Europe : Nouvelle Vague de Migrants à l’Horizon

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  • « En termes d'ordre public et de sécurité intérieure, je dois absolument savoir qui pénètre dans notre pays ». - Le ministre autrichien de l'Intérieur, Wolfgang Sobotka.

  • La Turquie apparait déterminée à inonder l'Europe de migrants : soit avec le consentement des Européens au moyen de l'exemption de visas, soit comme châtiment des Européens pour refus d'accorder l'exemption de visa demandée.
  • Les migrants qui arrivent en Italie sont essentiellement des migrants économiques à la recherche d'une vie meilleure. Les demandeurs d'asile légitimes ou les réfugiés qui fuient les zones de guerre sont une infime minorité.
  • Michael Møller, directeur du bureau de l'ONU à Genève, a été très clair : l'Europe doit se préparer à accueillir plusieurs millions d'autres migrants en provenance d'Afrique, d'Asie et du Moyen-Orient.

L'Union européenne a donné six mois aux États membres pour lever les contrôles aux frontières qu'ils avaient instaurés au moment de la crise migratoire de septembre 2015.

Ce retour à l'ouverture des frontières et à la liberté de circuler sans visa à l'intérieur de l'UE, se produit à un moment où le nombre de migrants qui traversent la Méditerranée continue d'augmenter. Cette exigence ne tient pas compte non plus du fait que les autorités turques menacent de plus en plus fermement de renégocier l'accord frontalier qui a permis de réduire le flux de migrants en provenance de la Turquie vers l'Europe.

Les opposants à la mesure ont fait valoir que la levée des contrôles aux frontières pourrait être à l'origine d'une seconde crise migratoire, d'autant plus forte qu'elle serait perçue comme un encouragement par plusieurs millions de migrants potentiels en Afrique, Asie et au Moyen-Orient. Sans parler de l'incitation faite aux djihadistes de franchir incognito les frontières européennes pour opérer des attentats où et quand ils le souhaitent.

A l'occasion d'une conférence de presse donnée à Bruxelles le 2 mai, le commissaire européen chargé des migrations, Dimitris Avramopoulos, a appelé l'Autriche, le Danemark, l'Allemagne, la Norvège et la Suède – les pays les plus riches et les destinations les plus recherchées par les migrants - à éliminer au cours des six prochains mois, les contrôles temporaires que ces pays ont instaurés aux frontières internes de Schengen.

L'accords de Schengen, entré en vigueur en mars 1995, ont aboli les frontières entre Etats membres de l'UE, afin que les ressortissants des Etats signataires puissent circuler sans passeport à l'intérieur de ce nouvel espace. L'accord de Schengen, comme la monnaie unique, sont des piliers de l'Union européenne et la pierre angulaire des futurs États-Unis d'Europe. Bien que la monnaie unique et l'ouverture des frontières soient aujourd'hui fragilisées, les défenseurs du fédéralisme européen bataillent pour les maintenir en vie.

Avramopoulos a soutenu que les contrôles aux frontières ne relevaient « pas d'un esprit européen de solidarité et de coopération ». Il a déclaré:

« Le moment est venu de revenir un fonctionnement normal de l'espace Schengen en levant progressivement les derniers obstacles. Tel est notre but, et il demeure inchangé : un espace Schengen opérationnel, exempt de contrôles aux frontières internes. Schengen est l'une des grandes réalisations du projet européen. Nous devons tout faire pour le protéger. »

Les contrôles temporaires aux frontières ont été restaurés en septembre 2015, après que des centaines de milliers de migrants ont débarqué en Europe. Certains États membres, Allemagne en tête, avaient reconnu à divers pays de l'UE le droit dérogatoire de réinstaurer des contrôles d'urgence sur une durée de deux ans. Depuis, l'Union européenne a approuvé le renouvellement de six mois en six mois des contrôles à la frontiière germano-autrichienne, aux frontières entre l'Autriche la Hongrie et la Slovénie et aux frontières danoise, suédoise et norvégienne (la Norvège est membre de Schengen mais pas de l'UE). Plusieurs pays avaient fait valoir que ces contrôles aux frontières étaient indispensables pour lutter contre la menace du terrorisme islamique.

