Les animateurs les plus connus de notre mouvance, Pierre Cassen et Christine Tasin, ont tous deux prononcé le mot « cabinet noir » pour expliquer le harcèlement judiciaire dont ils étaient l’objet, depuis plusieurs années, de la part du pouvoir socialiste.
Notre fondateur avait utilisé l’expression quand il avait décrit à nos lecteurs les attaques dont il était l’objet de la part de Gilles Clavreul, préfet socialiste mis à la tête de la Dilcra par son copain Manuel Valls.
Par le plus grand des hasards, François Fillon, au lendemain d’un procès où les antiracistes ont osé demander 21.000 euros contre Pierre Cassen, et le procureur 6 mois de prison, assorti cette fois de sursis – présenté comme un dernier avertissement, pour inciter notre fondateur à arrêter ses activités – a parlé, lui aussi, de cabinet noir.
Sur le plateau de LCI, curieusement, une des trois auteurs du brûlot « Bienvenue Place Beauvau, Olivia Recasens, joue sur les mots pour nier l’existence d’un cabinet noir à l’Elysée. Le journaliste François d’Orcival, se livrant à une lecture précise de ses écrits, n’a aucun mal à lui prouver que ce cabinet s’est d’abord occupé de Sarkozy, puis de Valls, puis de Fillon.
Dans un autre registre, Valérie Pécresse accuse ce cabinet noir d’avoir organisé des fuites en direction de la presse, et fait ordonner une perquisition chez elle. Le prétexte : son fils a été arrêté avec 4 grammes de cannabis sur lui, ce qui est un délit qu’elle reconnaît.
Mais la suite est plus étrange : 7 heures d’interrogatoire, fuite immédiate organisée en direction de la presse, et perquisition chez elle, bien que le-dit fils n’habite plus chez sa mère. Et Pécresse cite des noms, et explique que Hollande, Valls, Cazeneuve et Bartolone doivent rendre des comptes.
Cela commence tout de même faire beaucoup. Lors de son procès, Pierre Cassen a donné quelques chiffres à la présidente de la 17e Chambre, Fabienne Siredey-Garnier. Pendant les 5 années où il a exercé, en toute clarté, la présidence de Riposte Laïque, il n’y a eu qu’une plainte contre le site RL et contre lui, comme directeur de publication. Il a ajouté qu’il avait trouvé sa lourde condamnation, ainsi que celle de l’apostat de l’islam, Pascal Hilout scandaleuse. Il a établi ensuite une parallèle avec le sort subi par nos amis suisses, depuis qu’ils pilotent Riposte Laïque : 42 plaintes en France, 0 plainte en Suisse ! Et pourtant, la Confédération helvétique est une démocratie, avec des juges, des associations dites antiracistes, des associations musulmanes fort actives. Ainsi, l’avocat de nos amis suisses, Jean-Luc Addor, par ailleurs député UDC, sera-t-il poursuivi, et jugé, par les tribunaux, suite à une plainte de l’ineffable converti Blancho, que Pierre avait affronté à Montreux, en 2013, lors de son débat contre Hani Ramadan.
Pierre Cassen, Christine Tasin et Riposte Laïque ont-ils été victimes d’un cabinet noir, depuis l’arrivée des socialistes au pouvoir ? Tout le laisse penser, à travers les faits que nous allons énumérer.
Cazeneuve arrive place Beauvau en avril 2014. Curieusement, le Parquet demande une enquête sur le fonctionnement de Riposte Laïque, en 2015, quand la présidence du site est assurée par Khadija Ait M’Barek, d’origine marocaine, vivant en Thaïlande. Qu’est-ce qui a motivé cette enquête, alors que Riposte laïque continuait, comme il le faisait depuis 2007 sous la direction de Pierre, et ensuite en 2012 sous celle de nos amis suisses, le même travail d’information de nos compatriotes, et de tous nos lecteurs de pays francophones, sur la réalité de l’islam, et son incompatibilité avec notre civilisation ?
Pierre et Christine auraient-ils été mis sur écoute, à la demande de Cazeneuve, qui n’a jamais rien su refuser aux associations musulmanes, et dont l’entourage nous a fait savoir qu’il vivait très mal les dessins de Ri7, et le surnom de R2D2 que notre site lui avait attribué. Les enquêteurs auraient-ils été convaincus, suite à leurs écoutes (illégales) qu’ils avaient les moyens de coincer Pierre ?
