Le bilan d’une législature si consensuelle.
Pierre-Yves Maillard est satisfait d'avoir forgé une politique sociale généreuse
[...] « Sous son impulsion, le gouvernement a validé plusieurs décisions qui améliorent le pouvoir d’achat des Vaudois. Les bénéficiaires des subsides aux primes maladie ont augmenté de 24% en cinq ans » [...]
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Commentaire :
Amélioration du pouvoir d’achat selon P.-Y. Maillard
La politique de l’arrosoir de Maillard est purement électoraliste et irresponsable, tout comme le terme de « politique sociale généreuse » (avec l’argent des autres, mais cela, il ne faut pas le dire !)
Selon la logique de Maillard, le fait que les contribuables vaudois doivent payer 24% de plus pour « leurs » subsidiés – alors que leur propre assurance maladie a augmenté d’autant – aurait amélioré leur pouvoir d’achat !
Et la situation empire d’année en année. En 2016, dans le canton de Vaud, 552 millions de subsides pour l’assurance maladie ont été déversés sur plus de 200’000 bénéficiaires.
De plus, environ 50 millions servent annuellement à rembourser les primes impayées aux assurances maladies. Ceci à cause des lois concernant l’obligation de soins, soins reconnus comme un droit fondamental.
Le rêve de la caisse unique
Depuis l’instauration de la LAMal (qui est, conceptuellement, une aberration), les socialistes poursuivent inlassablement leur rêve d’une caisse maladie unique. Ils cherchent à pousser le système à la faillite afin d’instaurer une caisse étatique (voir le dernier Temps Présent de la TSR : « Assurance maladie, ceux qui ne peuvent plus payer »). Les médias rabâchent cette solution miracle aux « moutons captifs » (merci Billag) jusqu’à ce que ce lavage des cerveaux réussisse. Ce sera alors une débâcle financière garantie, et sans précédent, comme la Sécu en France, et comme la faillite du communisme en URSS (les mêmes causes produisant les mêmes effets).
Des « apparatchiks » à vie (et de père en fils) seront grassement payés pour gérer cette caisse unique vaudoise – toujours méchamment dans les chiffres rouges bien que coûtant les yeux de la tête (comme les assurances maladie actuelles, … mais en bien pire).
Toutefois, il est plus que probable que les chiffres réels de cette monstrueuse usine à gaz, qui croîtra d’année en année, seront bidouillés pour en masquer la faillite le plus longtemps possible. Il est même possible que, les premières années, des magouilles comptables permettront de crier victoire… la descente aux enfers n’en sera que pire par la suite.
En son temps, Ruth Dreyfus, une socialiste irresponsable (pardon pour le pléonasme), avait réussi à faire passer l’obligation de s’assurer en nous faisant miroiter monts et merveilles : nous avons vu les résultats.
C’est cette logique socialiste, basée sur des dogmes et non sur la réalité, qui mène notre pays à la ruine.
45% des Lausannois ne paient pas d’impôts
A Lausanne, ville sous domination rouge, endettée à hauteur de 2,5 milliards (20'000 francs par habitant), les impôts se situent onze points au-dessus de la moyenne cantonale, sans compter des taxes délirantes.
Il faut encore savoir que 22% de la population lausannoise bénéficie d’une compensation automatique de subventions de toute espèce ou de déductions.
De quoi s’agit-il ? Si le montant des impôts calculés est inférieur aux subventions potentielles en jeu (directes et indirectes… une chatte n’y retrouverait pas ses petits… mais les fonctionnaires dédiés y retrouvent facilement leur salaire), ils sont exonérés d’impôts. Ainsi, la part des habitants du canton de Vaud non astreints à l’impôt tend vers 45%.
Résultat des courses : cette politique redistributive profite, en premier lieu, à la population étrangère, qui fait trois fois plus d’enfants… sans pour autant forcément en assumer les frais.
La logique ‘les autres avant les nôtres’ finance la disparition des Suisses de souche.
Cenator, 4 mars 2017
Les Blancs devraient simplement quitter Lausanne, trop tard pour cette ville, et laisser la gauche se débrouiller tout seul avec la “détroitisation” de la zone.
Disons les choses clairement: il s’agit de faire payer les autochtones blancs au profit des “autres”, des tout autres. Bien entendu, cela ne concerne pas la nomenklatura locale, qu’elle soit de droite ou de gauche, bien installée dans ses prébendes.
Et ce que la plupart des gens ne savent pas, c’est que les subsides assurance-maladie sont défiscalisés et celui qui reçoit une aide peut encore déduire le forfait de sa déclaration d’impôt !
François Brélaz, candidat libéral-conservateur au Grand Conseil. Cheseaux.