Une bagarre entre migrants a éclaté ce lundi soir, dans la zone industrielle des Dunes. À 0 h 30, au moins six fourgons de CRS, ainsi que de nombreux fonctionnaires de la sécurité publique, étaient encore sur place. Les pompiers de Marck avaient pris en charge onze blessés. La tension était encore palpable dans le secteur.
À 23 h 30, la zone industrielle des Dunes, située entre le port et le centre-ville, paraît complètement déserte. Pourtant, au bout de la rue des Verrotières, dans un petit bois où s’abritent, depuis plusieurs mois, des dizaines de migrants, une bagarre a éclaté. Depuis la rue, on entend des cris qui fusent de toutes parts. La zone est plongée dans l’obscurité. Seuls trois bénévoles de l’association Utopia 56 sont sur place, ainsi qu’un véhicule du commissariat de Calais, qui leur demande de partir, pour leur sécurité. Alors que les cris se rapprochent de plus en plus de la rue, les trois bénévoles, qui sont à pied, pressent le pas pour s’éloigner. Les phares de la voiture de police laissent entrevoir, près du bois, des dizaines de réfugiés armés de bâtons, et qui se battent, et hurlent.
La police demande du renfort en urgence. Des fourgons de CRS arrivent quelques minutes plus tard.
Les forces de l’ordre font usage de gaz lacrymogène à plusieurs reprises. D’après un CRS, les migrants leur lancent des projectiles en retour. Des pierres sur la chaussée en témoignent. Près des véhicules de police, une dizaine d’exilés se sont regroupés. L’un d’eux est allongé au sol et ne bouge pas. Un autre est recroquevillé. Tous sont silencieux.
Vers minuit, les pompiers de Marck arrivent à leur tour. Puis trois camionnettes de la police aux frontières.
Le bois est désormais plongé dans le silence. D’après un CRS présent sur les lieux, ce n’est pas la première bagarre de la soirée : « On est déjà intervenus trois ou quatre fois. Mais dès qu’on s’en va, ils recommencent à se battre. » Au total, au moins onze migrants ont été pris en charge par les pompiers de Marck, pour des blessures légères, d’après un officier présent sur place : « Des blessures à la tête notamment, causées par des coups de bâtons, des jets de pierre ou des coups de barres de fer. » D’autres migrants, « qui se disent tous mineurs », devaient être conduits au centre pour mineurs de Saint-Omer.
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Nos remerciements à
Des sauvages que les bonne âmes vont chercher à tout prix à placer aux 4 coins du pays. Il ne leur viendrait même pas à l’idée que ces gens-là ont la violence dans le sang et qu’ils ne se transformeront pas en agneaux sitôt déplacés. En les soutenant aveuglément, les bienpensants se font complices actifs de ceux qui agresseront voire tueront des innocents tôt ou tard.
Pourquoi on ne les laisse pas se tuer? Pas d’intervention, on les laisse vivre leur vie…leurs envies, leurs délires…
Et on se demande pourquoi l’Angleterre n’en veut pas!
Tant qu’ils assurent les tâches que notre police n’a plus même le droit de mener à bien sans être placée en garde à vue, ça me va. Qu’ils s’écorchent et nous épargnent leur promiscuité.
«On est déjà intervenus trois ou quatre fois. Mais dès qu’on s’en va, ils recommencent à se battre.»
N’intervenez plus alors. Et s”il y en a qui reste sur le carreau, c’est franchement tout bénéfice…
Mais pourquoi intervenir, laissez-les donc se battre entre eux, ils adorent ça, c’est leur seul moyen d’expression.