Le 2 mai, la Suède, qui affirme effectuer les contrôles frontaliers les plus stricts au sein de l'UE, a annoncé que ceux-ci seront prochainement supprimés à sa frontière danoise. La Suède a reçu 81 000 demandeurs d'asile en 2014 ; 163 000 en 2015; 29 000 en 2016, et prévoit d'en accueillir autant en 2017.

Le 26 avril, l'Autriche a réclamé au contraire une prolongation sans limitation des contrôles aux frontières. « En termes d'ordre public et de sécurité interne, il m'importe de savoir qui rentre dans notre pays », a déclaré le ministre autrichien de l'Intérieur Wolfgang Sobotka. L'Autriche, qui a accepté environ 90 000 migrants en 2015, a également appelé à un « report » du programme de redistribution des réfugiés au sein de l'UE, programme qui oblige les États membres de l'UE à accepter une répartition obligatoire et proportionnelle des demandeurs d'asile au sein des pays membres.

Le 9 mars, la Norvège a reconduit ses contrôles aux frontières sur une nouvelle période de trois mois.

Le 26 janvier, le Danemark a reconduit le contrôle de ses frontières pour les quatre prochains mois. Le ministre de l'Intérieur, Inger Støjberg, a déclaré que son gouvernement maintiendrait ces mesures « jusqu'à ce que les frontières extérieures de l'Union européenne soient sous contrôle ».

Le 19 janvier, l'Allemagne et l'Autriche ont annoncé que les contrôles aux frontières qui séparent leurs deux pays seraient reconduits indéfiniment, « tant que la frontière extérieure de l'UE n'est pas correctement protégée ».

Simultanément, le nombre des migrants qui débarquent en Europe a recommencé d'augmenter. Sur les 30 465 migrants arrivés au premier trimestre de 2017, 24 292 (80%) ont abordé en Italie, 4 407 sont arrivés en Grèce, 1 510 en Espagne et 256 sont passés par la Bulgarie, a indiqué l'Office international des migrations (OIM).

À titre de comparaison, les arrivées de migrants en Europe au cours des trois premiers mois de 2017 ont été supérieures en nombre aux arrivées de migrants qui ont eu lieu sur les trois premiers mois de 2015, année record du mouvement migratoire vers l'Europe.

La tendance devrait se poursuivre tout au long de 2017. L'amélioration des conditions climatiques favorise déjà les traversées de la Méditerranée au départ de la Libye vers l'Europe. En avril, sur une seule semaine, 9 661 migrants ont abordé les côtes de l'Italie.

Les migrants qui composent cette nouvelle vague migratoire ont une motivation économique et sont simplement à la recherche d'une vie meilleure en Europe. Les demandeurs d'asile légitimes ou les réfugiés qui fuient les zones de guerre ne représentent plus qu'une infime minorité. Selon l'OIM, les migrants arrivés en Italie au cours des trois premiers mois de 2017 proviennent, par ordre décroissant : de Guinée, du Nigeria, du Bangladesh, de Côte d'Ivoire, de Gambie, du Sénégal, du Maroc, du Mali, de Somalie et d'Erythrée.

En février, l'Italie a passé un accord financier avec le gouvernement reconnu par l'ONU à Tripoli pour retenir les migrants en Libye et lutter contre les trafiquants d'êtres humains. L'accord a été approuvé par l'Union européenne et l'Allemagne.

Toutefois, le 2 mai, le ministre allemand des Affaires étrangères, Sigmar Gabriel, a pris du recul et déclaré que l'accord italo-libyen ignorait les « conditions de séjour catastrophiques » en Libye et ne freinerait pas le mouvement migratoire. Il a ajouté que l'Allemagne était maintenant partisane de lutter contre les flux migratoires en luttant contre l'instabilité en Afrique :

« Nous essayons d'aider à stabiliser les pays sur le continent, mais cela est difficile. Nous devrons faire preuve de persistance, d'endurance et de patience. Dans l'intérêt des Africains, comme dans celui des Européens ».

