Internement à vie ou récidive ? Le cas de Fabrice A.
Aujourd'hui lundi 15 mai 2017, Fabrice A. comparait une nouvelle fois devant ses juges. L'homme avait déjà affronté la justice il y a un certain temps mais le procès avait été annulé, certains magistrats étant soupçonnés d'hostilité envers l'accusé. A leur décharge, ce pâle assassin ne suscite guère d'empathie au vu de sa capacité à prévoir puis mettre à exécution la mort d'une jeune socio-thérapeute mère de famille. Indépendamment du caractère profondément exécrable de l'acte qui est jugé dès ce jour, c'est une plus vaste question qui va se poser, celle de l'internement à vie.
J'ai déjà eu l'occasion d'évoquer le regrettable vice caché qui se niche dans le texte adopté par le peuple et les cantons en février 2004 déjà. Les dispositions retenues prévoient qu'un internement à vie ne peut être prononcé que lorsque des experts psychiatres arrivent à la conclusion que l'accusé est inaccessible à un traitement et que rien en l'état actuel de la science ne permet de penser qu'il le sera un jour. Pour les spécialistes, cela revient à admettre que leur science ne peut rien face à pareil cas, ce qui est bien sûr difficile à admettre. C'est ainsi que la plupart du temps, les rapports scientifiques font état de pathologies graves qu'on ne peut soigner actuellement mais laissent tout de même la porte ouverte à une éventuelle future évolution favorable à long terme. Ainsi, bien des crapules ont échappé à l'internement à vie, étant susceptibles de voir leur état s'améliorer.
Sur ce point, on a entendu quelques spécialistes expliquer que l'internement à vie revient à déshumaniser la personne à qui on ôte tout espoir. Effectivement, ces éminents personnages ont raison, avec l'internement à vie, on ôte tout espoir au tueur de récidiver. Cela ne peut donc que plonger l'intéressé dans une profonde détresse à l'idée que son passe-temps favori lui est interdit. Face au désespoir de l'assassin, on opposera le désespoir des proches de la victime, qui contrairement à l'auteur, ne sont en rien responsables du malheur qui les touche. Pour eux, pas d'évolution potentiellement favorable à futur, ils ont perdu un être cher que le temps ne ramènera pas, ils sont condamnés au chagrin à vie.
Face à ces monstres dont on s'étonne qu'ils aient pu récidiver malgré un passé chargé, c'est le principe de précaution qui doit prévaloir. S'il y a un doute, il ne doit pas profiter à l'accusé mais bien à la société qui mérite d'être protégée face aux appétits morbides de ceux qu'il faut bien appeler tueurs en série. Camus disait que mal nommer les choses, c'est ajouter aux malheurs du monde. Peut-être ne pensait-il pas immédiatement au sujet qui nous occupe mais il parlait d'or. Le politiquement correct n'a pas plus sa place au niveau de la justice qu'ailleurs. Ce sont bien d'êtres sans scrupules ni empathie dont nous parlons, des êtres nés pour tuer, seul acte qui leur apporte la jouissance. Compte tenu de cette situation, pareils personnages ne sauraient être remis en liberté, même si cela doit les plonger dans une profonde mélancolie. La clémence bienveillante, l'optimisme béat ne sont pas de mise en pareils cas, les prédateurs doivent être écartés de leur terrain de chasse même si la Cour européenne des droits de l'homme voit les choses différemment. Nombreux sont en effet les juristes qui estiment que l'auguste aréopage annulerait un internement à vie en cas de recours. Dans ces conditions, force est de constater que pour Strasbourg, le droit de tuer l'emporterait sur le droit de vivre. Pouvons-nous réellement admettre pareil raisonnement ?
Genève, le 15 mai 2017 Céline Amaudruz, Conseillère nationale UDC
le spécialiste mondial de la psychopathie s’appelle le Dr Robert Hare.
5 % environ de la population mondiale sont des personnes sans conscience morale et ne sont pas guérissable les irm démontrant des lésions cérébrales irréversibles à l’heure actuelle.
ne donc pas dire que la science ne le sait pas aujourd’hui !!!!!
ou alors il s’agit d’une science sans conscience, elle aussi
Vous savez ce que m’à dit LA psychiatre plus malade que moi, enfermée de force et abusivement eh bien c’est : “je peux vous garder tant que je veux”. Mais quel pouvoir entre les mains d’une seule ! PSYCHIATRES DE M – – – E.