Toujours est-il qu’à partir de ce moment, qui correspond à l’arrivée de Cazeneuve comme premier flic de France (dans la hiérarchie, pas dans les compétences), les choses s’accélèrent.
D’abord Boucault, son pathétique préfet de Paris, dépose plainte contre Josiane Filio (et Richard Roudier, chef Identitaire de la Ligue du Midi). La « faute » de notre amie ? Avoir qualifié le préfet, régulièrement brocardé par la droite, d’incompétent. Il se trouvera, en premier jugement, des juges pour condamner Josiane et Richard, qui seront finalement victorieux en appel, suite à une remarquable plaidoirie de Nicolas Gardères. Coût de l’opération pour RL : près de 3000 euros !
C’est ensuite que les policiers de la BRDP multiplient les convocations de Pierre Cassen rue du Château-des-Rentiers. Au début, notre fondateur a accepté de répondre à toutes les questions, venant notamment à chaque fois avec le PV du verdict du tribunal de Grande Instance de Versailles, désavouant, en mars 2013, un machiniste de la RATP qui avait déposé plainte contre lui, en tant que directeur de publication. Et puis, devant la multiplication de ces convocations, Pierre a choisi, comme la loi le lui autorise, de garder le silence, venant à chaque fois avec une photocopie du jugement de Versailles.
Dans le même temps, les plaintes se sont accumulées, l’exemple venant de très haut : Bernard Cazeneuve (d’où notre certitude qu’il est impliqué dans le cabinet noir) a déposé quatre plaintes contre notre site. C’est quelques semaines après la nomination de R2D2, presque en même temps que la grotesque plainte de Boucault, qu’Anne Hidalgo déposera à son tour une plainte ahurissante contre Ri7, pour le dessin que tous les sites de réinformation connaissent à présent. Et, ne reculant devant rien, le maire de Paris déposera, après « Je suis Charlie » trois nouvelles plaintes contre notre dessinatrice, que les juges insisteront pour entendre à plusieurs reprises, malgré son éloignement. Les auto-colleurs se régaleront, dans les rues de Paris…
Outre Boucault, un autre obligé de Cazeneuve déposera plainte contre Riposte Laïque, le chef des flics parisiens, Jacques Méric, qui n’a pas supporté qu’un vrai policier, Géronimo, lui dise son fait en termes assez vifs.
Et pour ne pas être en reste, le patron du Monde, Pierre Bergé, s’est senti obligé, lui aussi, d’y aller de sa plainte contre RL.
Il suffit ensuite, sur ce récapitulatif de toutes les plaintes déposées contre nous, de voir la proximité politique avec le pouvoir socialiste pour que le doute ne soit plus permis : préfets, journalistes, élus de gauche, associations musulmanes…
http://ripostelaique.com/article-choc-on-en-est-a-43-plaintes-contre-rl-dont-42-sous-la-gauche.html
Ajoutez à cela la création de la Dilcra, dirigée par un copain de Valls-Cazeneuve, franc-maçon comme eux, Clavreul. Et comme nombre de policiers et de juges… C’est lui l’homme qui porte plainte, nominativement, contre Pierre Cassen. Il a décidé que notre fondateur était le vrai responsable de publication à Riposte Laïque, et, comme il n’a pas apprécié un article lui taillant un costard, il n’a pas hésité à demander à notre fondateur 30.000 euros, rien de moins ! Soit, sur deux affaires, 50.000 euros qui lui sont demandés !
Et c’est encore Clavreul, comme aux heures les plus sombres de notre Histoire, qui a fait un « signalement » au Procureur contre les deux articles de Maxime Lepante, qui ont valu à Pierre Cassen d’être convoqué devant la 17e Chambre, et d’expliquer qu’il n’était plus responsable du site depuis bientôt cinq ans.
Que dire de certaines plaintes du Parquet, qui font passer nos magistrats pour les descendants des sinistres Vichinsky-Beria ? Par exemple, celle déposée contre Paul Le Poulpe, qui, bien que ne citant aucun nom, interpelait les préfets socialistes qui imposaient des clandestins dans nos villages ? Procès à venir !
http://ripostelaique.com/prefet-socialiste-tu-nas-pas-honte-de-trahir-ainsi-les-francais.html
Autre fait curieux, qui a provoque une grande colère de notre avocat, Maître Pichon : il a constaté, sur différents dossiers concernant Riposte Laïque, qu’au niveau policier, des fuites importantes avaient eu lieu, et que des informations qui n’auraient du se retrouver que dans un seul dossier avait circulé abondamment. Cela s’appelle, selon notre avocat, un viol caractérisé du secret de l’enquête.