La solution à long terme de Gabriel - dans le meilleur des cas, elle mettra plusieurs dizaines d'années à porter ses fruits - implique que les migrations de masse d'Afrique vers l'Europe continueront sans relâche au cours des années à venir.

L'Italie a pris le relais de la Grèce comme principal point d'entrée des migrants en Europe. Et cela, en raison de l'accord de réduction des flux migratoires signé entre l'Union européenne et la Turquie en mars 2016. Mais au cours des dernières semaines, les autorités turques ont menacé de mettre fin à l'accord affirmant que, selon eux, l'UE n'avait pas respecté sa parole.

L'accord prévoyait que l'UE s'engageait à payer 3 milliards d'euros à la Turquie, mais aussi à exempter de visa 78 millions de Turcs et à relancer les négociations d'adhésion de la Turquie à l'Union européenne. En échange, la Turquie acceptait de reprendre tous les migrants et réfugiés qui étaient arrivés en Grèce par la Turquie.

Dès que l'accord a été conclu, le flux des migrants arrivant en Grèce a commencé de se tarir, sans être stoppé définitivement. Selon les données fournies par l'Union européenne le 12 avril 2017, 30 565 migrants ont atteint la Grèce depuis l'entrée en vigueur de l'accord de migration. Seuls, 944 d'entre eux sont repartis en Turquie. Malgré cela, ces chiffres contrastent nettement avec les centaines de milliers de migrants arrivés en Grèce au plus fort de la crise migratoire. La coopération de la Turquie est essentielle à la fermeture des vannes migratoires.

Le 22 avril, le ministre turc des Affaires européennes, Ömer Çelik, a lancé un ultimatum à l'Union européenne : si les Européens n'accorient pas d'exemption de visa aux citoyens turcs d'ici la fin du mois de mai, l'accord signé avec l'UE serait suspendu et la Turquie inonderait à nouveau l'Europe de migrants.

Le 17 mars, le ministre de l'Intérieur de la Turquie, Süleyman Soylu, a averti que son pays « sidèrera » l'Europe en renonçant à l'accord et en envoyant 15 000 réfugiés syriens par mois en Europe :

« Nous avons un accord de réadmission. Je vous le dis Europe, avez-vous ce courage ? Si vous le souhaitez, nous vous enverrons les 15 000 réfugiés que nous retenons chaque mois et cela vous sidèrera. Vous devez comprendre qu'aucune stratégie n'est possible dans la région sans la participation de la Turquie ».

En février 2016, le président turc Recep Tayyip Erdoğan avait déjà menacé d'ouvrir les vannes qui retiennent aujourd'hui plusieurs millions de migrants. « Nous pouvons laisser passer les migrants en direction de la Grèce et de la Bulgarie à tout moment et nous pouvons mettre les réfugiés dans des autocars », a-t-il déclaré au président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker. Dans un discours, il a également marqué son impatience :

« Il n'y a pas marqué « idiot » sur notre front. Nous serons patients, mais nous agirons comme il convient. Ne croyez pas que les avions et les bus ont été fabriqués pour rien. »

 

Les responsables européens expliquent à la Turquie que l'exemption de visa passe par le respect de 72 conditions, y compris la plus importante : un allègement des lois antiterroristes, que le régime Erdogan utilise pour faire taire les opposants politiques, notamment depuis le coup d'Etat raté de juillet 2016. La Turquie a refusé de se conformer aux exigences de l'UE.

Les opposants à l'exemption de visa craignent que des millions de ressortissants turcs ne finissent par migrer vers l'Europe. Le magazine d'information autrichien, Wochenblick , a récemment rapporté que 11 millions de Turcs vivent dans la pauvreté et « nombre d'entre eux rêvent de s'installer en Europe centrale. »

D'autres analystes estiment que l'exemption de visa offre à Erdoğan la possibilité d'exporter son « problème kurde » en Allemagne. Selon le ministre bavarois des Finances, Markus Söder, des millions de Kurdes n'attendent que l'exemption de visa pour échapper aux persécutions du régime d'Erdoğan : « Nous risquons d'importer un conflit interne turc », a-t-il averti . « En fin de compte, moins de migrants arriveront par bateau, mais d'autres arriveront en avion ».