Comment peut-on accorder autant de mansuétude via ses avocats à un être aussi abject ?
Un procès de plus , le précédent n’ayant pas reçu la grâce de la défense; à un moment on se demande si on marche sur la tête ! Cet individu avec un lourd passé n’aurait jamais dû quitter sa cellule en France, mais avec la “pratique” du web, il savait qu’il se retrouverait en “colonie de vacances” et en a largement profité. Sa dangerosité n’était vraisemblablement qu’une lacune mineure pour l’établissement de “réinsertion”
la famille de la victime, elle en a pris pour l’éternité
Ce qui me choque est la non comparution de la directrice de la Pâquerette, au 1er procès ; arrêt maladie et maintenant en dépression ? Faute grave de sa part, d’avoir laissé une jeune femme seule en compagnie de ce sinistre individu.
Comment peut-on encore avoir un doute sur la dangerosité de ce sinistre personnage ?
ça en devient lamentable; une famille pleure leur fille, femme , maman et on s’éternise sur ce criminel avec un lourd passé. Ce qui me choque est la non comparution de la directrice de la Pâquerette hautement responsable d’avoir laissé une jeune femme seule dans la nature avec ce pervers; en arrêt maladie ???; elle aurait dû renoncer à sa fonction avant le pire, apparemment elle aussi incapable de discernement .
Bonjour à toutes et à tous ! Aujourd’hui on fête Saint YVES, saint patron des Avocats du diable ou pas ! Il y a les bons et les mauvais à tous les niveaux dans la société. Le monde se divise entre le Bien et le Mal et c’est contre ce dernier qu’il ne faut pas renoncer au combat comme celui contre l’envahissement idéologique propagé par les islamistes de toutes origines.
Psychiatres experts de quoi ? En ignorance du malin entré en possession de ceux qu’ils doivent expertisés. Qui sont les plus malades dans l’affaire ? Ces psychiatres experts en expertises de m . . . e. En France un interné sans son consentement = sous contrainte, à droit à être auditionné par le juge des libertés et de la détention mais comment ce dernier peut-il juger l’interné qui se présente, volontairement complètement abruti par les médocs du diable administrés à hautes doses pour justifier le diagnostic du psychiatre, diagnostic évidemment dévoilé au juge – merci le respect du secret médical – et sur lequel le juge ne peut que s’appuyer pour se faire son intime conviction. Vous comprenez le vice de la situation ? Psychiatrie qui se vend trop souvent pour servir des mobiles de vrais malades qui s’ignorent et que la psychiatrie, complice, feint volontairement d’ignorer. Je tiens à le répéter : “LA PSYCHIATRIE EST LE SACREMENT DU DIABLE” DIXIT CARL GUSTAV JUNG.
Je serais curieux de savoir le salaire des psy et le coût total de ce procès…
Ben voyons, les psy ne peuvent pas se prononcer sur l’internement à vie au cas où il y aurait un hypothétique traitement futur. L’avocat de ce défoncé du bocal devrait encore plaider que si on envoyait sa crapule à Lourdes ça deviendrait le gendre idéal.
Cet arrogant personnage devrait surtout être emmené chez le veto pour un dernier voyage.
Deux procès pour ce monstre c’est deux procès de trop; au mépris de la famille et bien évidemment du contribuable qui les finance.
“La psychiatrie est le sacrement du diable” dixit Carl Gustav JUNG. Tous ces possédés du diable doivent être obligatoirement internés à vie à moins d’être délivrés par un exorcisme. Les médocs du diable ne sont d’aucun effet pour ces possédés.
Par contre on interne arbitrairement et abusivement des personnes tout à fait saines d’esprit qui ont eu un jour le malheur d’entrer en dissidence et c’est tous les jours que ça se passe et dans des démocraties comme la France. L’Italie n’a plus d’hôpitaux psychiatriques.
“Les hôpitaux psychiatriques sont pleins de fous géniaux” Dane RHUDYARD pendant que des vrais fous possédés par Satan sont laissés en totale liberté dans la nature même et surtout après de multiples exactions de toutes sortes et des séjours en prison où certains en ont même profité pour se radicaliser.