Dernière pièce, l’extrême diligence du Parquet de Paris à instruire les plaintes contre Riposte Laïque, mais à classer sans suite, par exemple, une plainte de Christine Tasin contre le journaliste islamo-collabo Askolovitch, qui avait gravement diffamé la présidente de Résistance républicaine sur RTL. Outre des plaintes ahurissantes instruites, nous sommes obligés de constater que François Fillon avait raison de s’étonner de la rapidité de certaines procédures. Alors qu’en temps normal, une plainte devant la 17e chambre met entre 18 mois et 2 ans pour être jugée, Christine et Pierre se sont retrouvés devant ce tribunal au bout de 7 à 8 mois, ce qui laisse pantois nombre d’avocats de nos amis.
Bien sûr, nous n’avons pas la prétention de penser que Pierre et Christine sont aussi importants que des personnes comme Sarkozy, Fillon ou Pécresse. Mais nos amis nous ont fait savoir, après avoir pris connaissance de différents dossiers, des milliers d’heures de travail qui ont été demandés à des policiers (parfois complaisants) ou à des magistrats (parfois complices) pour multiplier les recherches et tout faire pour les faire confondre.
La connivence entre le Parquet de Paris (sous le contrôle du gouvernement) et les associations dites antiracistes est aveuglante, à chaque procès qui se déroule devant la 17e Chambre. Le fait que, de manière ridicule, digne d’un pays totalitaire, les antiracistes aient osé demandé 20.000 euros de dommages et intérêts à Pierre, pour le faire taire (ce qui fut expliqué clairement), et que le procureur (dont nous aimerions avoir le nom) ait, au nom d’un dernier avertissement donné à notre fondateur, requis 6 mois de prison, même avec sursis, contre lui, montre les objectifs de ce cabinet noir.
Car les chiffres sont clairs : de 2007 à 2012, sous la droite, une seule plainte déposée contre Riposte Laïque, par la clique antiraciste. Depuis 2012, où notre site est sous la responsabilité de la Suisse, aucune plainte n’a été déposée chez nos amis helvétiques. Depuis l’arrivée de Cazeneuve place Beauvau, en avril 2014, près d’une trentaine de plaintes ont été téléguidées contre RL, notre fondateur a été perquisitionné, Alain Jean-Mairet a été condamné, sur plainte de la Licra, bien que répondant du droit suisse. Et RL a été incroyablement condamné par la vice-présidente du TGI de Paris, Caroline Kunhmunch, ancienne collaboratrice de Christiane Taubira, sur l’affaire des caissières voilées, alors qu’H et M avait déposé plainte contre les éditions Riposte Laïque ! Sans parler de l’acharnement judiciaire contre Christine, Renaud Camus, Eric Zemmour, Robert Ménard et même Georges Bensoussan. Cela fait vraiment beaucoup…
Les choses sont donc claires, et la sortie du livre « Bienvenue Place Beauvau », le confirme. Nous avons été victimes d’un cabinet noir, monté par le régime socialiste et ses plus hauts ministres, pour mettre hors de combat, par tous les moyens, les fers de lance de la résistance à l’islamisation de nos pays. Les islamistes veulent imposer la charia, et interdire, comme au Canada, toute critique de l’islam. Et comme ils arrosent toute la classe politique française traditionnelle, nos dirigeants n’ont rien à leur refuser.
Deux solutions : soit Macron, candidat de l’invasion migratoire, des musulmans, des Algériens, des socialistes, des centristes et de la finance, gagne, et cela va s’aggraver. Soit Fillon gagne, et ce mollasson ne va pas changer grand chose. Soit Marine gagne, et on peut espérer quelque chose…
Aux Français de décider, mais à nous d’utiliser au mieux les derniers jours de la campagne, et surtout l’affrontement qui s’annonce, pour le deuxième tour décisif pour notre avenir, mais surtout celui de la France.
Cyrano
Le grand voisin devient une dictature, rien de moins. Et les Français ne réagissent toujours pas !