L'Union européenne est ainsi prise dans une situation sans issue. D'une manière ou d'une autre, la Turquie parait déterminée à inonder l'Europe de migrants : soit avec l'autorisation de l'Europe au moyen d'un système d'exemption de visa, soit sans son autorisation, si elle refuse l'exemption de visa.

Les responsables grecs ont récemment révélé qu'ils avaient élaboré des plans d'urgence pour faire face à une nouvelle crise migratoire. La Turquie accueille quelque trois millions de migrants en provenance de Syrie et d'Irak, dont beaucoup attendent probablement l'opportunité de fuir vers l'Europe.

L'Italie se prépare également au pire. Près d'un million de personnes, principalement originaires du Bangladesh, de l'Égypte, du Mali, du Niger, du Nigéria, du Soudan et de la Syrie sont en Libye en attente d'un moyen de traverser la Méditerranée, indique l'OIM.

Le directeur du bureau des Nations Unies à Genève, Michael Møller, a déclaré que l'Europe devait se préparer à l'arrivée de millions d'autres migrants en provenance d'Afrique, d'Asie et du Moyen-Orient. Dans une interview au journal The Times, Møller, un Danois a déclaré :

« Nous avons assisté à l'une des plus grandes migrations humaines de l'histoire. Et elle risque de s'accélérer. Les jeunes ont tous des téléphones portables, ils peuvent voir ce qui se passe dans d'autres parties du monde, et cela agit comme un aimant ».

Le ministre allemand du Développement Gerd Müller a fait écho à l'avertissement de Møller :

« Des mouvements migratoires plus vastes sont à venir : la population africaine doublera dans les prochaines décennies. Un pays comme l'Egypte passera à 100 millions d'habitants, et le Nigeria à 400 millions. À notre époque numérique avec Internet et les téléphones mobiles, tout le monde est informé de notre prospérité et de notre mode de vie. »

Müller a ajouté que 10% seulement des migrants qui ont pris la route sont arrivés en Europe : « Huit à dix autres millions sont en chemin ».

Soeren Kern est senior fellow de l'Institut Gatestone, basé à New York.

Source

Nos remerciements à Victoria Valentini

10 commentaires

  1. Posté par RealrecognizeReal le

    @vengeur
    À part dire aux gens qu’ils ne font que de taper sur leur clavier, que faites-vous? vous faites exactement la même chose au cas où.

  2. Posté par Carole le

    C’est donc devenu une catastrophe mondiale, donc nous avons donné dans ce dossier, plus que de raison. Donc, à partir de maintenant, il faut les diriger, quitte à les emmener de force dans tous les paYs frères, musulmans de surcroît, c’est à eux dorénavant de les prendre en charge, en plus, ils sont dans une situation économique exceptionnelle par rapport à l’Europe. Direction le Golfe et tous les pays avoisinants…

  3. Posté par conrad hausmann le

    Des millions d’Africains ? On ne pourra plus augmenter à l’infini la densification de la population, la guerre civile partira au -dela d’un certain seuil…Notons que Genève vient de voter pour des milliers de logements à Bernex, il y aura donc bien quelques apparts pour des “migrants économiques africains”. Ils sont en général GTD ! (Gros Travailleur Diplömé)