Pour ce qui concerne les internements abusifs, je parle en connaissance de cause.
Ce prédateur est devenu un produit de consommation pour tous ceux qui s’occupent de lui. Deux procès à multiples rebondissements font le bonheur du porte-monnaie de tous les spécialistes, psys, avocats, magistrats et j’en oublie. Ces gens là font bien traîner l’histoire, une histoire bien lucrative dont tous sont bien certains d’être payé non par le prédateur mais par l’Etat ! Donc les honnêtes citoyens… D’ici que les victimes deviennent responsables…
Et quelle somme d’argent on investit dans cette larve irrécupérable !
A d’autres époques, on dressait la guillotine dans la cour de la prison….
Mais les droits de l’ homme sont passés par là.
Quant aux droits des victimes, j’attends toujours.
Fabrice A. un franco-suisse. Encore un cadeau enrichissant de nos voisins qui les fabriquent à coup de laxisme, méthode Taubira. J’ai lu, sauf erreur dans la TdG, que ce criminel affirmait avoir choisi de sortir avec cette thérapeute parce qu’elle était plus facilement manipulable. Déclaration intéressante puisque cette affirmation laisse supposer des lacunes dans la formation d’Adeline, mais aussi encore plus graves du côté de la directrice qu’on cherche visiblement à protéger. Aurait-elle été pistonnée fautes de qualifications suffisantes, qu’on n’agirait pas autrement.
http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/rapport-aurait-permis-eviter-drame/story/14465343
Dans l’environnement “carcéral” de Fabrice A. la police a retrouvé du cannabis et le cannabis fabrique des schizophrènes. Une telle addiction n’est donc pas banale. Cet aspect semble avoir échappé dans l’analyse de ce criminel. A voir tous le gratin PLR-PS s’épancher sur cette affaire pour en arrondir sérieusement les angles et finir par un blâme pour la “directrice” on peut penser que cette aspect du dossier a été soigneusement sous-estimé pour qu’on en arrive aujourd’hui à vouloir légaliser l’usage de cette dangereuse drogue. Toujours et contre vents et marées qualifiée très abusivement de douce, avec le concours très suspect des médias labellisés sérieux, comme d’habitude tous de gauche.
Douce est un qualificatif propre à l’espace politique gauchisant et donc permissif, même jusqu’au crime. Visiblement toutes la crasse criminelle qui suinte des bonnes consciences de la gauche est en train de nous anesthésier sur cette équation redoutable de vérités, cannabis=crimes. Les mafias ne sont pas loin de cette dérive politico-mafieuse. C’est peut être bien pour cette raison que la peine de mort va s’imposer et pourvu que ce ne soit pas trop tard. Va-t-on encore tergiverser jusqu’à ce que ces criminels “victimes” consentantes des dérives d’un socialisme mafieux puissent additionner les assassinats devenu admissibles comptablement au niveau d’un génocide? Regardez les crimes commis par les migrants et faux-réfugiés. Il y a toujours cette combinaison perverse cannabis=crime et ils sont les instigateurs de cette décomposition sociale avec leurs souteneurs les socialistes locaux.
Comme vous avez raison, Céline Amaudruz! Alors que la préméditation, établie par les actes préparatoires (achat du couteau, notamment) est indiscutable, le nouveau Tribunal finasse pour trouver les arguments qui éviteront au criminel abject d’écoper de la peine la plus lourde. Indéniablement, la justice travaille en faveur des criminels. pas des victimes. Et quand Me Hayat parle de barbarie au sujet de l’internement à vie (Mise au Point dimanche dernier), son client chéri n’a-t-il pas commis le plus abject des actes de barbarie? C’est sans doute elle qui a soufflé à A. sa nouvelle stratégie de défense, niant la préméditation précédemment admise. Cette avocate est à vomir.
Ceux qui participent à la libération d’un futur récidiviste sont defacto responsables du futur viol ou assassinat. Juges, psy ou jurés, ils sont tous responsables !
Si je fabrique une voiture dangereuse, JE suis responsable, alors…
Si les psychiatres étaient coresponsables des récidives des criminels qu’ils avaient jugés aptes à être libérés, il y aurait plus d’internements à vie.
Hélas, il se trouvera bien un psychiatre qui l’estimera guéri avant de le remettre en liberté. A quand une véritable perpétuité ?