos c… pensez à prendre votre tête aussi et réfléchissez bien à ce que certains cherchent à faire de Protell. Amicalement .-)
Entièrement D’ACCORD. Rendez-vous le 17 juin.
Merci Mr Leutenegger , il faudrait des milliers de personnes qui pensent comme vous dans ce pays où les hommes ont laissé leurs c……. au vestiaire.