  4. Posté par sophie edouard le

    @dominique schwander : tout à fait d’accord mais c’est la théorie, la pratique est toute autre. On le voit, on agite Hitler et les chambres à gaz et toute la population vote dans le sens contraire de sa survie. 60 ans de propagande ont laminé les citoyens de pouvoir faire la différence entre défendre son mode de vie et son économie pour les générations futures contre la colonisation qui est en train de se produire et l’antisémitisme. Ce lavage de cerveau empêche tous les peuples européens de réagir et lorsque la misère et l’insécurité seront tellement importantes et qu’enfin ils réagiront, ils n’auront que le choix d’élire un extrémiste comme Hitler par désespoir. L’histoire nous est contée pour ne pas se répéter et c’est le contraire qui est en train de se dérouler. Et je dis si… car l’autre extrémité serait la disparition pure et simple de l’Europe. C’est le moment pour les peuples d’europe de réagir avant que seules ces deux solutions ne subsistent, mais plus les choses vont de l’avant moins j’ai d’espoir…..

  5. Posté par Vengeur le

    Bla..bla..bla..bla que faites vous pour contrer cela…rien..à part vous énervez sur votre clavier, ce qui n’exige rien d’autre que être assis, quelques doigts,et…..rien, strictement rien. C’est la fin qui arrive en face de vous et vous ne le voyez pas et surtout vous ne réagissez pas…tant pis pour vous, moi je serai depuis longtemps plus sur cette terre.

  6. Posté par colt seavers le

    D après les musulmans l Islam est si séduisant ….Mais pourquoi quittent t ils ce paradis et viennent ils chez nous si l islam est si bien …encore quelques années de plus de reproduction à 5 enfants par femme musulmane et d émigration massive et l Europe et sa civilisation millénaire sera perdue pour toujours , il n y aura plus que les usa pour représenter notre civilisation occidentale Romaine mais les usa sont aussi gangrénés…

  7. Posté par Dominique Schwander le

    Les citoyens de l’Europe savent d’instinct, que la minorité visible des musulmans va devenir majorité et, qu’alors, il n’existera plus aucun moyen d’inverser cette tendance. Ce sera foutu. Il y a feu à la maison. L’Europe telle que nous l’avons connue sera perdue à jamais. L’Europe sera un dépotoir. Avec l’aide de l’UE et des USA, deux mille ans de civilisation seront détruits par les mêmes musulmans fanatiques barbus, sectaires, brutaux, stupides, ces bâtards belligérants qui sont en train d’abattre leur propres concitoyens et les mécréants que nous sommes et de faire exploser notre ancien et irremplaçable patrimoine mondial que se soient des bâtiments, des monuments, des livres, des manuscrits, autres historiques et d’importants trésors d’art.

    Actuellement pour les élus et le Souverain, la seule manière d’agir pour obtenir un résultat, pour maîtriser la tension actuelle et pour éviter une guerre généralisée, est d’être d’une fermeté absolue en matière de loyauté nationale. Dans chaque pays d’accueil, les musulmans et des Africains doivent faire passer la loi nationale avant la charia et les hadiths, etc, et ne plus laisser se créer une nation islamique dans la nation d’accueil. Il n’y a qu’une alternative à cette soumission des immigrants musulmans à notre nation: retourner dans leurs pays musulmans mécréanophobes, sexistes et tribalistes. A ce jour, les technocrates et la bureaucratie indolents de l’UE et leur politique de l’autruche en ont été incapables. Il est des plus urgent qu’ils s’appliquent à cette tâche; tâche ardue, vu que, par exemple aux Pays-Bas, plus des deux tiers des musulmans s’y refusent, mais tâche indispensable, urgente et vitale.

    Malheureusement, nos élus n’ont plus une volonté déterminée de vaincre le mal et de défendre notre civilisation contre les attaques intérieures et extérieures. Ils se complaisent dans leur naïveté, leur aveuglement, leur culpabilisation, leur auto-flagellation, une totale irresponsabilité politique, leur lâcheté et leur désir que la dictature silencieuse de l’UE centralise tous les pouvoirs des pays de l’Europe. Il nous faut répertorier et garder en mémoire leurs erreurs de gouvernance, leurs trahisons et les noms de ces irresponsables, de ces islamo-collabos et de ces traîtres à la nation, pour leur rappeler leurs responsabilités et leur trahison et les faire condamner quand l’existence même de notre nation sera menacée. L’heure est grave. Philippe de Villiers, interrogé par Ruth El Krief, a entièrement raison d’accuser les dirigeants français, en place depuis quarante ans, d’avoir sur les mains le sang des victimes de Charlie Hebdo et du Bataclan. Et la traîtrise continue en France, en Belgique, en Allemagne, aux USA, en Suisse et ailleurs.

