Une femme âgée de 87 ans a été massacrée à coups de pieds dans un hôpital allemand, à Neuenhaus, par un « réfugié » somalien de 18 ans. La victime est morte étouffée dans son sang. Avant de commettre ce meurtre, le jeune Somalien avait abusé sexuellement l’époux (dément après un AVC) de la dame, également de 87 ans.
Arrêté alors qu’il fuyait, le jeune homme a été examiné par un psychiâtre et cette première expertise psychologique n’a pas identifié de signe d’irresponsabilité. Cela faisait seulement un an que le jeune homme vivait dans la ville de Neuenhaus dans le Comté de Bentheim, après avoir fui la Somalie.
Ce pénible fait divers n’est qu’une des illustrations de la vague de crimes commis par des immigrés récents ou moins récents en Allemagne…
Selon un rapport confidentiel du BKA (BundesKriminalAmt) qui a fuité dans Bild, 208.344 délits et crimes commis par les migrants ont été recensés en 2015. Soit l’équivalent de 570 délits par jour, ou 23 délits par heure pour la seule année 2015 ! Ces statistiques criminelles sont en hausse de 80% par rapport à 2014. Ces données publiées en 2016, ne comprennent que les délits pour lesquels un suspect migrant a été arrêté. Des crimes comme des viols n’apparaissent pas dans les statistiques parce que les suspects courent toujours.
Dans une ville comme Leipzig, le quartier où se réunissent les migrants est qualifié de la manière suivante par des vigiles: « la zone est jonchée de sachets d’héroïne vides, et la nuit les pickpockets occupent le pavé… Le trafic de drogue a lieu sous nos yeux. Si nous intervenons, nous sommes menacés, insultés, couverts de crachats. Parfois, quelqu’un sort son couteau. Ils sont sans pitié, sans peur et n’ont aucun problème à voler même une personne âgée ».
En Rheinland-Ruhr, la plus grande région métropolitaine d’Allemagne, les statistiques policières indiquent que les Algériens ont commis plus de 13.000 délits en 2015, soit deux fois plus qu’en 2014. Les Marocains les dépassent avec 14.700 crimes tandis que les Tunisiens sont en queue de peloton avec 2.000 crimes et délits.
En Rhénanie du Nord-Westphalie, un rapport du ministère de l’Intérieur a révélé que les Marocains ont commis 6,208 délits en 2015, les Algériens 4,995 et les Tunisiens 1084 ; des chiffres en augmentation significative par rapport aux années précédentes.
Selon le ministère de l’Intérieur de Rhénanie du Nord-Westphalie, « les immigrants en provenance d’Afrique du Nord sont surreprésentés chez les délinquants, principalement dans les grandes villes. Les suspects sont généralement des hommes jeunes, célibataires. Leurs spécialités criminelles sont le vol et l’agression ».
A Düsseldorf, les immigrés commettent en moyenne une infraction toutes les 3,5 heures. Un inspecteur de police a déclaré : « le groupe dans son ensemble est irrespectueux et absolument sans vergogne ».
Dans le Rems-Murr, une banlieue de Stuttgart, des bandes rivales de jeunes migrants en provenance des Balkans « volent tout ce qui n’est pas rivé au mur ». Des bandes de jeunes Roms et Kosovars font l’école buissonnière pour se livrer à des raids quotidiens contre les voitures, pour voler les téléphones cellulaires et autres objets de valeur. Ils pénètrent également dans les salles de consultation des médecins, dans les maisons de retraite, les écoles maternelles pour piller les sacs à main et les vestes.
A Aalen, un Kosovar de 14 ans a un dossier de police riche de plus de 100 infractions. Selonun journal local : « toutes les tentatives de la police, de la justice et de l’aide sociale pour lui inculquer le sens du bien et du mal et le resocialiser ont échouées. Sur Facebook, il se vante de ses exploits et de son amour du gangster rap ».
A Leipzig, le nombre de vols signalés dans les transports publics a bondi de 152% entre 2012 et 2015. Le nombre d’agressions physiques et sexuelles dans les transports en commun est également en hausse. Dans l’ensemble, le nombre des délits signalés dans les autobus et les tramways a bondi de 111% entre 2012 et 2015, et aux arrêts de bus, le nombre de crimes signalés a augmenté de 40% sur la même période. La police de Leipzig attribue la flambée de la criminalité à l’augmentation rapide de cette population.
Elle ne fournit pas d’information sur la nationalité des criminels, car la police ne dispose pas « des effectifs nécessaires » à ce travail de recensement.
A Dresde, les migrants en provenance d’Algérie, du Maroc et de Tunisie ont pris le contrôle de l’emblématique Wiener Platz, une vaste esplanade publique en face de la gare centrale. Là, ils vendent de la drogue et pratiquent le vol à la tire sur les passants, en toute impunité le plus souvent.
A Schwerin, des bandes de jeunes migrants armés de couteaux ont transformé le centre-ville en cour des miracles, le jour comme la nuit. Les fonctionnaires municipaux ont élaboré un plan d’action pour reprendre le contrôle des rues. Une pièce maîtresse du plan prévoit plus de travailleurs sociaux (Straßensozialarbeit) pour favoriser l’intégration. Comme si la prévention douce fonctionnait!
En Bavière, Sigrid Meierhofer, maire de la ville de Garmisch-Partenkirchen, se plaint des délits commis par les migrants. Elle affirme que la police locale a dû intervenir au cours des six dernières semaines autant qu’au cours des 12 derniers mois. Dans une lettre au gouvernement de Bavière, elle a menacé, si la sécurité publique et l’ordre n’étaient pas rétablis, de fermer le centre d’accueil ou résident 250 migrants originaires d’Afrique. Elle a également recommandé aux femmes de la ville d’éviter de quitter leur domicile à la nuit tombée.
La politique laxiste de la chancelière Merkel risque de porter préjudice aux « vrais » demandeurs d’asile, étrangers à ces crimes et délits. Le courage politique serait de sévir sans états d’âme contre cette criminalité importée. Mais séparer le bon grain de l’ivraie dans la population des migrants, ne semble malheureusement pas être une priorité en Europe.
Le gouvernement allemand tente tant bien que mal, d’expulser les migrants qui ont commis des crimes (cela ne concerne pas les délits) et parle de quelques milliers renvoyés dans leur pays… Nettement insuffisant. Certains n’hésiteront pas à dire que nos sociétés glissent lentement vers la sauvagerie.
Source Via CivilWarInEurope
C’est le problème d’importer une population venant de pays en guerre où la violence est banalisée, et même si on nous martèle à longueur d’année que ces gens fuient la guerre et que les mineurs ont droit à la protection en vertu des lois internationales, ça ne change rien. Qu’ils soient victimes ou non, ça en fait des populations ingérables et incompatible avec nos propres populations. L’Europe ne peut pas régler les guerres en Afrique !