Cenator : C’est ainsi que Cathy Macherel titrait son article paru le 4 avril 2017 dans la Tribune de Genève. De toute évidence, elle ne connaît rien au stalinisme, mais est experte en manipulation des esprits.
Elle publie une fois de plus un article qui désinforme, un article haineux concernant un dirigeant démocratiquement élu par son peuple, un article irrespectueux envers toute une nation.
Les paroles de personnes comme Paul Gradvohl, sous-produits des études marxistes-européistes, sont régulièrement reprises abondamment par la presse et le service public, sans le moindre esprit critique, sans nuance permettant au public de se faire une opinion.
Grâce aux réseaux sociaux, nous savons que Soros œuvre, depuis des années, à la destruction des Etats nationaux européens… et en particulier de sa Hongrie natale.
À coups de millions, il organise l’invasion de l’Europe par des « migrants », finance des mouvements d’opposition, des manifestations, comme ici le défilé de 10'000 manifestants et, bien sûr, ce Soros trouve grâce aux yeux de tous nos journaleux de gauche.
Non seulement Orbán ne s’est pas laissé acheter par Soros, mais il a eu l’audace de préserver son pays de cette invasion.
Oui, les Hongrois refusent la société dite ouverte que des esprits pervers cherchent à lui imposer.
Non, la société libérale n’est pas antinomique avec le patriotisme, quoi qu’en dise Cathy Macherel, une journaliste de plus, une journaliste de trop, imbibée de son idéologie de gauche.
Dans son aveuglement, elle traite Orbán de stalinien, sans s’apercevoir que ce qualificatif lui convient à merveille à elle !
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Viktor Orbán cherche à réinstaurer une société stalinienne en Hongrie
Par Cathy Macherel
Le chef du gouvernement hongrois est à la manœuvre pour étouffer un peu plus la société civile et faire le vide autour de lui. Décryptage.
L’Université d’Europe centrale, sise à Budapest et créée par George Soros en 1991, devra-t-elle fermer ses portes? Elle est en tout cas devenue la nouvelle cible du chef du gouverne-ment hongrois, Viktor Orbán, et de son parti, le Fidesz. Une nouvelle loi, votée mardi 4 avril, interdit la remise de diplômes des universités n’appartenant pas à un pays de l’UE et introduit la nécessité d’un accord international pour l’autorisation d’un établissement étranger en Hongrie. Autant dire que cela met en péril la subsistance même de l’université du milliardaire américain d’origine hongroise.
L’affaire a fait descendre plus de 10 000 personnes dans les rues, dimanche à Budapest. «Ces manifestants ne sont pas venus simplement dénoncer le projet de loi, mais plus largement la volonté affichée de Viktor Orbán de supprimer la société civile. Car le projet d’Orbán, c’est bien de réinstaurer une société stalinienne et conservatrice en Hongrie», explique l’historien Paul Gradvohl, spécialiste de l’Europe de l’Est contemporaine. «L’Université d’Europe centrale est une des institutions de Soros qui œuvrent en Hongrie pour l’émergence d’une société ouverte, en exacte opposition avec l’idéologie du chef du gouvernement.» Et l’ironie, relève au passage le chercheur, c’est que «ce sont les fonds de George Soros qui ont permis à Viktor Orbán, en 1988, d’aller apprendre l’anglais durant un an à Londres».
Ces derniers mois, bien d’autres organes liés à George Soros ont essuyé les attaques du pouvoir qui cherche à interdire, comme en Russie, l’activité des organisations étrangères sur son sol ou les fonds étrangers finançant des organismes hongrois. L’Open Society Foundations, qui milite pour l’émergence d’une société hongroise libérale, en totale opposition avec le nationalisme d’Orbán, s’est ainsi retrouvée dans le collimateur du gouvernement. Tout comme le Comité Helsinki hongrois, qui n’a eu de cesse de dénoncer la politique antimigratoire d’Orbán depuis 2015.
