La plupart des résidents du canton ont un lien avec un autre pays. Soit ils sont étrangers, soit ils ont été naturalisés.
Genève est le canton qui compte le plus d’étrangers. Ils représentent 42% de la population. Les autres sont des Suisses, qui sont soit des Helvètes «pur sucre», soit des naturalisés. En distinguant le lieu de naissance de ces personnes, on arrive à une image contrastée des résidents du canton. Celle-ci est fournie par les derniers chiffres de l’Office cantonal de la statistique (Ocstat), publiés la semaine dernière. Le tour en huit points.
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VOILA CE QU’ENGENDRE UNE IMMIGRATION QUI PEUT DEPASSER LE RAISONNABLE. Après, vient le temps où l’on se demande si l’on est “assez suisse ou français ou belge ou québécois etc….
C’est quand un déséquilibre se produit que vient ce réflexe là, autant chez “celui d’origine que celui d’adoption”. C’est humain et inquiétant à la fois Ca veut dire que le sentiment d’insécurité identitaire se glisse autant chez l’un que chez l’autre..
Si nos politiques arrêtaient leur programme de folie, nous n’en serions pas là et l’intégration suivrait doucement son cours.
L’importantest d’être de bons patriote ! Déçue par tous les partis, lors des élections du canton Vaud le 30 avril je vote mon candidat du PNS Parti Nationaliste Suisse! Si vous êtes sur Vaud soutenez le seul parti patriote !
@Maurice:
Ma question était en quelque sorte une plaisanterie… Je me suis à tout moment senti totalement “Suisse” – les Suisses de l’étranger comptent parmi eux les plus fervents patriotes…
Les membres de la communauté occidentale – les “Levantins” – en Turquie vivaient essentiellement à l’écart de la population locale musulmane. La cause majeure et peu dite de ce clivage était l’Islam, et en moindre mesure la langue turque que la plupart des résidents maitrisaient, ainsi que la situation économique. Ils étaient nommés populairement des “giaours” – ou mécréants.
L’Islam n’est pas uniquement une religion mais intègre aussi un code civil qui impose explicitement une manière de vivre et de se comporter. Sa pratique peut être momentanément adoptée de manière “modérée” – comme c’est le cas pour une majorité de ses immigrés chez nous – et qui sont encore en nombre restreint relativement à l’ensemble de la population.
Mais l’Islam comporte en ses fondements le rejet de toute autre croyance. C’est une “religion de paix” – mais à condition d’y adhérer… Et – malheureusement aussi – d’y adhérer de la bonne manière, comme nous le voyons dans les conflits du proche orient…
C’est pourquoi une immigration importante de cette culture menacera à plus ou moins long terme notre mode de vie.
À moins que l’Islam adopte un jour une forme de “nouveau testament”….
Non, Noël Cramer. Vous avez été tout simplement un Suisse de l’étranger tout comme moi qui suit issu d’une mère irano-suisse de par son père et d’un père helvético-français de par son père et je suis né en Afrique. De par la loi du sang, je suis Suisse. Mon éducation est suisse et ma culture française car j’ai fait mes écoles dans un pays était en vigueur le programme scolaire français avec des exceptions en histoire/géographie et en français.
Finalement, ce qui compte est l’amour de notre pays, de notre patrie. J’ai peut-être aimé la vie que j’ai eu dans le pays où je suis né, mais je ne m’en suis jamais senti membre à part entière. J’ai également eu une certaine fascination pour l’Iran, mais sa culture n’est pas la mienne. Malgré une culture française, mon amour va à la Suisse et je n’ai pas de double nationalité.
“…Les autres travaillent dur pour eux ?…”
C’est pour cela que l’autochtone, s’il est pauvre, ne dois pas hésiter à quémander toutes les aides étatiques possibles et imaginables et que, s’il est riche, ne doit pas plus hésiter à être “créatif” quant à sa déclaration d’impôt…
Ce système doit être foutu en l’air, il n’est plus ni amendable ni réparable.
Laurent Deshusses, qu’on ne peut soupçonner de “nauséabonditude”, disait que “bientôt, pour voir un vrai Genevois, il faudra aller au Musée d’histoire naturelle”.
@ Noël Cramer. Comment pouvez-vous vous demander si vous êtes un immigré ou non en Suisse, puisque vous êtes Suisse d’origine ? C’est votre arrière grand-père de Zurich qui était un immigré dans l’Empire ottoman. Si ses descendants reviennent au pays, on imagine aussi qu’ils en ont conservé certaines caractéristiques ; qu’ils ne se sont donc pas turquisés à 100 % avant de retourner en Suisse.
Il y a ceux qui travaillent, mais si on observe nos rues pendant les heures de travail, il y a de plus en plus de gens visiblement étrangers qui se baladent, femmes enceinte, plusieurs enfants autour et le mari qui déambule tout sourire….. en vacances ? Si non, de quoi vivent ces gens ? Les autres travaillent dur pour eux ? Va-t-on les garder éternellement ?
On parle beaucoup de “lieu de naissance” dans l’article mentionné.
Mon arrière grand père de Zurich a migré avec sa famille à Smyrne en Turquie vers 1840. Ses 5 enfants se sont alliés parmi les familles occidentales à Smyrne. Mon grand père paternel (qui m’a donné mon nom) a épousé une anglaise de Smyrne. Mon père (né à Smyrne) a épousé une française (née aussi à Smyrne) de parents français et anglais. Je suis né en Turquie, en conservant ma nationalité suisse.
Vivant actuellement à Genève – suis-je un “immigré” ?
Et voilà comment fiche en l’air un pays, Schwartzenbach avait raison, merci Mesdames !
Du Dieu du Dieu, tout fou le camp au bout du lac !