Devoir de réserve et droit de se taire
Lors de l’élection présidentielle française, les tensions au cours de l’entre-deux-tours ont été particulièrement vives.
A mesure que les jours passaient et que l’échéance approchait, on a assisté à une mobilisation sans précédent de la bien-pensance ainsi qu’à un déferlement de prises de position et de consignes de vote, chaque petit chef y allant de son refrain, antienne bien correcte, aussi vide de tout contenu pertinent que farcie d’affirmations et de condamnations convenues.
Dans ce vacarme repris goulûment par la caste médiatique qui relayait conseils, mises en garde, interdictions et imprécations politiquement corrects de personnages influents, les présidents d’université se sont sentis investis du devoir sacré d’ « éclairer » leurs étudiants dans le choix politique qui s’offrait à eux.
Agir en simple propagandiste derrière l’ordinateur de son bureau, quel courage ! Mais pourquoi ne pas plutôt organiser un débat contradictoire entre deux représentants universitaires, dont l’un serait le président lui-même ? Quitte à se mettre en avant, descendre dans l’arène plutôt que rester dans sa tour d’ivoire. Ah ! Que cela aurait de la hauteur, du panache !
Les présidents traitent comme un ramassis de niais immatures la future élite de la nation : ils cherchent à faire peur en listant une série de vagues menaces (fermeture, exclusion, repli sur soi, etc.), leur déclaration ne s’appuyant bien souvent sur aucune argumentation étayée. Ils considèrent le gratin intellectuel de la nation d’une manière désinvolte, aveuglés qu’ils sont par leurs œillères idéologiques.
En réalité, ces gens-là abusent de leur statut de président. Parfois, ils l’avouent clairement, comme Frédéric Dardel, président de l’université René Descartes qui annonce sans vergogne abuser de ses prérogatives. Cher Monsieur, si votre opinion compte plus que le poste que vous assumez, démissionnez et passez dans le camp partisan. Vous serez alors logique avec vous-même ! Sinon, vous n’avez que le droit de respecter d’une part le principe constitutionnel de neutralité du service public et d’autre part le libre choix et les convictions d’autrui. Un fonctionnaire est en place pour remplir le rôle de serviteur et non de militant. Montrer autant de morgue et de mépris pour les étudiants en leur suggérant une consigne de vote, c’est agir en idéologue fanatique qui ne mérite pas la fonction exercée !
La Conférences des présidents d’université a même pondu un communiqué prenant parti « contre l’extrémisme que porte la candidature de Marine Le Pen », appuyant cette position d’arguments comme la sortie de l’Union européenne, la fermeture des frontières, la police des idées, etc. Le Front National milite pour le contrôle des frontières (et non pour leur fermeture, nuance que ces messieurs n’ont apparemment pas saisie), et il est un des rares partis à s’opposer à la dictature des idées politiquement correctes, véritable police des idées que ces messieurs ont du mal à saisir tant ils baignent dedans.
J’ai toujours ressenti la moutarde me monter au nez lorsque j’ai été exposé à des tentatives d’influence de la part de supérieurs. N’est-on pas étudiant à l’université pour précisément échapper aux idées toutes faites et pour exercer son esprit critique, libre de toute influence idéologique ? Que penser alors de « présidents » qui montrent un exemple aussi tendancieux au lieu d’exercer rigueur et vérité dans leur ministère ?
Devant l’attitude à la fois paternaliste et arrogante de cette caste envers la gent estudiantine, on ne peut avoir que dédain pour ces minables donneurs de leçon.
Bertrand Hourcade, 24.5.2017
Les journalistes de toutes les chaines d’infos sont obligés de répandre la désinformation nauséabonde. Les journalistes qui osent faire leur travail impartialement sont virés. Le gouvernement Macron est une dictature sans précédent. les français et les belges et les italiens et tous les citoyens des 27 pays de l’UE sont des victimes collatérales du plan néo-nazie Coudhenove-Kalergi.
Il y a (au moins) deux “Pères Fondateurs” de notre Union Européenne dont le grand public ne connaît même pas le nom mais qui ont tracé le plan que, docilement, nous sommes en train d’exécuter aujourd’hui.
Walter Hallstein, en tant que collaborateur de Hitler a rédigé le plan de « Das Neue Europa » et ensuite il est devenu le premier président de la Commission Européenne…
http://fr.wikipedia.org/wiki/Walter_Hallstein
http://www.lesobservateurs.ch/2015/02/19/le-spectre-du-iii-reich-plane-il-toujours/
Richard Nikolaus de Coudenhove-Kalergi a rédigé le plan du « génocide européen… »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Nikolaus_de_Coudenhove-Kalergi
En 1922, il fonda à Vienne le mouvement« Paneuropéen », qui visait l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial basé sur une Fédération de Nations dirigée par les Etats-Unis. (…) Dans son livre « Praktischer Idealismus », Kalergi déclare que les habitants des futurs “Etats Unis d’Europe » ne seront plus les peuples originaires du Vieux Continent, mais plutôt une sorte de sous-humanité bestiale issue de mélanges raciaux. Il affirmait, sans demi-mesure, qu’il était nécessaire de « croiser » les peuples européens avec les Asiatiques et les Noirs, pour créer un troupeau multiethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour les élites au pouvoir.
L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Egyptiens, remplacera la multiplicité des peuples […][2] (…) Si nous regardons autour de nous, le Plan Kalergi semble s’être pleinement réalisé. Nous sommes au-devant d’une vraie tiers-mondialisation de l’Europe.>> https://penserrendlibre.wordpress.com/2013/10/18/le-plan-kalergi-genocide-des-peuples-européens
Les élites mondialistes ne font que mettre en pratique ce plan diabolique pensé par Hitler pour pratiquer un génocide de la civilisation Européenne dans le but d’enrichir la banque Rothschild.
C EST DEGUEULASSE.!!!!!
Qui est propriétaire des moyens de communication en France ?
Qui désigne les Présidents d’Université en France ?
La manipulation se fait à tous niveaux, à Qui veut bien l’entendre….