9 commentaires

  1. Posté par Nicolas le

    Un seul mot d’ordre pour tous les européens de souche. NE PAS SE LAISSER DESARMER par les traîtres.

  2. Posté par L i m . , le

    Léo, plusieurs millions, rien qu’en Belgique, l’ex-ministre de l’intérieur avait déclaré qu’il y avait entre 800’000 et 1 millions de kalashnikovs, suite à sa déclaration, il a été limogé !!

  3. Posté par Léo C le

    On estime qu’il y a plusieurs centaines de milliers de Kalachnikov dans nos banlieues pourries à l’échelle nationale.
    A la moindre manifestation, malgré un état d’urgence d’opérette, la moindre contestation populaire, on voit ces hordes de dégénérés déferler afin de vandaliser et agresser.

    Il arrivera un jour prochain qui sera le catalyseur pour ces sauvages. Que ferons-nous avec nos bougies et nos bouquets devant un arsenal de guerre qui ne voudra que nous anéantir ?

    Un peu que nous sommes déjà en guerre civile; elle est juste larvée pour le moment.

  4. Posté par M-C Foreign Office le

    Belgique : un juge bruxellois libère un terroriste ayant reconnu avoir décapité un homme

    La Belgique a beau avoir été frappée par le terrorisme récemment, il semble qu’un certain laxisme à l’égard des terroristes perdure.

    La semaine dernière, un juge bruxellois a ainsi refusé de priver un homme de liberté alors qu’il venait d’être condamné pour participation à un groupe terroriste et qu’il a reconnu avoir décapité un homme en Syrie. Le coupable circule donc librement dans Bruxelles.

    En Suisse, nous sommes “en marche” vers l’Europe et voici les nouvelles consignes

  5. Posté par L i m . , le

    Selon le Canard-enchainé paru aujourd’hui :
    » A Washington , les comptables du Pentagone évaluent à 800 milliards de dollars les dépenses engagées par les EU pour seize années de guerre en Afghanistan . »

  6. Posté par Jean B le

    Qu’est-ce que qu’une « guerre civile » ?

    https://www.google.ch/#q=guerre+civile+d%C3%A9finition&spf=1

    J’ai le sentiment (et cela n’engage que moi) qu’en France, la guerre civile a, d’une certaine façon, commencé au début de l’année 2015.

    Tous les éléments se sont mis en place, l’un après l’autre, pour arriver aux clivages actuels.

    Pour arriver au divorce irrévocable entre l’Etat et la Nation.

    Pour arriver à la fracture ouverte d’une société à la dérive depuis exactement 49 ans ce mois-ci et qui, pour avoir voulu s’émanciper tous azimuts et à tout-va, a en fait « jeté l’enfant avec l’eau du bain ».

    Car il ne suffit pas de vouloir faire la révolution en se débarrassant d’un modèle obsolète pour créer de fait un nouveau monde et de nouvelles valeurs – valeurs dont l’être humain a et aura toujours besoin –, la liberté ne pouvant à elle seule compenser l’absence de racines, de cadre et de direction. Oui, la nature a horreur du vide…

    Sans compter que cette révolte adolescente a été récupérée par le néolibéralisme et, pour être plus précis, par une mondialisation néolibérale sauvage qui fait le jeu du gratin du mondialisme et de ses « think tanks » qui doivent actuellement se taper les cuisses et se gondoler en coulisses.

    Sans compter que l’ivresse de la liberté fait disparaître les réflexes de survie – l’individu baissant la garde –, et il suffit ensuite de quelques décennies d’opulence pour achever le tableau en nous asservissant, nous décérébrant et nous lobotomisant.

    Quand j’écris ces lignes, je ne critique pas, je ne juge pas : Je fais moi-même partie de cette génération qui s’est laissée porter par la nouvelle vague, par la facilité, et qui a confondu bonheur avec bien-être, et cru que le bonheur était notre raison d’être. C’est si facile de nous acheter…

    J’ai été un veau pendant 50 ans de ma vie. Je me réveille et découvre avec effroi que tout ce que je croyais avoir appris est inconsistant, volatile, erroné.

    Concernant la propagande des masses, Goebbels disait qu’elle fonctionne mieux quand ceux qu’elle manipule pensent agir de leur propre volonté, pour leur liberté et selon leurs propres choix.

    Nous avons été libres. Avons pensé l’être. Et avons depuis longtemps donné notre consentement et notre blanc-seing.

    Il ne nous reste aujourd’hui que le sentiment d’avoir été berné, trompé, voire trahi.

    Il suffit de rajouter à cela des perspectives incertaines, voire inexistantes, des difficultés matérielles et des clivages culturels, et la formule est soudain prête pour l’explosion.

    Il reste une question. A laquelle chacun trouvera sa réponse.

    « A qui profite le crime ? »

  7. Posté par Vautrin le

    Oui, nous sommes en guerre civile; l’ennui est que 2/3 des Français ne s’en aperçoivent pas et continuent à bêler les “droits-de-l’homme” sans comprendre que ce sida intellectuel les condamne à un affrontement sanglant. Dissipée l’illusion Macronique, ils seront bientôt confrontés à cette terrible réalité de l’ennemi dans nos murs. Que feront-ils ? La veulerie en fera-t-elle des dhimmis, des soumis, ou la colère leur fera-t-elle enfin prendre les armes ? À l’heure qu’il est, il est impossible de le deviner.

  8. Posté par Marin Breton le

    On peut comprendre les bavures policières. Si New York est devenue sûre, c’est parce que les autorités ont agi très fort. Il est grand temps de procéder de la même manière chez nous. Tolérance zéro !

  9. Posté par L i m . , le

    En Suisse, (pas encore partout, mais ça vient) c’est le même scénario !

    La justice coure après les Suisses solvable, engage des poursuites kafkaïennes, pendant que des milliers d’arabes ne sont jamais inquiétés, voir financés par l’hospice général !!

    Allez voir à champ-d’Ollon, 80% de musulmans et pour des infractions très graves, les graves tout court, eux ressortent des postes de polices quelques heures plus-tard !!

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