L’attaque contre l’Université d’Europe centrale s’inscrit donc dans le bâillonnement de tout courant libéral et d’opposition, alors que se profilent les législatives de 2018. Pour faire le vide autour de lui, Viktor Orbán use et abuse de la même tactique: le recours aux boucs émissaires, des migrants aux institutions européennes, «une machine à fabriquer la peur», résume Paul Gradvohl. […]
Source de l’article : Tribune de Genève (repris par Le Soir) et 24 heures
Source de l’image : la une du Magyar Narancs, 10.9.2015
L’article qui l’accuse Viktor Orban, Premier Ministre de la Hongrie, de vouloir réinstaurer une société stalinienne en Hongrie est tout à fait tordu et scandaleux. La vérité est l’opposé, c’est à dire, George Soros donne de support financier à la Gauche, Communistes inclus, pour renverser le gouvernement. Avec ce but, ils répandent des fausses accusations contre Orbàn jusqu’à Bruxelles et Strasbourg. Il agit de tel façon depuis des années, ainsi il est naturel que Orban veut qu’il quitte le pays. D’ailleurs, l’Université de l’Europe Centrale donne des diplômes américains, ce que l’Université de Genève ne ferait pas. Quand l’UEC a aidé Orban d’aller en Angleterre, Soros n’avait pas encore commencé ses activités sournoises et néfastes.
Les migrants seraient des boucs émissaires? On voit combien de crimes, viols inclus, ils commettent en Europe et on voit le terrorisme augmenter. D’ailleurs, la Hongrie sais trop bien ce que signifie vivre sous un gouvernement islamique, après 150 ans d’occupation Turc brutale.
Orban n’est pas nationaliste, il est patriotique .La journaliste s’est laissé complètement trompé au lieu de contrôler les faits.
En plus, il y a enciron 1 semaine il y avait dans la Tribune un tout petit article avec la photo de Frans Timmermans, Vice président de la Commission européenne qui dit, “Formellement, nous n’avons pas (observé) de menace systématique pour l’Etat de droit en Hongrie.” – ‘ à propos des lois controversées adoptées en Hongrie et examinées par l’Exécutif de l’UE’.
Meilleures salutations, Livia Varju, Petit-Lancy
Sa Docte Sainteté (9 avril) cite Béla Kun, qui est un parfait inconnu dans les autres pays de l’Est, contrairement à ce qu’il veut nous fait croire.
Si l’éphémère règne du trotskiste Béla Kun est déterré (qui a fait la guerre des tranchées en 14-18 et qui a fini exécuté au Goulag), c’est uniquement parce qu’il s’agit d’un (((xxx))) (par son père), et pour cette unique raison il est sur la liste rouge. Liste dressée par les membres de ce gang qui veut faire endosser la responsabilité de l’invasion musulmane aux (((xxx))) (un nouveau crime imaginaire, du même niveau que le meurtre rituel des enfants pour prendre leur sang) et les mettre dans le même sac que les véritables destructeurs de notre civilisation.
Parce que leur équation c’est : (((xxx))) = gauchistes => ennemis de notre civilisation à combattre.
Je voudrais bien que les John Simpson, les Saintetés, les Ours, les Taz et Cie soient repris par les modérateurs comme l’a été (avec raison) un anti-catholique: http://lesobservateurs.ch/2017/04/15/interdit-en-france-hani-ramadan-parle-en-toute-legalite-a-geneve-pour-le-plr-pierre-maudet-cela-ne-pose-aucun-probleme/ (16 avril à 13h15).
Vaut mieux une société stalinienne qu’un califat !
Je ne vois rien de stalinien à part cette Cathy Macherel. Les articles de la TdG ont toujours en commun une déférence absolue envers Soros. Jamais la moindre distance critique. Jamais de sources autres que celles des groupes de pression néo-marxistes. La TdG est aussi biaisée que La Pravda de l’époque stalinienne. Ce modèle économique ne tient justement que grâce à des fonds capitalistes exogènes: en l’occurrence des gens comme Soros. Le journal communiste Gazeta Wyborcza (référence de la TdG en Pologne) a fait faillite et Soros a pris 20% des parts pour le garder à flot.