  8. Posté par sophie edouard le

    Pourquoi s’exciter ? notre gouvernement nous affirme à chaque statistique qu’il y a de moins en moins d’étrangers, au fur et à mesure c’est toujours moins que l’année ou les mois d’avant, on devrait d’après leurs statistiques être en négatif, par contre lorsque l’on sort dans les rues on constate que semaine après semaine il n’est presque plus possible de croiser un autochtone, plus personne ne parle notre langue, à part des africains, des musulmans et des erythréens on ne sait pas bien si il reste un autochtone ou s’ils ont tous fui. Nous avons voté pour limiter cette immigration, cette votation a été piétinée par nos autorités, on a voulu aller manifester, impossible car l’extrême gauche et la racaille de Suisse ont dit qu’ils allaient tout casser… Même notre banque nationale est devenue une succursale de la BCE avec 700 milliards de devises étrangères donc de dettes, elle fait 24 milliards de bénéfice à répartir à 2/3 au cantons et verse 1,7 milliards au lieu de 14 milliards avec la bénédiction de notre conseil fédéral alors que c’est nos avoirs vieillesses et notre épargne qui la garanti…. franchement il nous reste quoi, la Suisse est devenue comme l’UE une dictature ou le peuple n’a plus qu’à fermer sa gueule et payer. Et bien que cette vague migratoire déferle sur la Suisse, que cela soit un bordel complet, que cela touche chaque autochtone… et peut-être alors les suisses arrêteront de rester impassible devant cette destruction et arrêteront de voter pour les socialistes!! Peut-être qu’enfin l’UDC se payera une paire de couilles qui lui fait actuellement cruellement défaut en annulant toutes les manifestations!!

  9. Posté par Jean B le

    @ Bussy :
    Vous avez raison à 1000%.
    Sauf que ça fait deux ans que ça dure : Alors si les peuples européens n’ont toujours pas compris !…

    Il y a deux ans, quand on commençait à évoquer ceux qui manipulent les dirigeants européens, on se faisait traiter de complotistes. Parce que les médias avaient lancé le terme de complotistes mais pas celui de comploteurs.

    Aujourd’hui, complotistes ou pas complotistes, la réalité est ce qu’elle est : glauque, incompréhensible, démentielle.

    Comme tous les films “post-apocalyptiques” servis à tours de bras par Hollywood… pour nous conditionner et nous faire accepter cette situation démentielle comme si c’était une situation normale.

    Les peuples européens bossent toute la journée, EUX…………….

    Ils n’ont ni le temps ni l’énergie de voir venir ce qui se prépare…

    Et de toute façon, ça aurait l’air tellement gros qu’ils n’y croiraient même pas.

    Les peuples européens bossent et font entrer le blé nécessaire pour alimenter ce système.

    Pendant ce temps, les dirigeants européens ont les mains libres pour piloter et manoeuvrer comme bon leur semble.

    Et les nouveaux arrivants continuent… d’arriver…

    On va dans le mur.
    Point barre.

  10. Posté par Bussy le

    La méthode australienne réglerait tellement facilement le problème, l’Europe n’ayant aucune raison de se laisser envahir par des tribus qui pondent des gosses comme des lapins sans se préoccuper de pouvoir les nourrir …. mais on sent bien qu’il y a une volonté des dirigeants européens et de ceux qui les manipulent de noyer les peuples européens sous des millions de migrants, plan Kalergi peut-être, donc on verra ce qui va se passer, les peuples européens ne vont pas tarder à comprendre qu’ils ne peuvent pas compter sur leurs politiciens et pseudos élites pour les défendre….
    D’ailleurs, plus il en arrive, plus vite ça va péter et mieux c’est !

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