Le Haut-Conseil électoral (YSK) en Turquie a confirmé dimanche la victoire du «oui» au référendum sur le renforcement des pouvoirs du président Recep Tayyip Erdogan. Les deux principaux partis d'opposition contestent le résultat du scrutin et ont annoncé qu'ils déposeraient un recours.
Le résultat de cette consultation populaire pourrait être déterminant pour l'avenir du pays. Il influera sur l'avenir des relations avec l'Union européenne, l'approche de la «question kurde» et l'évolution des dynamiques sociales.
Voici cinq questions pour comprendre ce que pourrait changer ce vote:
Plus ou moins démocratique ?
Avec cette victoire, Recep Tayyip Erdogan détiendra un pouvoir considérablement renforcé et pourra en théorie rester au pouvoir jusqu'en 2029. L'exécutif sera concentré dans les mains du président, et le poste de Premier ministre disparaîtra.
Ses partisans soutiennent qu'une telle mesure est nécessaire pour stabiliser l'exécutif et établir des barrières claires avec le judiciaire et le législatif. Mais ses opposants affirment qu'il n'existerait plus de contre-pouvoir dans ce nouveau système, ouvrant la voie à un régime autocratique.
pour être juste, en rapport avec la censure sur 20 Minutes, je dois préciser ceci: ma première version suggérant Erdogan capable de frauder pour arracher la victoire a été censurée, celle où seulement des naïfs pourraient le croire capable d’accepter la défaite a été acceptée. Ceci dit, en matière de commentaires politiquement incorrects, il reste vrai que leurs censeurs ont la sensibilité à fleur de peau.
Cela ne changera rien pour nous et aura l’avantage de sortir l’adhésion de la Turquie du placard pour la mettre à la poubelle.
qui pourrait être assez naïf pour croire une seule seconde qu’un personnage tel qu’Erdogan aurait accepté une défaite sur un sujet aussi important pour son avenir politique. Mais oser écrire cela sur 20 Minutes in ligne vous attire les foudres de leurs censeurs.
Il est troublant de constater que cette victoire est le fait des Turcs de l’étranger, sauf aux Etat-Unis. Ce dernier cas s’explique parce qu’ils ont peur de se faire foutre dehors. Mais en Europe, c’est le contraire, les turcs veulent nous coloniser avec l’aide du chantage aux hordes sauvages de migrants sous-développés et avec le soutien des pétochards et combinards de Bruxelles.
Ils veulent donc rester et profiter du social et des infrastructures à la construction desquelles ils n’ont pas participé et nous imposer l’islam et ses pratiques criminelles. Ce qui remet aussi en cause dans tous les pays le vote des nationaux à l’étranger. Comment ces nationaux peuvent-ils percevoir la réalité quotidienne d’un pays alors qu’ils n’y vivent pas, n’y sont pas né et parfois depuis plusieurs générations, pour lui imposer une forme de dictature.
Le dictateur Erdogan vient d’accroître ses pouvoirs, afin de recréer l’empire ottoman et d’imposer l’islam aux terres anciennement occupées (Balkans) , dar al-‘ahd, et de le propager dans le reste de l’Europe, dar al-harb (domaine de la guerre).
On a vraiment du souci à se faire, d’autant plus qu’il pratique un chantage aux réfugiés sur Merkel, qui a eu la sottise d’y céder.
Un bon exemple de la stratégie qui consiste à utiliser la démocratie pour abolir la démocratie…
La Turquie (et nous aussi…) va vivre une “époque intéressante” dans le futur proche.
C’était déjà ca depuis quelques années, non? Ce référendum ne fait qu’enteriner un état de fait. Que vont en dire les États Unis et les représentants de l’OTAN? On ne peut pas faire confiance à Erdogan.
Mr ERDOGAN a déjà prouvé qu’il était un “faux démocrate” et la démultiplication de ses pouvoirs par ce référendum, va le faire évoluer vers la dictature affichée. Sa victoire repose aussi et surtout sur le vote des expatriés et des gens des campagnes. Cela veut dire qu’une fraction importante des grandes n’est pas en accord avec ce résultat. Comment vont-ils pouvoir lutter contre cet abus de pouvoir?