Lénine, Staline, Marx, Mao, Trotsky… n’étaient-ils pas les héros, les idoles des journalistes mainstream et des bobos d’il y a juste quelques décennies ? Si vous voulez savoir quels sont les nouveaux dictateurs, ceux d’aujourd’hui, il suffit de suivre les journalistes et voir vers qui va leur cote d’amour… Obama, par exemple ! Et Trump qu’ils abhorraient, et bien depuis qu’il a commencé à bombarder des gens, ils l’adorent ! D’ailleurs, parlant de Trump, j’ai l’impression qu’on s’est fait avoir, mais alors sans vaseline ! Ou alors il a un plan secret avec Poutine pour venir à bout de l’establishment…
@Cenator : “Paranoïaque”, “antisémite”. On reconnaît là l’argumentation habituelle de haut niveau ! Bela Kun, ça vous dit quelque chose ? Aux hongrois, oui (et dans tous les ex-pays communistes). Et ils n’ont pas envie de se retrouver à nouveau sous la dictature des mêmes malfaisants sataniques (avec ou sans triples parenthèses) ! Orban est un héros !
Monsieur ORBAN OPERE LE BAILLONNEMENT DE TOUT COURANT LIBERAL, qu’est-ce que cela peut dire pour vous chère Madame Mais vous ajoutez une précision supplémentaitre : d’OPPOSITION.
Cela deveint très sain chère Madame en Europe de s’opposer à ces courants “libéraux, disons ULTRA LIBERAUX, oeuvrant à déstructurer le fonctionnement des sociétés, désagréger les cultures.
Pour le moment cela ne vous atteint pas chère Madame, car comme tous les bobos des médias, vous devez vivre dans la tour d’ivoire de votre classe sociale bien pensante.
Nous, nous disons MERCI à Monsieur ORBAN qui en sauvant sa culture, contribue à sauver les nôtres. Et aussi, merci au groupe VISEGRAD.
Essentielles à VOTRE compréhension paranoïaque de ce qui se passe.
@ Cenator
Si l’on vous bassine avec des références historiques c’est qu’elles sont essentielles à la compréhension de ce qui se passe aujourd’hui !
Contrôler l’histoire c’est contrôler le futur ! Georges Orwell…
Un arbre se reconnaît à ses fruits.
@ UnOurs (et autres): Il y a des cons partout, avec ou sans parenthèses. Ce qui est déplorable, c’est que des antisémites s’immiscent parmi les patriotes: ça nous dessert.
@ Le Taz (et autres): Pourriez-vous arrêter de nous bassiner semaine après semaine avec vos équations “historiques” “orientées” ?
“Les paroles de personnes comme Paul Gradvohl, sous-produits des études marxistes-européistes…”
Pourtant, Paul Gradvohl collabore à Atlantico…
http://www.atlantico.fr/fiche/paul-gradvohl-1501286
… site qui est pourtant être de “notre côté”.
Leçon à retenir: ne jamais laisser un (((néocon))) s’immiscer nulle part dans un organe de vraie droite.
Orban cherche surtout à éviter la bolchévisation de son pays par les forces internationalistes. Comparer Orban à Staline est totalement ridicule et démontre la stupidité voire la malhonnêteté de cette pseudo journaliste. Par contre, comparer Merkel à Rosa de Luxembourg et Schultz à Trotski sont des comparaisons historiques sensées… Ceux qui connaissent l’histoire comprendront !
« Et l’ironie, relève au passage le chercheur, c’est que « ce sont les fonds de George Soros qui ont permis à Viktor Orbán, en 1988, d’aller apprendre l’anglais durant un an à Londres. »
Voilà une preuve que Victor Orbàn connaît George Soros de près, et qu’il a de bonnes raisons de chasser de son pays les institutions véreuses (au sens propre du terme, comme un ver dans le fruit) établies par Soros dans son pays. La journaliste de la Tribune de Genève mentionne Soros à plusieurs reprises, ce qui est une bonne chose, car il me semble que les lecteurs commencent à savoir de plus en plus qui est cet immonde personnage.