Tous les districts ont vu leur population grimper avec un maximum dans la Broye-Vully et le Gros-de-Vaud.
La situation économique du canton de Vaud et son statut de pôle de formation attirent toujours de nouveaux habitants sur son sol. En 2016, la hausse démographique a été de 1,4% soit 10'754 habitants supplémentaires.
A la fin de l'année dernière, le canton recensait exactement 778'251 habitants, selon Statistique Vaud vendredi. Si la plus importante croissance absolue a été enregistrée dans le district de Lausanne (2932 personnes), tous les districts ont vu leur population grimper avec un maximum dans la Broye-Vully et le Gros-de-Vaud.
Les statisticiens ont par ailleurs mis en lumière un phénomène nouveau: en 2016, la population suisse a autant augmenté que celle de nationalité étrangère alors qu'un écart important les sépare traditionnellement. Ainsi, sur les dix dernières années, la hausse du nombre de Suisses était en moyenne de 0,9% contre 3,3% chez les étrangers.
Quelle explication? L'explosion du nombre de naturalisations. L'an dernier, 7831 personnes ont ainsi acquis la nationalité suisse, du jamais-vu. A décembre 2016, le canton recensait 257'227 résidents étrangers et 521'024 résidents suisses. (ats/nxp)
Source : 24 heures
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Cenator : Les commentaires sur le site de 24 heures sont éloquents (extraits) :
P.F. : C'est une bien mauvaise nouvelle !
S.G. : Très mauvaise nouvelle! Expliquez moi à quoi cela sert-il? Avec un pays à 5,5 millions d'habitants,on avait du personnel dans les gares,des postes partout,du service à la pompe à essence,on nous livrait le lait, le pain on levait nos déchets. Maintenant avec 8,5 millions, plus rien, on doit tout faire nous même! Ces gens ne sont là que pour enrichir une minorité et nous avons tous les inconvénients!
T.G. : Il n'y a pas besoin de faire un recensement, il suffit d'aller sur la route, de prendre les transports publique ou d'essayer de ce loger pour voir cette croissance démesurée, qui finalement, bien qu'elle apporte de la richesse (pour certains) apporte également beaucoup d'inconvénients pour les autres. Il faudra voter juste, oui mais pour qui ? Je ne vois aucun parti apporter la solution...
M.L.B. [à propos des naturalisations et des résidents étrangers] : Je me demande ce que diront les futures générations ? Enfin, à moins qu'il n'y ait plus de suisses du tout d'ici 2 à 4 générations.
J.M. : Et le bétonnage qui va avec, mais nos élus sont ravis, ça fait des rentrées fiscales et de la croissance.
Ah, les miracles de Saint-Papier qui transforme n’importe quel allogène à peine tombé de l’avion en Vaudois pur porc… enfin non, pas pur porc.
L’immigration massive est le modèle économique choisit par la Suisse, enfin certains Suisses, les bétonneurs entre autres.
Quand le jeu de l’avion touchera à sa fin, c’est-à-dire qu’il n’y aura plus un mètre carré à bétonner, l’économie s’effondrera avec un chômage dévastateur !
Bien sûr, ceux qui profitent de ce modèle, s’étant remplis les poches, se tireront où la vie sera encore pas trop mal !
Et ceux qui sont censés anticiper l’avenir, les politiques ? Il suffit de penser aux verts… qui sont favorables à cette immigration massive, donc qui soutiennent la destruction de la nature et des paysages ! A droite, beaucoup de bétonneurs et à gauche, des gens qui développent tranquillement leur industrie de l’asile…. et tous se foutent complètement de l’avenir de leurs petits-enfants !
Et pour le moment, les perdants de ce modèle ne disent rien….. y aura-t-il un sursaut ?
Les peuples d’Europe devront s’unir dans une grande manifestation d’abord, pour informer nos états que “la coupe est pleine”. Ensuite agir auprès des élus, mais la manière reste à définir. Il existe bien “une journée de ceci ou de cela” Pourquoi pas une journée ANTI SUBMERSION qu’on appellerait autrement “parce que ça ne fait pas assez bien pensant”. Mais une journée où les peuples européens diraient STOP, CA SUFFIT.
Poussez-vous au fond Mssieurs Dames, on peut encore caser du monde !
Des autorités staliniennes, des médias collabos, une économie fasciste, des infrastructures de bidonville, des prix inversement proportionnels à l’ampleur du choix disponible et avant tout un peuple composé dans son immense majorité de c… finis. Shitzerland, ton futur s’annonce grandiose!
Oui…une grande inquiétude….observez la France des banlieues….le communautarisme et l’explosion de violence…..De simples papiers ne vous font pas Suisses ni Francais d’ailleurs…..
Dans les années soixante, il y avait 5 millions d’habitants ; les impôts étaient beaucoup plus bas (en termes réels), on avait pourtant les moyens de construire les (auto-)routes nationales (sans fond spécial ni vignette), l’essence coûtait 50 ct/l, les routes n’étaient pas du tout encombrées (on ne connaissait pas les bouchons), on avait des services publics performants (facteur 2 fois par jour + samedi matin par exemple !), peu de criminalité, peu d’assistés sociaux, de la liberté et, last but not the least : le plein emploi (un chômage “résiduel”). La nature était encore intacte. Les étrangers rêvaient du paradis suisse (Les français disaient : “Poli comme un Suisse”). Nos dirigeants défendaient les intérêts des citoyens suisses et respectaient la démocratie directe. “Le peuple est souverain” était inscrit dans la constitution. L’exposition nationale suisse de Lausanne en 1964 correspond à l’apogée de la Suisse. Cette exposition est considérée comme la plus belle exposition nationale du siècle au niveau mondial. Ensuite, l’invasion, qui avait déjà commencé, a pris de l’ampleur. L’économie s’est construite sur ce flux permanent de travailleurs à bas coût, pour le plus grand profit – à court terme – de l’industrie de la construction et du patronat. Vous connaissez la suite : surpopulation, bétonnage, destruction du milieu naturel, routes encombrées, pollution, dislocation sociale, multiculturalisme destructeur, explosion du nombre d’assistés sociaux, appauvrissement de la classe moyenne, criminalité galopante, loyers exhorbitants, assurances maladies ruineuses, dirigeants qui agissent contre l’intérêt des citoyens, non respect de la démocratie directe (“Le peuple est souverain” n’est pas inscrit dans la nouvelle constitution de 1999) et j’en passe. L’avenir est le suivant : Soit une lente descente vers une société de type sud-américaine, soit une dislocation.
Moins on est de fous plus on rit.