Dans quelques jours le dénouement de ces élections vaudoises 2017 aura lieu - avec à la clef la couleur politique de la majorité au Conseil d'État. Qui l'emportera? Le ticket socialo-écologiste Amarelle/Métraux ou le ticket UDC-vert-libéral Nicolet/Chevalley?
Le premier choix est celui de la poursuite de la majorité de gauche au Conseil d'État. En reconduisant Béatrice Métraux et en adoubant Cesla Amarelle en remplacement d'Anne-Catherine Lyon, l'équilibre des forces resterait apparemment inchangé. Cependant, la substitution de la relativement modérée Mme Lyon par une des personnalités les plus à gauche du Parti Socialiste, Mme Amarelle aurait de lourdes conséquences. Maniant avec talent le double-langage, Cesla Amarelle sait adapter son discours à ses interlocuteurs - et même la réalité. Mais ceux qui l'ont pratiquée à Berne le savent bien, en dépit des paroles apaisantes, lors des prises de décisions ils sont en face de la plus hargneuse des idéologues.
Bien que rien ne change dans la couleur des sièges, l'élection de cette personnalité clivante, méprisant la démocratie directe et arc-boutée dans l'accueil migratoire, garantit un net virage à gauche du Conseil d'État.
Le second choix est celui d'un retour à la normalité. Ce retour à la normale s'inscrit dans la logique de représentativité des courants politiques du Grand Conseil, mise à mal depuis le décès de M. Jean-Claude Mermoud en 2011. Jacques Nicolet, agriculteur de Lignerolle, incarne cette ligne.
La gauche montant aux barricades dès que son emprise est menacée, le retour à un équilibre au Conseil d'État est donc l'enjeu d'une haute lutte. Pour forcer la décision, les forces du centre-droit (Vert-libéraux, PLR et UDC) se sont ralliées au ticket initialement prévu pour le premier, lançant dans l'arène Isabelle Chevalley aux côtés de M. Nicolet pour le second tour.
M. Nicolet et Mme Chevalley, le ticket du centre-droit, sur nos stands du marché de Renens.
Cette alliance - pourtant prévue dès le premier tour! - fit pousser de hauts cris à gauche, ce qui me fait dire que l'idée n'est pas mauvaise. Le choix de rassembler les deux noms sur un seul ticket a été abondamment discuté lors du Congrès de l'UDC Vaud et la décision mûrement réfléchie. Toutes les questions ont été abordées.
La gauche ne va elle-même pas si bien: Mme Amarelle obtint au premier tour un score décevant. Le maintien au second tour du trublion d'extrême-gauche Guillaume Morand risque bien de retirer de précieuses voix au ticket Amarelle/Métraux. La perspective d'un retour à l'équilibre de centre-droit au Conseil d'État est donc réelle, et dynamise la campagne.
Épaulés par un PLR très engagé pour faire revenir la majorité à droite, la campagne du second tour est renouvelée. La mobilisation est au maximum ; nous nous réjouissons d'ailleurs d'accueillir à nouveau M. Nicolet et Mme Chevalley au Marché de Renens le 20 mai.
Les électeurs se mobiliseront-ils? Et s'ils se mobilisent, accepteront-ils de jouer le jeu d'un ticket de centre-droit?
L'élection se jouera là-dessus. La gauche est très forte dans la discipline de vote. Peu importe les (nombreuses) tensions entre écologistes et socialistes, les sympathisants de gauche savent mettre leur poing dans la poche le jour du scrutin pour arracher le pouvoir. À droite, on est plus volage: on panache, on biffe, on réorganise, on se fait plaisir, comme si au mépris de la loi des grands nombres l'électeur lambda s'imaginait que la composition du Conseil d'État ne dépend que de lui. Cette attitude presque poétique se paye lourdement dans les urnes.
La réalité est plus prosaïque. Face aux forces en présence, la seule chance de l'alliance de centre-droit de l'emporter est de voter bloc. Qu'ils soient PLR, UDC ou Verts-libéraux, si les électeurs commencent à biffer Mme Chevalley ou M. Nicolet pour quelque raison que ce soit, le résultat sera immédiat: aucun des deux ne sera élu.
Les statistiques du vote seront bien sûr scrutées de près par les états-majors politiques en vue de futures alliances, mais ne nous leurrons pas .Si les électeurs de centre-droit ne sont pas capables d'autodiscipline, la majorité de droite du Conseil d'État ne sera pas retrouvée.
Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 18 mai 2017
Excellente analyse, Ouin Ouin, vous osez dire, en un langage appelant un chat un chat, ce que beaucoup de Vaudois pensent mais ont peur d’exprimer, par peur de la mainmise bien-pensante de gauche, issue du communisme.
Ce qui reste du peuple vaudois « a consenti à l’accession au pouvoir » de Cesla Amarelle, « une intellectuelle marxiste endurcie » qui travaillera à la disparition, par submersion immigratoire et étouffement, des derniers Vaudois de souche.
Je ne comprends pas pourquoi la “droite” n’a pas attaqué de manière beaucoup plus massive la Communauté des Etats Socialistes Latino Américains (CESLA, eh oui! C’est ça son prénom, incroyable mais vrai.)
Il aurait fallu une campagne bulldozer, étalée sur des mois, inlassable, de tous les anti-socialistes et anti-immigrationistes, pour dénoncer le vrai visage de cette théoricienne du remplacement de population. Et alors, peut-être, le peuple vaudois de souche, qui existe encore, aurait-il pu avoir un ultime réflexe de survie et voter vaudois.
Au lieu de ça, personne n’a résieusement attaqué cette idéologue d’extrême gauche antisuisse. Personne n’a relevé que c’est elle la coupable si la volonté populaire du 9 février 2014 a été foulée au pied et la constitution violée. Cela aurait pourtant été facile de porter une campagne sur ces thèmes, et cela aurait eu de l’écho dans l’opinion. Eh bien non. Rien n’a été fait.
Tout juste, à l’extrême bout de la dernière ligne droite, miss Chevalley, une brave fille pas très jolie, mais bien vaudoise pourtant, et c’est pourquoi j’ai voté pour elle et pour Nicolet, a un petit peu chatouillé sa challenger là où ça faisait mal en l’accusant de “communiste”. Trop peu, trop tard, et surtout il n’y a pas eu une mobilisation bourgeoise massive contre cette communiste révolutionnaire latino américaine, extrêmement dangereuse.
Alors, je dirai que la bourgeoisie vaudoise libérale et un peu conservatrice n’a que ce qu’elle mérite. Ce milieu sera exterminé par métissage et noyé dans une nouvelle population ni vaudoise, ni suisse ni protestante, ni catholique: africaine, et musulmane. Mais au fond les Vaudoises et les Vaudoises l’auront bien voulu puisqu’ils/elles ne sont pas levées comme un seul homme, comme une seule femme pour barrer la route au danger public C.e.s.l.a Amarelle.
Même La Nation, organe du nationalisme intégral vaudois, s’est soigneusement abstenue de la moindre prise de position critique quelconque – on aurait pourtant pu le faire de manière polie et argumentée – au contraire elle a publié des articles totalement immigrationistes de monsieur Jean-François Cavin, ancien président des Groupements patronaux vaudois. En résumé, la Ligue vaudoise elle-même a consenti à l’accession au pouvoir d’une femme qui symbolise la disparition totale et définitive de ce qui reste d’un peuple vaudois.
Le jour de l’élection a été fascinant: vers deux heurs de l’après midi on avait encore dans les cinq premiers Nicolet et la sortante Métraux, mademoiselle Chevalley était distancée à la sixième place. Un instant j’ai eu l’espoir que ce classement puisse se maintenir jusqu’à la fin. Certes la Métraux ne me plait pas du tout. C’est aussi une de ces écolos plus ou moins communistes, mais elle semble avoir un certain bon sens et une personnalité assez raisonnable qui la distingue d’intellectuelles marxistes endurcies comme Lyon ou Amarelle. Et elle était sortante, donc elle bénéficiait de la fameuse prime aux sortants.
Une élection de Nicolet et Métraux aurait rééquilibré le conseil d’état au centre droit très modéré, en rétablissant le droit traditionnel des PAI agrariens à un siège dans ce canton encore agricole. J’aurais donc salué ce résultat comme un moindre mal, le principal: l’échec de la Communauté des Etats Socialistes Latino Américains étant acquis.
Mais c’était compter sans Lausanne. Cinq minutes après avoir eu des espoirs fous que le Canton de Vaud puisse ressembler encore un peu au Canton de Vaud pendant encore quelques années, le résultat du dépouillement des votes de la capitale était connu, renversant massivement la donne. La courte avance de Nicolet était annullée et la Communauté des Etats Socialistes Latino Américains passait en tête avec une confortable majorité d’environ 5’000 voix sur le représentant des “violets”.
