Motus et bouche cousue. Depuis vendredi minuit, la fin de la campagne officielle marque le début de la période de réserve. Elle induit l'interdiction de toute forme de propagande politique et dure jusqu'à dimanche 20h. Selon le Conseil constitutionnel, elle vise à "garantir la sincérité du scrutin et d’éviter toute forme de pressions intempestives sur les électeurs". Cette trêve, inscrite dans le code électoral, s'applique aux candidats et à leurs équipes, aux médias, mais aussi à n'importe quel citoyen, notamment sur les réseaux sociaux, si ces propos sont publics.
Et comme vous le constatez, c'est bien pendant la période interdite que ce journal d'extrême gauche applique sa propagande:
Les communistes ne sont pas en reste:
Quand les médias prennent conscience qu’ils sont les moteurs d’une dictature, ils s’arrogent toutes les libertés et piétinent le droit. Ces sont là de vrais socialo-islamo-fascistes les singes de Hitler et de Gobbels à la fois. .
Le coup d’état permanent, c’est maintenant, comme dirait l’autre .
La Loi ne s’applique pas aux socialistes, — ni à leurs clientèles ( nombreuses).
Vous parlez de ” Libération”, le journal qui ne se vend plus, mais qui SE DONNE, (je l’ai vu faire, en pleines années Hollande, devant les cinémas du Quartier Latin): racheté par P. Drahi, le milliardaire aux quatre nationalités ( qui dit mieux ?), et farouche soutien de Hollande/Macron, il est donc NORMAL qu’il viole la loi.
Que dire de l’Huma. ?, qui aurait dû disparaître depuis longtemps, et , subclaquant, ne vit que
sous perf. avec nos impôts.
Lors de la mort du dictateur coréen, il y a qqs années, ce moribond ne tarissait pas d’éloges sur le défunt. Il n’est pas plus critique à l’égard du fils.
Visiblement, il s’accomode fort bien des dynasties de dictateurs: après le mol autocrate, il
soutient, au-delà de la date permise, le fils spirituel.