J’ai eu froid dans le dos car d’un seul coup la réalité tragique de ce résultat électoral m’est apparue dans toute sa clarté et dans sa véritable signification atroce.
C’était un vote ethnique et démographique, quintessence de tout ce qu’incarne C.e.s.l.a Amaraelle: c’est à dire une politique délibérée et systématique de la gauche pour créer un électorat captif composé de bénéficiaires extra-européens de l’aide sociale, par remplacement de population donc, afin que le peuple autochtone ne soit plus jamais maître chez lui. Afin que plus jamais, dans les siècles à venir, le destin des Vaudois ne puisse être dans les mains des Vaudois.
Cette élection, en résumé, est donc une date historique. A partir de ce dimanche 21 mai 2017 on sait que désormais le peuple vaudois n’est plus qu’une minorité ethnique (dans 20 ans ce sera une minorité opprimée) dans son propre pays. Il a été artificieusement REMPLACÉ, pour des raisons de calcul électoral de la gauche, par un autre peuple, étranger même s’il possède le passeport rouge à croix blanche, dont la doctrinaire C.e.s.l.a avec ses petites lunettes cerclées de métal, son type Quechua et sa doxa multiculturaliste est l’incarnation, sous une forme universitaire, bobo, ambitieuse et carriériste.
Pour un Helvète confédéré ayant environ la cinquantaine comme moi, c’est un jour de deuil. Et je présente mes condoléances attristées aux Vaudoises et aux Vaudois pour le décés de leur peuple: assassiné démographiquement et porté en bière par la passivité de la droite bourgeoise bien pensante terrorisée à l’idée de paraître “xénophobe”, ainsi que par une tactique systématique de remplacement de population, voulue par la gauche pour se constituer un électorat captif dans les grandes villes du canton comme Lausanne.
Le peuple vaudois est mort. R. I. P.
Les derniers des Mohicans, pardon des Vaudois, ne vivent plus dans le pays de Vaud. Ils vivent dans une Communauté d’Etat Socialiste Latino Africaine.
Voici la triste vérité.
Et plus jamais les Vaudois ne pourront reprendre leur propre pays en mains, car ce pays n’existe plus puisque le peuple vaudois lui-même n’existe plus, en tant que peuple majoritaire sur son territoire historique.
Il y a des gens qui veulent conserver la maison de C.-F. Ramuz, c’est une idée touchante. Mais c’est du passéisme. Le monde de C. F. Ramuz appartient au passé. Il était encore tout à fait vivant au temps de mon adolescence dans les années 1970. Puis il est mort petit à petit, étouffé par la politique d’immigration et de naturalisations de la gauche rose verte. Et avec le consentement de alk droite qui n’a pas voulu alerter sur cette forme apparement indolore de génocide. Le 21 mai 2017 à 2 heures et demie de l’après midi environ, le peuple vaudois a été enterré, au moment ou Jacques Nicolet a été devancé par C.e.l.a. Amarelle à cause de quelques milliers de voix d’électeurs lausannois issus de l’immigration et bénéficiaires de l’aide sociale donc électoralement captifs de la gauche.
Les Vaudois ont décidé : La gauche-caviar a gagné. Elles auront le caviar et les Vaudois les inconvénients de la gauche.
Malheureusement les Vaudois, bien qu’avec réticence, ont élu l’extrémiste de gauche Cesla Amarelle, une crypto communiste, recevant des ponts d’or pour endoctriner nos étudiants.
Ainsi, la destruction de l’âme du Pays de Vaud se poursuivra par une subversion douce et continue, déguisée en « progressisme, ouverture, islamophilie et autres valeurs décadentes ».
Il est consternant que la gauche en soit encore à espérer en l’illusion mortelle du communisme…
L’UDC ne se conçoit que comme force supplétive, PLR+, et non pas comme une force de changement et de souverainisme ( et encore moins identitaire)…Les militants devraient commencer à s’interroger sur ceux qui leur dictent une stratégie d’impasse programmée et répétée.
Enfin, après quelques jours épuisants en ‘’région parisienne’’ (vaste banlieue africaine + boboland pour lapins crétins) après avoir traversé votre Romandie, je me suis enfin retrouvé chez moi en Lombardie.
QUEL DESESPOIR !
Partout à présent la même DICTATURE :
“Crétin fini”, Bruno Gollnisch répond à Daniel Cohn-Bendit
https://www.youtube.com/watch?v=iCaQj0e3mO8